Toutes ces personnes se tenaient maintenant aussi raides et silencieuses que des pierres, guettant attentivement le souffle de Sahee qui se faisait de plus en plus court. Chose étrange, on n'aurait pas pu lire sur leurs visages la moindre trace du chagrin que l'on éprouve lorsqu'on assiste aux derniers instants d'un parent. Non, Tamayo exceptée, c'était plutôt une sorte d'irritation qui se peignait sur leurs visages.