Beriko Scarlet

Il y a plein de choses qui sont un peu choquantes dans ce manga particulièrement soigné au niveau de son graphisme. C'est bien entendu réservé à un public adulte à moins d'être un peu précoce.



Il est question d'un yakuza établi qui se remémore sa jeunesse et comment il est devenu chef de gangs. Il y a certes de la passion mais également beaucoup de manipulation. A noter que la psychologie des principaux personnages est bien étudiée entre ambiguïté et complexité. Il n'y a pas de surface et c'est un très bon point.



La scène du wagon de tram m'a particulièrement secoué dans l'analyse de la situation. On dirait qu'il y a comme une magnificence dans le fait d'être un yakuza, c'est à dire un vulgaire mafieux à mes yeux. C'est vrai que je ne suis guère attiré par ces hommes du mal entre drogue, prostitution et extorsion de fonds pour assurer une soi-disant sécurité. La situation est presque poussée à l'extrême mais en finesse ce qui peut être pernicieux.



C'est incontestablement un manga pas comme les autres qui dégage une certaine intelligence d'esprit mais pas que, car les scènes de sexe très chaudes seront présentes pour nous le rappeler.

Un boyslove (ou yaoï) en japonais, one-shot de surcroît, qui se lit avec facilité et permet de suivre la formation de deux couples homosexuels à l'adolescence.

Sans renouveler le genre, il aborde avec une certaine justesse les interrogations liées à la sexualité à cet âge.
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J’ai découvert cette mangaka avec l’incroyable Jealousy, aussi je me devais de lire tous ses titres parus chez nous ! C’est donc ainsi que je me suis procuré ce petit one-shot, qui n’a aucun rapport avec les yakuzas mais qui met cette fois en scène un jeune et riche décorateur d’intérieur qui rencontre un tailleur connu pour créer des costumes qui portent chance. Une histoire pleine d’humour et de douceur qui m’a beaucoup plu.



On a donc Ôumi, ce jeune décorateur d’intérieur qui vient d’une famille très aisée et qui n’a pas peur de dire ce qu’il pense aux autres. Mais derrière son arrogance se cache beaucoup de doutes et surtout une grande difficulté à communiquer avec les autres. Contrairement à lui, Shida est plutôt calme, solitaire, tout en douceur et en maîtrise de lui-même. Il peut paraître distant parfois, mais son amour pour son travail fascine immédiatement Ôumi dès leur première rencontre. Tous deux vont alors considérablement se rapprocher, et naîtra entre eux plus que de l’amitié.



Alors c’est sûr, ce n’est pas très original, ça n’a pas vocation à renouveler le genre, mais j’ai beaucoup apprécié cette lecture. C’est un titre très doux, qui prend son temps malgré sa taille et le format du one-shot. Les personnages sont immédiatement attachants. Que ce soit Ôumi et son sale caractère ou Shida et son élégance, ils se complètent très bien et j’ai beaucoup aimé leurs interactions ! leur romance est jolie, j’ai apprécié les voir se tourner autour avant de se déclarer !



Puis, s’il y a quelque chose que j’ai particulièrement aimé, ce sont bien les dessins de Scarlet Beriko. C’est juste superbe ! Les planches sont fouillées, pleines de détails qui donnent une ambiance douce au manga. Si on parle rapidement de décoration d’intérieur, on peut voir tout le soin qu’a mis la mangaka à créer les pièces de l’appartement de Shida, avec ces grandes fenêtres et toutes ces plantes ! Sans parler, évidemment, des personnages qui sont si bien dessinés, tellement expressifs et sensuels.



Si je devais chercher un point qui m’a moins plu, ce serait ces quelques moments que l’on ne voit pas, mais qui sont évoqués après. Je trouve ça un peu dommage de ne pas avoir eu plus de contenu finalement. Ca ne m’aurait pas déplu que le manga soit plus épais.



Mis à part cela, j’ai beaucoup apprécié cette jolie lecture. De toute façon, pour l’instant je n’ai jamais été déçue par le travail de cette mangaka, c’est toujours de grande qualité !

☼ Mon avis ☼





Jealousy est une histoire supplémentaire tiré du manga Yondaime Oyamoto Tatsuyuki sur la vie complète du personnage de Rogi Uichi.

On a un premier tome, assez réussi avec un récit réaliste et un scénario très bien construit.

On remarque que Scarlet Beriko a beaucoup de potentiel, elle a réalisé des personnages fort attachants, mais complexes.

On a envie d'apprendre plus sur eux et leurs passés.

J'ai eu par moment du mal à comprendre certaines séquences, je trouves quelques passages assez confus au niveau de l'intrigue et par rapport à ce que l'auteur veut nous faire comprendre.

Le créateur met en place trop d'éléments et qu'elle n'exploite pas assez par la suite.

J'ai quand même aimé l'univers qui est assez intriguant.

L'auteur propose des cases carrées voir rectangulaires ou aucun dessin ne déborde.

Jealousy est un titre qui touche l'érotisme, la romance tout en ayant de l'action.





En conclusion : On a un premier tome avec un récit très bien ficelé qui regorge de scènes hard et quelques scènes d'humour.

C'est une série que je conseille aux personnes qui adore les histoires de mafia assez sombre.
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Ça fait plus d’un an que je l’attendais, et il est enfin là, le cinquième tome qui conclut cette série incroyable qu’est Jealousy. Et j'ai évidemment eu un très très gros coup de cœur, cette fin est à la hauteur de toute la série, l’attente en valait la peine !



Jealousy, c’est d’abord un spin-off d’un spin-off : celui de Yondaime Ooyamoto Tatsuyuki, qui met en scène le fils d’Akitora que l’on voit bébé dans Jealousy, et Tatsuyuki est déjà un personnage secondaire de Minori no te, le premier manga dans l’univers de Jealousy. J’ai, perso, peu aimé ces deux tomes dont je trouve les histoires plutôt plates avec toujours les mêmes problèmes de consentement… Uichi Rogi apparaît donc pour la première fois dans Yondaime Ooyamoto Tatsuyuki, et Jealousy raconte son histoire.



Alternant passé et présent, le manga nous plonge donc dans un clan de Yakuza au Japon, les Ooyamoto, dans lequel se retrouve mêlé Uichi suite à sa rencontre avec le fils héritier dont il est amoureux, Akitora. Le jeune Uichi a une vie dissolue, il vend son corps et se retrouve souvent dans des situations improbables et plutôt extrêmes jusqu’à sa rencontre avec Akitora. Obsédé par le yakuza, déjà marié et père, Uichi fera tout pour s’impliquer dans le clan, essayant de le rejoindre pour être avec Akitora. Mais, malheureusement pour lui, il va se retrouver au centre de complots du clan, le mettant gravement en danger et l’éloignant plus qu’autre chose d’Akitora.



Qu’on ne se méprenne pas, ici l’univers est particulièrement cruel, notamment avec Uichi qui n’est pas vraiment préparé à ça. Les yakuza sont réellement ce qu’ils sont, de véritables criminels qui n’hésitent pas à utiliser tout type de violence pour arriver à leur fin et pourrir leur ennemi. Ils tuent, violent, pillent et n’épargnent personne. Contrairement à Asami, la femme d’Akitora, qui baigne dans le milieu depuis toujours et sait très bien se défendre (elle est vraiment forte), le jeune Uichi apparaît comme la faiblesse d’Akitora et une prise facile. Il est régulièrement pris pour cible et subit beaucoup de sévices. Le manga est à l’image de ses personnages, violent et sans censure. Je vous déconseille donc cette lecture si vous êtes sensible ! Ce n’est d’ailleurs pas mon genre de lecture habituel, mais le développement des personnages, leur charisme et le déroulement très immersif du récit m'ont immédiatement passionnée. Sans parler des dessins, bien-sûr ! Le superbe style de Scarlet Beriko est immédiatement reconnaissable et magnifie ses personnages à travers les corps, les scènes d’action, les expressions et l’érotisme avec de jeunes personnages mais aussi plus matures (dans le présent ils ont une cinquantaine d’années).



Puis, on ne peut avoir qu’un immense coup de cœur pour ce superbe personnage si brillamment écrit qu’est Uichi Rogi. Je ne l’avais pas du tout aimé lorsque je l’ai découvert dans Yondaime Ooyamoto Tatsuyuki, mais je l’ai vu sous un tout nouveau jour dans Jealousy et c’est le personnage que je préfère ! Magnétique, Uichi fascine tous ceux qu’il rencontre et ne laisse personne indemne. Sulfureux, triste, imprévisible, immature, dangereux à sa manière, insaisissable et finalement trop naïf pour le monde des yakuza, il veut tout, tout de suite et trop intensément, sans faire attention aux conséquences. Son corps, grand, élancé et androgyne, est sa meilleure arme pour obtenir ce qu’il veut sans aucune pudeur. Il contraste énormément avec ce qu’il est devenu dans le présent, un homme calme, soigné et un père qui élève sa fille correctement alors même qu’il fait enfin partie du clan des Ooyamoto depuis trois ans.



Plutôt rare dans le boy’s love, du moins dans ce que je lis, je relève ici le développement d’une relation polyamoureuse avec le personnage d’Akitora qui aime sa femme sincèrement, mais qui est aussi amoureux d’Uichi. Les deux éprouvent de la jalousie l’un pour l’autre, mais ils finissent par s’entendre pour l’amour d’Akitora. Bien que le terme ne soit pas employé explicitement, Akitora ne semble absolument pas aimer l’un plus que l’autre, ou bien avoir envie de choisir. Je trouve donc ici cette représentation plutôt juste et intéressante. C’est ce qui, selon moi, rend le personnage d’Asami encore plus cool ! Souvent, les personnages féminins dans le BL sont soit inexistant, soit très secondaires. Ici, bien qu’elle aurait mérité plus d’approfondissement notamment à la fin que j’ai trouvé bâclée la concernant (seul reproche que je fais à l’histoire), Asami est incroyable. Son rôle est essentiel et s’articule parfaitement avec Akitora et Uichi.



La fin m’a beaucoup émue, c’était juste parfait ! La mangaka a publié des petits strips qui suivent la fin du tome 5 et que l’on peut retrouver sur ses comptes Twitter (@scaberix) et Instagram (@scaberiko) en VO et VA. Gros coup de cœur, donc, pour cette incroyable série si intense que je relirai souvent. Ça me rend triste de me dire que je ne reverrai plus ces personnages dans un autre tome… Vivement que sortent ses nouveaux mangas ! 😊 
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Déjà le dernier tome de cette magnifique histoire ! Ça fait un an que j’ai dévoré les quatre premiers tomes et que je suis tombée amoureuse de cette histoire + de toutes les autres de cette mangaka.



C’est passé hyper vite et franchement, je n’aurais pas cru que ça allait arriver si vite, ahaa !



Ce tome conclut parfaitement l’histoire ! Je ne m’attendais pas à moins de Scarlett Beriko : je suis sous le charme et je suis encore plus amoureuse que lorsque je l’ai découverte. Pour vous dire à quel point, j’aime l’histoire. 🥰



Je ne peux que vous la recommander : foncez ! Vous n’allez pas le regretter ! 🥰 🥰 🥰




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J’adore ce que fait Scarlet Beriko, notamment sa série Jealousy qui est absolument incroyable ! Du coup, il fallait que je lise tout ce qu’elle a fait, notamment tous les prequels de Jealousy. Et Minori no te en fait partie puisque c’est à partir de ce titre que tout son univers a été créé.



C’est un one-shot qui va explorer la culpabilité à travers deux personnages qui s’aimaient profondément avant que l’un ne se blesse et que l’autre ne fuit.



Masseur-ostéopathe, Minori est connu des plus aisés pour ses talents de masseurs particuliers. En effet, en plus de débloquer des dos et soulager les douleurs, il pratique le massage prostatique (de toutes les façons) pour détendre ses clients. Si sa carrière s’en porte très bien, il a en réalité fui et se cache de la personne la plus importante de sa vie, mais aussi celle qu’il a le plus fait souffrir. Mais Sôta le retrouve et, cette fois, il est bien décidé à ne plus jamais le laisser partir.



On retrouve le superbe trait de la mangaka, qui n’est pas aussi affirmé que dans les tomes parus le plus récemment, mais qui reste tout aussi reconnaissable. Il y a peu de scènes d’extérieur, l’histoire se passe en peu de jour, dans l’intimité du cabinet de Minori.



Pour l’instant, c’est le titre que j’ai le moins aimé de la mangaka. Certes c’est très joli, ça se lit bien et les personnages sont très expressifs. Mais je trouve que l’histoire n’est pas très approfondie, les personnages un peu creux et de manière générale Minori est malaisant. Lorsque ses patients ne savent pas qu’ils ne vont pas avoir juste un simple massage, ou qu’ils ne veulent pas, Minori les force en les immobilisant. C’est pas très convivial de violer ses patients, mais tout est normal… Du coup, j’étais bien mal à l’aise pendant une bonne partie de ma lecture. Quant à la relation entre Sôta et Minori, elle est touchante mais je trouve que tout se résout un peu trop facilement, et les raisons de la fugue de Minori sont quelque peu absurdes, malgré la culpabilité qu’il éprouve. De mon point de vue, il a fait plus de mal à Sôta en fuyant qu’autre chose.



C’était donc une lecture mitigée. Je suis contente de l’avoir lu, pour bien tout connaître de l’univers de Jealousy et ses personnages, mais l’histoire ne m’a pas marquée plus que cela et le manque de consentement m’a mis mal à l’aise. C’est dommage, mais heureusement les autres titres de la mangaka que j’ai lus sont incroyables !

Avec ce deuxième tome, nous nous épanchons de plus en plus sur la jeunesse de Rogi. Peu d'interactions avec le présent dans ce volume mais l'approfondissement du passé, nous permet tout doucement de découvrir cet homme aux mœurs mystérieuses et étranges.



Son alchimie avec Akitora est de plus en plus présente. Même si l'on connaît leur attirance, elle est difficile à décrire avec un adjectif précis par delà sa complexité. En effet même pour nos personnages c'est dur à exprimer, Akitora voit Rogi comme un fils, un ami et un amant. Il se découvre comme nous on découvre l'histoire de pages en pages.



Un tome qui dévoile encore par delà ses magnifiques dessins et personnes une intrigue de plus en plus riche et attirante ! Je suis vraiment comblée par cette lecture. Il me tarde de lire le tome 3.



En parallèle de leur relation arrive Asami la femme d'Akitora, c'est une très belle femme, forte, intelligente et elle sait ce qu'elle veut ! Je me suis beaucoup attachée à cette femme durant ma lecture elle m'inspire beaucoup de positivité en laissant de côté ses ressentiments et en faisait tout pour que son mari soit heureux. Elle a une grande faculté à saisir le comportement des personnes qui l'entourent. Comment la détester ? Elle qui est si humaine ?



Avec l'arrivée d'Asmai, Rogi qui a toujours été seul apprend ce qu'est une réelle famille, famille quelque peu étrange certe, mais il découvre des sentiments et sensations nouvelles qui ne peuvent que le faire grandir
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Nous entrons dans la vie de Rogi un yakuza qui suite à une rencontre fortuite avec un jeune homme étrange, se rappel ses jeunes années passées. Nous découvrons donc page par page le passé de cet homme qui avait une vie de débauche et de frivolité.



Rien que cet aspect est incroyable ! L'intrigue est prenante et entêtante on a qu'une envie ! Savoir comment Rogi qui était si frivole, est devenu ce père de famille si posé et calme ? le personnage est tellement énigmatique et attachant à sa manière, qu'on ne peut que vouloir en savoir plus. Mais les questionnements ne s'arrêtent pas là, qui est ce mystérieux jeune homme qui c'est jeté sous ses roues et qui lui sert désormais de chien ? Que cache t'il ? Est t'il du bon ou du mauvais côté ?



Vous pensez que c'est tout ? Et bien vous vous fourvoyez, je n'ai pas encore parlé d' Akitora, le chef d'un gang yakuza et l'amour d'une vie de Rogi. Leur attirance à la fois captivante et interdite nous transporte dans un tourbillon de sentiments. le tout est également amplifiés grâce aux magnifiques dessins de la mangaka



En conclusion, l'intrigue est très prenante, fournit et elle nous captive du début à la fin, les personnages sont tous différents avec leurs touches de mystères et leurs caractères. le tout est amené avec un dessin d'une qualité incroyable. Je ne peux que vous recommander de lire cette oeuvre
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Si les dessins sont jolis, fins, l’histoire elle n’est pas très originale et aurait pu être un peu plus travaillée. Néanmoins, j’ai passé un bon petit moment à lire ce manga.

On ressort [...] facilement conquis par cette petite tranche de vie qui a quelque chose d'assez lumineux, entre le cadre paisible de Nagahama, la narration et le dessin maîtrisés, et la façon logique et agréable qu'a l'autrice de nous faire ressentir les choix faits par ses héros à l'aube de l'âge adulte et surtout leur relation transcendant naturellement un peu tout
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Ce tome unique est l'un de mes yaois préférés, j'adore foncièrement la relation entre les deux personnages que je trouve très humains et attachants (tant Ôumi et son caractère de feu vacillant que Tetsuya et son allure calme mais fracturée). Le coup de crayon de Scarlet Beriko est superbe et sa narration fait sens sans avoir besoin de rapports temporels précis. C'est beau, sain et pur ! {18}

Là où la mangaka brille le plus est pourtant, sans doute, dans ce qui arrive encore après: une sorte de long épilogue s'étalant sur plusieurs dizaines de pages, ayant lieu 27 années plus tard, permettant de voir ce que deviennent plusieurs personnages avec une part d'émotion, de cerner de plus belle ce qu'ils continuent de ressentir tant d'années après, et de bien faire la liaison avec le manga Yondaime Ôyamato Tatsuyuki.
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Alors qu’Uichi arrive à sauver Tatsuyuki et à le confier à la femme d’Akitora, cette dernière ne s’excuse pas par rapport à ces paroles blessantes qu’elle lui a confié lorsqu’elle pensait qu’Uichi était responsable du kidnapping.



Au contraire, elle lui demande de disparaître de sa vie et, de ce fait, de sa famille. Y compris d’Akitora. Il n’en fallait pas plus pour qu’Uichi perde totalement confiance en lui et sombre dans une dépression qui le pousse ainsi à s’enfuir loin de cette famille, quitte à quitter Akitora pour toujours…

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Ça faisait longtemps ! Vous ne trouvez pas ? Je vous présente l’avant dernier Scarlet Beriko : « Queen and the Tailor » ! 😍



Pas que j’étais impatience de le lire, mais un peu quand même ! Encore une histoire coup de cœur ! 😍😍



C’est l’histoire d’une rencontre entre Ôumi et Shiba. Ôumi est un décorateur intérieur et il est arrogant. Pourtant, il n’a pas confiance en lui. Shida est tailleur et une légende dit que si l’on porte l’un des vêtements, alors on réussira. Ôumi l’a entendu cette légende par l’intermèdaire de sa supérieure et souhaite avoir une veste pour une exposition



⚠️ Pour un public averti ⚠️
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Le plus triste dans l’histoire est que je suis à jour dans la série, mais je sais déjà que le Tome 5 sera le dernier et qu’il me reste deux livres de Scarlet Beriko a découvrir, pour être à jour dans sa bibliographie, haha ! Les livres restant sont : « Queen and the tailor » et « Yondaime Ôyamato Tatsuyuki », le spin-off de « Minori no te« Après, deux de ses one-shots, je me suis dit qu’il était temps de me remettre dans la série « Jealousy ». C’est l’un de mes grandes révélations de ce début d’année, et je veux juste vous dire que cette saga, et les livres en général de Scarlet Beriko, sont de VÉRITABLES COUP DE CŒUR !



Quand j’ai commencé cette saga, je pensais bêtement qu’il s’agissait d’une histoire d’amour où la personne qui aime quelqu’un est jalouse de tout ce qui touche de près ou de loin à cette personne… Voyez une jalousie excessive quoi. Encore plus excessive, parce qu’on est dans le milieu des Yakuzas… Et de ce fait, un rien peut finir dans un bain de sang…



Or, ce n’est pas tout à fait… Et, c’est vrai que quand on lit le tome 1, on ne s’en rend pas tout de suite compte. Mais en fait, l’auteure nous parle ici, de la « jalousie » qu’elle soit amoureuse, amicale ou familiale…



D’ailleurs, c’est un thème qui va parfaitement à celui des Yakuzas… D’autant plus que là, nous parlons QUE d’un seul clan… Imaginez s’il y en avait deux ou trois de plus… xD



La mangaka en parle magnifiquement et j’ai hâte d’avoir le fin mot de l’histoire, même si, je trouve que cinq tomes, c’est à la fois très bien et très court en même temps… xD



C’est une histoire pour un public averti !



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Je vous l’ai dit – je crois ! – je suis devenue, en quelques instants, une grande fan de la mangaka Scarlet Beriko ! 😍



Je vous présente, donc un nouveau titre : Jacksass ! Une véritable petite pépite ! UN GROS COUP DE CŒUR !



Une histoire qui m’a tenu éveillée toute la nuit, ça faisait hyper longtemps ! Vous l’aurez compris, je l’ai JUSTE ADORÉ ET DÉVORÉ ! 😍



« Jackass », c’est l’histoire d’un lycéen : Keisuke. Un jour, alors qu’il se changeait pour aller à son cours de sport, il se rend compte qu’il enfile des collants en même temps que son jogging… Intérieurement, il engueule sa sœur, car elle le lui avait emprunté la veille, et elle a malencontreusement oublié de séparer les collants du jogging et comme, celui de rechange n’était pas prêt…Hé bien, il se retrouve dans cette situation quelque peu gênante ! Heureusement, il peut compter sur son meilleur ami, Shimoda, qui va l’aider en l’emmenant à l’infirmerie. Seulement, Keisuke, va découvrir une nouvelle facette de son meilleur ami, quand celui-ci lui dit qu’il adore les jambes et encore quand elles portent des collants…



Cette révélation va perturber nos deux jeunes amis. On se demande comment va évoluer leur amitié et si elle va tenir.



Je me suis laissé embarquer par ce duo et cette histoire qui se veut feel-good ! Même si, la fin est heureuse, ils vont beaucoup douter l’un de l’autre et surtout d’eux-mêmes. Ce qui n’empêche pas une histoire mignonne, douce et tendre ! 😍



Et puis, aussi, l’auteur a développé l’histoire d’amour des personnages secondaires et elle est toute aussi géniale ! 😍



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Aujourd’hui, je viens sur le blog, pour vous parler de ce One-Shot : Minoro no te de Scarlet Beriko. Scarlet Beriko est la mangaka que j’avais découvert grâce au premier tome de « Jealousy » : comme je l’ai beaucoup aimé, j’ai décidé de lire ces autres livres. Hé ouais !



Autant vous dire, que J’AI JUSTE ADORÉ CETTE HISTOIRE ! Un véritable coup de cœur !



Nous faisons la rencontre de Minori, un ostéophate hyper douée qui soigne aussi bien le corps que le cœur de ses clients. Seulement, lui n’arrive pas à se guérir. Minori est poursuit par son premier amour : un jeune garçon qui court, dans un stade, sous la pluie…



J’ai adoré, voilà ! Ce genre d’histoire où on oublie la première personne que l’on a aimé et que quelques années après ils sont toujours amoureux l’un de l’autre… Je trouve ça tellement beau, mignon et romantique !



C’est une histoire pour un public averti !



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Comment décrire cette lecture pour le moins inattendue ? Parce que, je vous avoue que je l’ai beaucoup vu passer sur les RS. C’est bien simple, à chaque fois que j’y vais, je vois ce titre. Que dois-je en conclure ? Il fallait que je lise, tout simplement, alors quand je l’ai vu, je l’ai pris et je l’ai tout simplement dévoré.



( Bon, les deux premiers livres que je vous ai présentés plutôt, je les ai dévorés aussi ! xD)



Mais, celui-ci, il a un goût particulier. C’est avant tout l’histoire d’un amour qui dure depuis de longues années. D’un amour fou. D’un amour mélancolique. D’un amour où on ne sait plus si on se trouve dans le passé et/ou dans le présent.



C’est tout simplement l’histoire d’un amour d’une vie. C’est le sentiment que j’ai, quelques semaines après l’avoir lu, et que j’ai eu lorsque je l’ai lu. J’attends d’avoir la suite pour confirmer tout ça.



C’est aussi l’histoire d’un rêve.



La vraie question est de savoir si tout les rêves peuvent se réaliser… Peut importe à quel point on y croit…Peuvent-ils tous se réaliser ?!



On tente de répondre à cette question avec Rogi Uichi, l’homme mystérieux qui nous raconte, sa vie. Tout simplement.



Gros coup de cœur ! ❤
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Voilà un petit yaoi tout mignon. C’était une lecture rapide que j’ai bien appréciée. J’ai trouvé le personnage de Shida. Tout d’abord, on voit qu’il est plus âgé à travers les dessins et j’apprécie beaucoup. Souvent, les personnages ont des traits plus jeunes que leurs âges. De plus, il y a pas mal de profondeur et d’émotions dans ce personnage. J’ai aussi bien aimé Oumi mais j’ai eu un vrai coup de cœur pour Shida. L’histoire reste assez superficielle je dirais. J’aurais aimé plus de volumes pour bien m’attacher aux personnages et en savoir plus sur eux.



Je recommande aux fans de yaoi et à ceux qui veulent commencer le genre.



3.5/5