Elle se demandait parfois qui était le plus fêlé : les auteurs qui inventaient toutes ces horreurs, ou elle-même, qui payait pour lire les méfaits de tueurs à la hache et autres psychopathes, confortablement installée au bord de la piscine, jamais loin des charmants serveurs qui, selon l’heure de la journée, lui apportaient, entre deux cafés, jus de fruits ou cocktails.