Scott Peck

Lu 3 fois ! À part la dernière partie sur Dieu 😴, ce livre est un très bon outil pour se remettre sur les rails sans avoir trop l'impression qu'on se fait dire quoi faire. Tout au long de la lecture, on a l'impression que l'auteur nous tient par la main et qu'il nous guide tout doucement vers la lumière... Ce livre devrait être lu par tous 🙏

Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi en dire. Autant j'ai aimé le Chemin le moins fréquenté, autant je suis perplexe.



D'un côté, l'auteur parle du mal, en donnant des exemples dont deux parents qui donnent à leur fils le plus jeune le fusil ayant servi au suicide de l'année.



D'un autre côté, il parle d'exorcisme et du lien entre satan, le menteur... et les possédés, en nous tentant, mais il ne nous donne pas assez d'information pour que nous puissions en faire notre propre analyse.



Finalement, il continue son livre en parlant du massacre de Mai Lai, au Vietnam et comment les États Unis ont permis que ceci se produise.



Et dernièrement, il s'interroge sur la "psychologie du mal' en disant que l'on devrait l'étudier, mais que ce serait trop dangereux car on toucherait au Mal et on risquerait de se contaminer.



J'ai donc trouvé ce livre intéressant, mais peu nourrissant et je ne le garderai pas dans ma bibliothèque.

Je referme ce livre alors que l'on vient de démasquer "le grêlé", ce tueur en série français qui a vécu trente-cinq ans dans l'imposture et au sein des forces de l'ordre, laissant une famille sidérée et dévastée.

Francis Vérove, comme Jean-Claude Romand et bien d'autres, aurait eu une place bien méritée dans "Les gens du mensonge". Ils illustrent bien le danger, quand le passé finit par vous rattraper.



Mais vous y trouverez d'autres cas incroyables dans une fine analyse psychologique. Peut-être y reconnaîtrez-vous aussi des gens proches.



Un chapitre parle de possession et d'exorcisme. Sans grand intérêt pour moi puisque Scott Peck n'entre pas dans les détails et ces cas seraient rares.



Puis l'auteur décortique les phénomènes de groupes, les responsabilités individuelles et collectives à travers une page méconnue de l'Histoire. Hormis un bref passage simpliste et dépassé sur le végétarisme (on est en 1992), c'est sans doute la partie la plus intéressante de l'ouvrage tant les enjeux sont énormes en ces temps de crise économique, de tendance au repli sur soi et de chasse aux sorcières.

Car l'auteur nous prévient dés le début : celui ou celle qui lira ce livre sans faire son propre examen de conscience n'aura rien compris. Alors, détournerez-vous le regard ou vous mettrez-vous en quête de ce livre (désormais indisponible en neuf) ?

Quel beau livre très enrichissant et puissant qu’est « Le chemin le moins fréquenté », écrit par Scott Peck !!



Ce psychiatre de renom, qu’une amie m’a conseillé de lire, nous permet de découvrir et de comprendre comment la psychiatrie et la psychologie des choses de la vie, ne sont que des outils qui permettent d’avancer sur le chemin pour guérir les innombrables souffrances de notre âme.



Une guérison vraie et définitive qui ne s’obtiendra qu’après un gros travail sur soi-même et une remise en question de toutes nos certitudes qui peuvent parfois être ancrées en soi, depuis des décennies.



Le but étant de retrouver son vrai « Soi-même » intérieur, en nous mettant face à nos responsabilités, à nous appliquer une « auto-discipline » pour éviter de fuir nos souffrances, mais pour les affronter avec courage et pour comprendre d’où elles sont nées. Des maux et des névroses qui prennent souvent racine dans l’enfance, et poussés par le poids de nos cultures familiales.



Scott Peck nous offre un ouvrage sur le développement spirituel d’une grande qualité, étayé par ses propres expériences et par de nombreux témoignages d’analyses que l’auteur a faites dans sa vie de psychanalyse.



Le livre est divisé en quatre parties, ô combien, intéressantes et instructives.

La première partie étant celle de « la discipline » où l’auteur rappelle qu’il est primordial d’être exigeant avec soi-même pour montrer l’exemple aux êtres qu’on aime, à son entourage et surtout à ses enfants. Une discipline dans nos réflexions et actions nécessaire pour conserver son propre équilibre mental et spirituel.



La deuxième partie traite de « l’amour ». Mais l’amour vrai, inconditionnel et constructif, celui de la profonde écoute de l’autre, qui est comme un acte d’amour. Celui qui permet à l’autre de le faire évoluer spirituellement, en lui laissant tous mouvements et surtout son libre arbitre.



La troisième partie parle de « L’évolution et la religion ». L’auteur dissèque les rapports parfois houleux, qui existent entre le monde scientifique et celui de la croyance religieuse. En psychiatre bienveillant et averti, il analyse cette dite croyance sans jamais la considérer comme une névrose, contrairement à beaucoup de ses confrères.



Enfin la quatrième partie traite de « la Grâce ». Et Scott Peck, n’hésite pas à écrire que nous sommes tous et chacun une forme de la grâce de Dieu. Travaillant pour Lui au sein de l’humanité, créant l’amour et faisant avancer l’évolution de cette humanité.



« Le chemin le moins fréquenté », est un livre qui nous apprend à mieux vivre, si on prend toutefois la peine de bien le lire. C’est aussi un livre qui nous réapprend le sens des mots.

Un livre qui nous permet d'affronter ce qui nous fait souffrir dans notre vie. L'auteur est un psychiatre qui s'appuie sur les difficultés rencontrées par ses patients afin de proposer un chemin vers une meilleure connaissance de soi et développer sa force intérieure.

Je ne lis pas une véritable critique du livre en lui-même, mais plutôt une approche de l'auteur... pourtant j'aurais aimé...

Dans un centre médical, où vivent pour la plupart des gens en attente de la mort, survient un meurtre, celui de Stephen, paralysé au plus haut degré, mais très intelligent. Pétri, un inspecteur, mène l'enquête.



Le livre traite de plusieurs histoires en même temps, des malades au personnel soignant. Chacun tente, à leur manière , de trouver le repos, la paix d'esprit et surtout de ressentir la beauté de vivre.



Un livre touchant aux personnages intéressants.

La première partie était très bien, j'ai bien aimé le récit des différentes thérapies. Par contre, j'ai eu beaucoup de peine à m'intéresser à la seconde partie où l'auteur parle d'exorcisme, de diable, de narcissisme. J'ai retenu cependant la théorie de l'auteur concernant la guerre du Vietnam, qui me paraît plausible.

A l'occasion d'un voyage à la découverte de mégalithes au Pays de Galles, Scott Peck, psychiatre de renom et auteur du best-seller « Le chemin le moins fréquenté », en profite pour faire le bilan sur sa vie et son métier. Un parallèle se noue naturellement entre cette quête d'endroits chargés d'Histoire et de mystères, et la quête personnelle d'un homme à la recherche de lui-même et de sa part spirituelle. L'occasion aussi, pour le célèbre psychiatre, d'évoquer les difficultés et les doutes qui émaillent l'exercice d'un métier confronté à la misère humaine. Passionnant et sans concessions.

Hors de tout courant dogmatique, cette brillante analyse des pièges psychologiques dans lesquels nous nous enfermons lorsque nous avons du mal à affronter nos problèmes, ne se contente pas d’en décortiquer les ressorts : elle propose une méthode basée sur la discipline et définit l’amour comme une action et non un sentiment. Il faut renoncer à une part de soi-même pour évoluer psychologiquement et spirituellement. Car Scott Peck fait très peu de différence entre ces deux aspects de l’évolution humaine.

Un ouvrage précieux pour réordonner ses priorités, retrouver espoir et confiance en soi.

Une amie m'a prêté cet ouvrage que Scott Peck, psychiatre et auteur américain, a écrit en 1978, l'introduisant avec la phrase-postulat de l'auteur "La vie est difficile". Je ne sais pas si la vie est difficile ou non, et ce n'est pas le sujet. Ce qui est vrai est que Le chemin le moins fréquenté est l'un des livres de développement personnel les plus enrichissants que j'ai lus ces dernières années et c'est pourquoi je souhaitais le partager avec vous.



"La vie n'est pas facile", alors, et l'évolution spirituelle passe par la douleur, la souffrance et la dépression qui n'est que le symptôme de l'abandon de notre ancien état vers un état supérieur. L'auteur nous propose le chemin de l'autodiscipline pour faire face aux problèmes - au lieu de les éviter - afin de pouvoir les résoudre. Les techniques de bases de l'autodiscipline sont : retarder la satisfaction, assumer ses responsabilités, se consacrer à la vérité et trouver l'équilibre.



Scott Peck tente aussi de reconcilier science et religion au travers de la notion du paradoxe et nous propose d'accepter que tout ce qui n'est pas mesurable ou appréhendable par les lois de la nature n'est pas pour autant irréel.



Il aborde les thèmes de l'amour qui n'est pas un sentiment mais une volonté, de la grace, de la perception du miraculeux du quotidien, et nous met aussi en garde contre les raccourcis et le charlatanisme.



Le chemin le moins fréquenté finit par une note positive puisqu' aujourd'hui c'est le chemin qu'empruntent ou tentent d'emprunter de plus en plus d'entre nous.



En voici 3 extraits :



"Cette politique de l'autruche, c'est aussi le refus de retarder la satisfaction. Je l'ai dit, faire face aux problèmes est un processus douloureux. Les affronter dès leurs premières manifestations, volontairement plutôt que poussé par les circonstances, cela veut dire abandonner une situation relativement confortable pour une autre, beaucoup plus douloureuse. C'est choisir de souffrir maintenant en espérant que la satisfaction viendra plus tard".



"Nous évitons la vérité et la réalité quand elles sont trop douloureuses. Nous ne pouvons corriger nos cartes que lorsque nous avons la volonté de surmonter cette douleur. Pour ce faire nous devons nous consacrer à la recherche de la vérité; car elle doit être, à nos yeux, plus importante plus vitale que notre confort".



"A travers les âges les mystiques nous ont parlé en termes de paradoxe. Est-il possible que nous commencions à envisager un terrain d'entente entre la science et la religion? Si nous sommes capables de dire qu'"un humain est en même temps mortel et éternel" et que "la lumière est la fois une onde et une particule" nous commençons à parler le même langage. [...] Cette possibilité d'envisager le rapprochement de la religion et de la science est l'événement le plus significatif et le plus intéressant de la vie intellectuelle de notre époque. "




Lien : http://partageonsnoslectures..

« La vie est difficile », tous l'auront donc remarqué, pourtant certains ont à cœur de ne pas s'appesantir sur eux-mêmes. J'en fais partie.



Les romans feel good ne sont pas ma tasse de thé (vert), car ils sont tellement éloignés de la réalité qu'ils en sont grotesques à mon goût. J'ai préféré lire Le chemin le moins fréquenté, apprendre à vivre avec la vie. Une actrice française ayant affirmé dans une interview qu'il avait bouleversé sa vie (Mathilda May).



L'auteur, Scott Peck, psychiatre mondialement connu et respecté a rencontré un succès immense avec ce livre que j'ai dévoré avec jubilation.

Il nous y explique de quelles manières, lorsque nous sommes mis face à nos responsabilités et que nous nous auto-disciplinons, le poids des cultures familiales qui nous écrasent peut s'effacer, et de quelles manières les (très) bons psy permettent à leurs (courageux) patients à analyser leurs difficultés, et à se construire enfin.



A travers les récits de ses "clients", nous comprenons ce que personne ne nous a jamais appris : les leçons fondamentales pour progresser, se développer, aimer, s'engager et être plus fort. Ce travail peut, d'après lui, se faire sans aide ! Il suffit juste de volonté et de savoirs. D'où l'intérêt de ce genre d'ouvrage.

Absolument pas simpliste (il ne se lit pas en trois jours), en rien réducteur, cette bible de développement humain respectueux de soi et des autres va du coup s'inscrire sur ma liste « livres à emporter sur une île déserte ».

On ne se sait jamais !



A lire et à relire donc, avec un petit bémol cependant : sur l'édition 1978 les liens psycho/spiritualité religieuse (chrétienne) qu'il établit dans sa pratique sont un peu lourds, pénibles.

Mais je lui pardonne… car son ouvrage est tellement enrichissant que cela n'enlève pas ses qualités de forme et de fond.




Lien : http://justelire.fr/le-chemi..

Ce livre s’adresse notamment à tous ceux qui envisagent d’avoir une fois recours à un psychologue ainsi qu’à ceux qui ont sauté le pas, mais qui ont été déçus, voire dégoutés par l’expérience.



En effet, Scott Peck sait de quoi il parle. Psychiatre sur la côte nord-est des États-Unis, il a accueilli dans son cabinet des centaines d’adultes issus majoritairement de la frange aisée et éduquée du Connecticut.



Il explique avec humour et honnêteté sa vision du rôle de « réparateur des âmes » en recourant toujours, et c’est la force de cet opus, à des exemples concrets de thérapies menées à bien.



Son livre se divise en 4 parties, à mon avis indissociables : la discipline, l'amour, la religion et la grâce.



Pour Peck, un minimum d’autodiscipline est presque un prérequis pour celui qui désire réussir la revitalisation de son être profond. Cette valeur se traduit par la capacité de dire la vérité au soignant et de lui faire entièrement confiance. Car mentir aux autres, c’est aussi mentir à soi-même, d’où l’importance d’assumer ses pensées et ses actes en toutes circonstances. Cela implique notamment le désir de se débarrasser du vieux filtre mental, développé dans le passé, pour en recréer un nouveau plus adapté à l’existence que nous souhaitons avoir à l’avenir. Avec une caméra noir-blanc, impossible de voir toutes les nuances de couleurs qu’offre la vie.



Quant à l’amour, il s’agit d’un acte de volonté. L’auteur en profite pour démonter le mythe du romantisme qui, selon lui, n’est guère plus qu’une attirance instinctive et hormonale pour un autre être... Dès que celle-ci cesse, la passion s’évapore. Non, le vrai amour c’est celui qui nous pousse à vouloir le développement spirituel et psychologique de l’autre, quelles qu’en soient les conséquences. Autrement dit, une relation sentimentale basée sur la domination ou le chantage affectif n’en est pas un, c’est de l’appropriation illégitime !



Tertio, la religion qui constitue peut-être l’aspect le moins familier pour un Européen nourri au lait de la laïcité. Mais, attention, si on élargi cette notion au champ plus vaste de nos croyances profondes (en la politique, l’argent, l’écologie, la science...), alors on s’aperçoit du profit à tirer des réflexions peckiennes. « A court terme, c’est plus confortable de rester où nous sommes, d’éviter la souffrance que cause la mort de nos chères vieilles idées. Or, la route de l’évolution spirituelle part dans la direction opposée. Il faut commencer par douter de ce que nous croyons et chercher activement ce qui est inquiétant et inconnu » !



Et de poursuivre : « Il n’existe pas de bonne religion héréditaire. Pour vivre pleinement, il est indispensable que notre religion soit complètement personnelle, entièrement forgée par nos doutes et la remise en question de notre propre expérience de la réalité » (p. 221).



Last but not least, la grâce. C’est apparemment ce chapitre qui a conduit l’éditeur Random House à refuser le manuscrit de celui qui était à l’époque un illustre inconnu du paysage intellectuel new-yorkais. Au point que Peck édita finalement 5'000 exemplaires de son livre à compte d’auteur. Ça n’est que six ans plus tard que l’œuvre devint un best-seller.



Mais revenons-en au contenu de cette partie. En s’appuyant encore une fois sur son expérience, le psychiatre remarque que la croyance au scientisme et au matérialisme finit à terme par s’avérer un cul-de-sac de la pensée menant à la désillusion et au cynisme destructeur. C’est tout le contraire de la grâce, au sens religieux et philosophique du terme, qui par son côté malléable et par définition insaisissable permet d’atteindre un niveau gratifiant d’évolution spirituelle. « Ceux qui ont atteint ce stade, note Peck, savent que leur conscience vient de l’inconscient. » Ce dernier constitue une sorte de rhizome de l’intelligence universelle auquel ceux qui ont pris le temps de méditer arrivent à se connecter. « Si on leur demande d’où viennent leur savoir et leur pouvoir, ils répondront :

- Cela ne m’appartient pas. Ce n’est que l’expression infime d’un pouvoir beaucoup plus vaste. Je ne suis qu’un transmetteur » (p. 329).



Or, « malgré la joie qui l’accompagne, l’expérience du pouvoir spirituel est aussi effrayante (...) C’est facile d’agir avec une conscience limitée et d’ignorer les conséquences. Mais, plus notre conscience augmente, plus elle a d’éléments avec lesquels elle doit compter pour prendre des décisions. Et, plus on sait, plus les décisions sont complexes (...) Le pouvoir spirituel n’est donc pas uniquement être conscient : c’est aussi la capacité de prendre des décisions avec toujours plus de conscience » (p. 330).



Pour conclure, ce compte-rendu ne saurait rendre compte de la profondeur et de la largeur des idées abordées dans ce livre édité pour la première fois en 1978 ! Mais, ce qui prouve sa valeur c’est que son contenu ne paraît pas avoir pris une ride en quarante ans. La technique a certes beaucoup évolué depuis, mais la nature humaine et les questions existentielles qui l’accompagnent sont restées les mêmes, car elles semblent échapper à l’espace et au temps...

Je pensais avoir là un livre sur la psychiatrie, la psychologie, mais nous ne sommes pas loin d'un livre sur le développement spirituel voire de spiritualité.

L'auteur en quatre parties nous décortique au travers d'exemples concrets nos comportements dans la vie et les erreurs de jugement que nous faisons, surtout face à nous-mêmes, cause de nos souffrances, de nos névroses, de nos difficultés ou échecs, voire de la dépression ou des maladies.

La première partie concerne la discipline.

En quatorze chapitres Scott Peck nous explique l'importance de celle-ci vis à vis de nous-mêmes, de nos proches mais surtout de nos enfants. Comment exiger d'eux un bon comportement si nous ne montrons pas l'exemple.

La deuxième a pour sujet l'amour.

Vaste sujet au contour un peu flou car ce que nous prenons pour de l'amour n'en ai pas forcément. Est-ce que le coup de foudre est de l'amour ? Ou celui-ci commence-t-il lorsque la lune de miel est finie ? Nous nous croyons amoureux mais le sommes-nous réellement ? Une grosse quinzaine de chapitres pour répondre à cette question avec un étonnant passage sur l'amour que nous portons à nos animaux.

La troisième : l'évolution de la religion.

Celui-là je l'attendais, préparant déjà mes contre-arguments. Mais l'auteur s'en sort très bien, renvoyant les religions dos à dos. Juste un bémol lorsqu'il déclare que : "l'univers est réel". Même si 99 % de l'humanité en est convaincu, quelques écoles affirment que non. Bien loin de moi de prendre position mais l'auteur à quelques paragraphes de là nous exhorte de toujours tout remettre en question.

La quatrième et dernière nous parle de la grâce.

Si les précédentes parties ne font que quelques incursions dans le monde de la spiritualité, celle-ci y est presque exclusivement consacrée. Les graines qu'il a semées précédemment, germent ici. Rien que pour cette partie le livre mérite un cinq étoiles.

C'est un livre pour mieux vivre. Pour se regarder en face et voir s’il n'y a pas quelques mensonges en nous qui grippe la machine. Cette machine qui se devrait d'aborder la vie avec Paix et Sérénité mais qui bien souvent engendre frustration et échec que ce soit dans la vie personnelle ou professionnelle ... ptét même sexuelle.

Roman et policier à la fois. C'est d'abord la vie dans une institution accueillant des personnes malades ou séniles pour des séjours 'longue durée'.

La mort y fait partie du quotidien, et, encore une fois, rappelle l'importance du moment présent!

C'est aussi l'histoire d'amour incroyable entre Heather, l'infirmière angélique, et Stephen, un jeune homme très lourdement handicapé, mais doté d'une intelligence et d'une sagesse exceptionnelles. Puis, tout bascule! Il y a un meurtre ... Et l'énigme policière prend le relais, avec, pour le jeune policier qui mène l'enquête, l'apprentissage de ce milieu très particulier ...

C'était bien!

surprenant...

Il y a la dimension spirituelle, occulte. Mais c'est surtout très intéressant d'un point de vue sociologique et psychiatrique.

Un genre de livre qui n'est pas dans mes lectures favorite mais j'ai bien apprécié. Je l'ai lu peu à peu afin de réfléchir et bien enregistrer toutes les données ou presque. Une piste piur trouver le bonheur' une piste ppour guider ses enfants... De nombreux exemples permettent de bien comprendre ce que lauteur explique. Je ne suis pas daccord sur tout , mais en règle générale cela permet de mieux nous connaître et mieux comprendre certaines personnes de notre entourage.

Très beau livre ou un psychiatre ,de renommée mondiale,décrit son propre chemin de vie basé sur la psychothérapie et la spiritualité.
Lien : http://auriol.free.fr/psycha..

Aucune

ytghi