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3.75/5 (sur 2 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1978
Biographie :

Sarah Stergann est auteure d'un premier roman, "Finscéalta, La terre des légendes" (2017).

Mariée en 2001, elle est mère de deux enfants, nés en 2002 et 2005.

son site : https://sarahstergann.wordpress.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/Sarah-Stergann-%C3%A9crivain-1163948440371233/

Source : https://www.facebook.com/Sarah-Stergann-%C3%A9crivain-1163948440371233/
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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Je m'étais toujours trouvée bizarre de rêver, chaque nuit, d'une personne que je ne connaissais pas et encore plus d'éprouver pour elle un sentiment aussi puissant que l'était mon amour. La croiser dans la réalité me terrifiait. Je n'avais aucune explication à ce phénomène étrange. J'avais l'impression d'être au milieu d'un film de science-fiction. Dans le même temps, j'étais fascinée. Si c'était réellement le garçon de mes rêves, tout un champ des possibles s'ouvrait à moi.
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Je n’avais jamais été amoureuse de lui. Nous avions grandi ensemble, nous retrouvant avec joie, à chacune de nos vacances. Je considérais Sébastien comme mon frère mais la relation fusionnelle qui me liait à lui était tellement forte que je devais reconnaître que, quelquefois, mes agissements pouvaient le laisser croire que je ressentais plus que de l'amitié. C'était d'ailleurs plus que ça. Je l’aimais, vraiment, mais pas du même amour que lui éprouvait à mon égard. Cette frontière entre nos sentiments était ténue et subtile. Notre amour était fort mais définitivement différent. Notre manière de l’exprimer, parfois identique, entraînait entre nous une confusion dont nous n’arrivions pas toujours à nous départir. Je faisais avec même si, parfois, je souffrais que cette situation nous conduise à nous disputer. Cela n’allait jamais bien loin mais je n’aimais pas rendre Sébastien malheureux. Malgré cet imbroglio, je ne pouvais me passer de lui et c’était là tout le cœur du problème.
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La forêt de Brocéliande avait toujours exercé sur moi une attraction particulière. Son charme, bercé de mille et une légendes, m'enchantait. Malgré mon âge, j'avais envie de croire que, chaque nuit, elfes et korrigans dansaient dans les bois et, qu'au détour d'un chemin, il me serait possible, un jour, de croiser Merlin, Arthur ou l'un des chevaliers de la Table Ronde. Cette forêt était magique. Je le sentais et j'étais persuadée que chaque pierre, chaque feuille était susceptible de nous raconter une histoire, pour peu qu'on se décide à tendre l'oreille.
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Etait-ce un rêve ? Un de plus. J'aurais pu me pincer, pour le vérifier, mais j'avais peur de me réveiller, peur de voir mon avenir s'envoler. Les possibilités qui s'offraient soudain à moi étaient bien trop belles pour que je les laisse partir.
Ce garçon – que j'étais sûre de voir pour la première fois – j'en rêvais toutes les nuits, depuis des années, et, parce que je l'aimais de tout mon être, j'étais incapable de tomber amoureuse de qui que ce soit d'autre.
Ces rêves, c'était mon secret inavouable.
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Je le détestais. Il représentait exactement tout ce que je n'aimais pas chez la gent masculine. Grand, blond, il avait tout pour plaire. C'était justement ça qui m'horripilait. Sûr de lui et de son charme, il n'hésitait pas à multiplier les conquêtes, comme d'autres collectionnent les timbres. Malgré mes dix-neuf ans, je rêvais toujours du prince charmant. C'était sûrement utopique mais c'était plus fort que moi. Je ne pouvais me résoudre à abandonner mes rêves. Ils étaient bien trop beaux.
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Mon seul souhait était de le voir heureux. Il ne méritait pas que je le rejette mais je ne pouvais pas lui offrir ce qu’il me demandait. Ça n’aurait pas été honnête de ma part. Nous ne pouvions pas être ensemble. Nous n’étions pas compatibles. A cause de moi. A cause de mes rêves et de mon stupide blocage. Parfois, je me détestais.
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J’avais l'âge d'être indépendante mais j'avais l'habitude de vivre avec mes parents. Je les aimais. Il allait me falloir un peu de temps pour que je me fasse à l'idée de ne plus les voir tous les jours.
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Ce n’est pas beau de vieillir. Il faut sans cesse se faire surveiller.
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