La nuit venue est un éternel refrain. Aussi difficile à supporter qu'un couplet diabolique et répétitif de Stromae. Une torture psychologique qui martèle votre esprit jusqu'à vous rendre fou. Le sommeil aime à se dérober, jouer l'anguille. La nature se dérègle. Le besoin de repos et d'apaisement n'est plus suffisant pour stabiliser la courbe de survie. Chaque jour, un pas de plus vers une forme de déchéance qui ne dit pas son nom. La pénitence récursive. Plus on la craint, plus elle est cruelle.