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3.56/5 (sur 31 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Belmont, Massachusetts , le 17/01/1962
Biographie :

Sebastian Junger est un journaliste et écrivain américain, auteur du best-seller En pleine tempête (The Perfect Storm).

Il a passé une partie de son enfance à Paris où son père enseignait, a grandi dans la banlieue de Boston et fait ses études à la Wesleyan University du Massachusetts.
En 1984, il obtint son diplôme d'anthropologie culturelle à l'Université Wesleyan.
Journaliste indépendant, ses articles sont parus dans les revues Outside, Men's Journal, American Heritage, et The New York Times Magazine.
Junger a également couvert la guerre en Bosnie pour la radio et suivi les smoke jumpers (pompiers parachutistes) durant des incendies en Idaho.
Sebastian Junger a également travaillé en tant que bûcheron, et a été blessé durant cette activité.
En octobre 1991, il fut témoin de la « Tempête de l'Halloween 1991 » à Gloucester, ce qui l'amena à rencontrer les membres des familles des disparus du bateau de pêche Andrea Gail et à rédiger son premier livre, En pleine tempête.

Celui-ci fut par la suite adapté au ciném par Wolfgang Petersen en 2000.
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Source : Wikipédia et Bibliosurf
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Vidéo de

The Perfect Storm (En pleine tempête), film d’aventure américain réalisé par Wolfgang Petersen en 2000. Le scénario est adapté du livre de Sebastian Junger paru en 1997. Avec George Clooney, Mark Wahlberg et Diane Lane. Bande-annonce


Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Les gens exerçant des métiers où l’on risque sa vie ont souvent des prémonitions, et c’est constamment le cas chez les marins-pêcheurs, dont l’activité demeure l’une des plus dangereuses de toutes. Le tout est de savoir quand en tenir compte.
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Un pêcheur fraîchement débarqué donne l’impression qu’il ne se donnerait même pas la peine de se baisser si un billet de vingt dollars tombait sur le plancher. On pousse l’argent sur le bar comme de vieilles cartes à jouer, et, à l’heure de la fermeture, il arrive qu’une semaine de paie ait été dépensée. Pour certains, faire comme si l’argent n’avait pas d’importance est la seule façon d’oublier la terrible importance qu’il a en fait.
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L’appâtage est une opération à peu près aussi excitante qu’un travail à la chaîne en usine, mais considérablement plus dangereuse.
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Se battre provoque une telle décharge d'adrénaline que j'ai peur de rechercher ça quand je serai rentré, et au cas où je ne retrouverais pas cette sensation, de me mettre à picoler et à avoir des ennuis. Au pays, les gens qu'on boit parce qu'on a des problèmes, mais ça n'est pas vrai... on boit parce qu'il nous manque quelque chose.
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« La pêche était toute sa vie » ou « Il est mort en faisant ce qu’il aimait », mais ce sont là, pour une bonne part, de bonnes paroles destinées à réconforter les vivants. D’une façon générale, les jeunes gens de Gloucester se retrouvent en mer parce qu’ils sont fauchés et ont besoin de gagner de l’argent très vite.
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Il y a toujours un moment où l’on se rend compte qu’on est au milieu de l’océan et que si ça se met à aller de travers, ça y est, on y a droit… On voit tant de mauvais temps qu’on finit presque par s’y habituer. Mais, un jour, on voit du vraiment mauvais temps. Et cela, on ne s’y habitue jamais.
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Aller en mer c’est aller en prison, avec, en plus, une chance de se noyer. 
SAMUEL JOHNSON
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Il est révélateur, pour ce qui est de la nature humaine, qu'un nombre surprenants d'Américains (principalement des hommes) aient fini par rejoindre la société indienne plutôt que de vivre dans la leur. Ils imitaient les Indiens, se mariaient avec eux, étaient adoptés par eux, et il leur est parfois arrivé de se battre à leurs côtés. L'inverse, lui, ne s'est presque jamais produit : les Indiens ne se refugièrent presque jamais au sein de la société blanche. L'émigration semble avoir toujours eu lieu de la civilisation vers la tribu, et les penseurs occidentaux peinaient à expliquer ce rejet apparent de leur société.
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Aucun de mes enfants, dit-il, n’a rien à voir avec la pêche. S’ils me demandaient de les emmener en bateau, je leur dirais non. Ils risqueraient d’y prendre goût. Si pénible que ce soit, ils risqueraient d’y prendre goût.
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Mais quand on commence à être fataliste, il est difficile de savoir où s’arrêter.
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