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Citations de Sarah Raughley (31)


Si tu réussis à survivre plus de sept ans, c'est que tu es soit une déesse, soit un pathétique rebut de l'humanité dont la survie ne peut être attribuée qu'à son pitoyable désir de se cramponner à sa misérable existence.
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Je le savais nous étions des Effigies et nous le resterons toute notre vie
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-June, j'ai toujours pensé que de nous deux, c'était toi que aurait dû survivre et devenir une Effigie... mais je m'en suis pas mal sortie, pas vrai ? Je croyais n'est bonne à rien, et voilà que je vais sauver le monde. Tu as dit me faire confiance... Eh bien, moi aussi, j'ai foie en moi, je crois en moi ... assez pour me sacrifier. J'ai promis de leur apporter la paix, et je veux le même sort pour toi. Pour cette raison, je suis prête à renoncer à la vie.

P671
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L'opinion a voulu en faire des héroïnes et on a récolté quatre poupées cassées
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Je t’en prie reviens…reviens moi !
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Certains jours, je me serais sentie plus sereine s’ils avaient simplement été effacés de ce monde. Mais les morts laissaient des traces : des photos, d’anciens messages sur le répondeur… Des souvenirs… Du chagrin. Des fragments de chaque vie restaient sur Terre, piégés çà et là, à la fois réconfortants et obsédants pour les survivants.
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-Et qu'est ce que j'aurais dû faire à ton avis ? demanda-t-elle au moment où je me retournai. Qu'est ce que tu essaies de me faire comprendre ? Qu'en cas de doute, je suis sencée agir comme tu le ferai, toi ? C'est ça ?
Je perçu parfaitement l'appel à alode dissimulé derrière son ton d'un calme trompeur.
-Je n'en sais rien, Maia, répondis-je pourtant. Mais tout, je dis bien tout aurait mieux valu que de retserles bras croisés.
Ce furent les dernières paroles que j'adressai à ma sœur.

P14
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Je tombais dans la nuit, du vingt-troisième étage, droit vers une mort certaine.
Le vent hurlait dans mes oreilles et la pression menaçait de me faire exploser le cerveau. J'agitais désespérément bras et jambes jusqu'à perdre une chaussure, puis les deux. Je ne voyais plus que le ciel nocturne, des briques ... et le sourire de Saul qui s'évanouissait dans les ténèbres.
J'allais mourir.
Je ne pouvais plus respirer. J'allais mourir. Cette pensée, la seule dont j'étais capable, se déchaînait dans ma poitrine, me détruisant de l'intérieur. J'allais mourir, ici et maintenant.
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Aucune de nous n'en parlait vraiment : le deuil, la solitude, le chagrin. Pourquoi ne pouvais-je rien y faire ?
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Malgré deux mois d'entraînement, je ne contrôlais pas encore tout à fait mon élément. Penser à des flammes rougeoyantes, ou à la chaleur du feu sur ma peau suffisait à me donner la chair de poule. Je devais me faire violence pour ne pas imaginer ma famille prisonnière du brasier qui les avait tués. Je faisais de mon mieux, et c'était déjà beaucoup.
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- Je n'arrête pas de penser à ces images, dit-elle au bout d'un moment en jouant avec les mèches de sa perruque noire. Tu te rends compte que le monde entier est devenu un véritable enfer à cause de la bêtise d'une poignée d'imbéciles ?

- Est-ce que ce n'est pas tout le temps comme ça, au fond ?
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-Je suis désolée, reniflai-je.
-Pourquoi ? demanda June en inclinant la tête.
Pour quoi, en effet ? Pour absolument tout. J'avais imaginé des centaines de fois ce que je lui dirais si jamais elle apparaissait un jour à ma porte. Et pourtant, à présent que, par miracle, on m'offrait cette possibilité -qu'elle soit tombée du ciel ou remontée des enfers tel un fruit défendu -Je n'avais plus rien en tête.

P140
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Persuadée que tout serait réglé entre nous dès le lendemain matin, je ne me suis inquiétée de rien quand j'ai entendu la sœur se faufiler hors de la maison tard dans la nuit. [...] Je me suis donc rendormie, convaincue d'avoir encore l'opportunité de la remettre sur le droit chemin. L'occasion de lui expliquer qu'il existait de meilleurs moyens de se sentir forte et bien dans sa peau, que je pouvais l'aider, parce que c'est ce que font les grandes sœurs. Les deux minutes qui faisaient de moi l'aînée, celles qui justifiaient que je l'appelle "sœurette", me donnaient la plupart du temps un sens des responsabilités que ma jumelle avait fini par prendre pour de la condescendance. J'espérais pourant qu'elle viendrait à me comprendre, un jour.
J'espérais tant de choses.
Seulement, ce ne fut pas le retour de Maia qui me tira à nouveau du someil, mais l'odeur de la fumée.

P15 et 16
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Et parmi les ombres, tu les trouveras.
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J'avais sous les yeux des monstres tout droit sortis de contes dont les auteurs n'auraient jamais imaginé que leurs créations pourraient un jour prendre vie
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Certains jours, je me serais sentie plus sereine s'ils avaient simplement été effacés de ce monde. Mais les morts laissaient des traces : des photos, d'anciens messages sur le répondeur… Des souvenirs… Du chagrin. Des fragments de chaque vie restaient sur Terre, piégés çà et là, à la fois réconfortants et obsédants pour les survivants.
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De la magie et des monstres, le tout enrobé d'une bonne couche de mystère
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Mon cri de désespoir s'e brisa sur le plafond voûté pour me revenir en un millier de" hurlements.Blackwell referma son livre,puis le posa avec précaution sur ses genoux.
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Si tu réussis à survivre plus de sept ans, c'est que tu es soit une déesse, soit un pathétique rebut de l'humanité dont la survie ne peut être attribuée qu'à son pitoyable désir de se cramponner à sa misérable existence.
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Je tombais dans la nuit, du vingt-troisième étage, droit vers une mort certaine.
Le vent hurlait dans mes oreilles et la pression menaçait de me faire exploser le cerveau. J'agitais désespérément bras et jambes jusqu'à perdre une chaussure, puis les deux. Je ne voyais plus que le ciel nocturne, des briques ... et le sourire de Saul qui s'évanouissait dans les ténèbres.
J'allais mourir.
Je ne pouvais plus respirer. J'allais mourir. Cette pensée, la seule dont j'étais capable, se déchaînait dans ma poitrine, me détruisant de l'intérieur. J'allais mourir, ici et maintenant.
Et, tout à coup, mon esprit se vida entièrement. Une vague d'énergie jaillit du plus profond de mon être, envahissant tout mon corps, de mes entrailles jusqu'au bout de mes doigts. J'étais dévorée par les flammes, et je sentais certaines d'entre elles prendre forme, refroidir, se forger dans ma main. Je frémis au contact de l'acier contre ma paume. Les flammes se dissipèrent et je découvris que je serrais le manche d'une faux dont la gigantesque lame luisait au clair de lune. Le symbole de la mort.
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Dans le métro.
Dans son lycée.
A l'école.
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