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Citations de Serena Giuliano (1167)


Je ne note que le positif car c’est le plus difficile à se remémorer. On a tendance à être marqué par ce qui ne va pas, par les souffrances, par l’agacement, plutôt que de prendre le temps d’apprécier les moments où tout va bien. Je suis convaincue que c’est ce qui a sauvé mon couple à plusieurs reprises. […] Si on a envie de continuer à écrire les beaux moments, il faut d’abord s’unir pour surmonter les mauvais.
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La vie est un sourire, celui qui ne rit pas meurt assassiné !
Page 66
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Pigliate o buono quanno te vene, ca u malamente non manca maj.
Prends les bonnes choses lorsqu'elles se présentent, car les mauvaises ne manqueront jamais.
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J'aimerais un jour réussir à provoquer une telle émotion, moi aussi. Faire dresser les poils sur les bras, faire monter les larmes aux yeux, couper le souffle. C'est un pouvoir, un super pouvoir. Je veux l'avoir.
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Merci, Jerome,car, en t'envoyant ces cartes, jai découvert plusieurs choses.
Tout d'abord que j'aimais écrire sur ma région, sur les lieux que j'aime, sur mon pays
En voulant te séduire toi, cest moi que j'ai convaincue.
Je me suis rendue compte que tu ne méritais pas toute cette beauté, et, surtout tu ne méritais pas moi non plus...
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La discipline est aux Napolitains ce que l'amabilité est aux Français.
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Ma nonna était une maniaque. Tenir son foyer, c'était toute sa vie, faire le ménage une religion, et elle a transmis ça à sa fille.
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J’aime écrire car cela ne fait pas de bruit. L’écriture permet de crier en silence, de pleurer sans larme, de communiquer sans parole.
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... je rêvais d'avoir une fille. Je l'ai longtemps fantasmée avec de longs cheveux bouclés. Parfois, même, elle me manquait. Comment peut-on ressentir l'absence d'une personne qu'on n'a jamais connue ?
Je crois que j'aurais aimé lui donner la vie, l'aider à devenir une femme, une grande femme, belle dedans, épanouie dehors. De ces femmes fortes, élégantes dans l'âme, de celles qui marquent, de celles qui comptent. J'aurais aimé lui expliquer à quel point c'est beau d'en être une, à quel point c'est trop souvent difficile aussi. J'aurais voulu lui dire de respecter les autres, et de prétendre au même respect en retour, toujours. J'aurais voulu lui dire de se respecter elle en premier, et que finalement c'est ça le plus compliqué et le plus essentiel. J'aurais aimé lui expliquer qu'une femme peut tout être, tout devenir, que le choix appartient à chacune. J'aurais voulu la guider. Lui hurler qu'elle peut y arriver, qu'elle en est capable, qu'il n'est jamais interdit de rêver, qu'il est toujours permis d'échouer. J'aurais voulu l'aider à se relever des chutes inévitables, l'encourager, la soutenir. J'aurais voulez l'aimer.
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Nous continuons cependant à faire face à des remarques racistes. La maison de Franco a même été taguée l’autre nuit. Mais, pour un tag, il y a eu dix personnes qui se sont proposées pour nettoyer la façade dès le lendemain. La haine restera minoritaire. On sera toujours plus nombreux, toujours plus forts.
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"je suis surtout une maman paumée, qui aimerait bien faire, mais qui n'a pas reçu les bons outils. C'est comme vouloir monter un meuble Ikea sans leur clé magique."

"Ce n'est pas vous qui avez peur, mais l'enfant qui est en vous. Vous avez envie de protéger encore cette petite fille-là. Mais elle est devenue une femme maintenant, et peut se défendre toute seule."

"ma véritable chance, c'est d'avoir trouvé un mari en tout point différent de mon propre père."

"Quand je serai grande, je ne veux pas être ma mère."

"Il paraît que l'espoir fait vivre, et comme j'ai moyennement envie de mourir, alors espérons."

"j'étais tombée immédiatement de son sourire, un peu en coin, sincère et doux. Quinze ans plus tard, je l'aime toujours autant, plus encore peut-être. Il fait partie de moi. Il est mon roc. Fort, rassurant, au milieu de la tempête qu'est ma vie."

"J'aime écrire car cela ne fait pas de bruit. L'écriture permet de crier en silence, de pleurer sans larmes, de communiquer sans paroles."

"Qu'est-ce que ça fait de ne penser à rien, de ressentir une vraie plénitude ? Qu'est-ce que ça fait d'être zen ? Je cherche dans ma vie d'adulte et je ne trouve pas. Pas un moment. Pas un bonheur qui n'ait été entaché par une petite crise d'angoisse bien sympathique, par une douleur intense due à l'estomac qui se serre. Jamais une journée entière sans cogiter, ruminer. Jamais."

"Je me sens si fatiguée. Et la fatigue attire les crises d'angoisse. J'en fais quotidiennement en ce moment. Ça m'épuise de devoir les combattre, les contourner et, donc, je suis encore plus fatiguée, et je fais encore plus de crises. Quel magnifique cercle vicieux, n'est-ce-pas ?! Ça donne envie, non ?"

"Je me déteste d'être comme ça? Je me hais profondément de ne pas être juste normale. Je me rends compte que je suis mon propre bourreau."

"J'ai un besoin permanent de maîtriser ou, du moins, de penser maîtriser la situation. Difficile de gérer quoi que ce soit lorsqu'on sort du train-train quotidien."

"Il n'y a pas de honte à aimer un père qui vous a fait énormément souffrir,"

"Adel est le pilier de ma vie. Sans lui, tout s'écroule. Il est le rocher solide en pleine tempête auquel je m'accroche pour ne pas me noyer. Il me rassure quand j'ai peur, relativise quand je panique. Il n'y a que dans ses yeux que je me sens importante. Je sais qu'il m'aime alors qu'il n'y est pas obligé, voyez. Parfois, j'imagine qu'il me quitte, et cela serait pire que tout, pire que la mort."

"Je n'ai pas envie d'écrire un roman. Ils se rendent pas compte, eux, de combien ça ferait mal. Ils ne savent pas , eux, qu'écrire, que poser des mots, ça pèse lourd. Qu'écrire, c'est graver, c'est faire exister, c'est ne plus jamais pouvoir ignorer."

"J'ai compris que mon passé ne devait plus être un obstacle à mon futur, mais que j'allais puiser en lui le courage d'aller toujours de l'avant."
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Je souffre et j'ai tellement envie de me plaindre que je me demande si je ne suis pas devenue un homme.
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- Comment vous sentez-vous lorsqu'il n'est pas là ? A part en colère ?
- Mais bien, en plus ! Ça me permet de faire mes trucs tranquille, de m'épiler la moustache et de faire caca la porte ouverte !
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-J'aimerais mettre en place quelque chose pour le 8 mars.
-Pour la journée de la femme ?
.-La journée internationale de la lutte pour les droits des femmes. C'est totalement différent.
-Vous avez raison. On a tendance à oublier le vrai sens de cette journée.
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Les SMS, contrairement au papier ne traversent pas les années. On communique plus, mais on s'en souvient moins.
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Alors qu'il ne fait pas loin d'1m90, pour intimider nos enfants, le mâle de la maison dégaine une phrase qui marche toujours : «  Arrêtez ou j’appelle votre mère !
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Il a le corps d'un dieu grec et le QI d'un yaourt grec.
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La signora Anna est très occupée à faire faire des exercices à son mari, dont l'état n'évolue pas vraiment.....
- On s'est connus à quinze ans, me raconte-t-elle, et j'en ai bientôt soixante-dix. Je te laisse faire le calcul. C'est pas facile tous les jours , un mariage ; c'est des concessions, des sacrifices, des disputes. Mais si on s'aime, on va au-delà de tout ça.......
- Amore vrace, s'appicia e po'fa pace !
"Le véritable amour se dispute et puis se réconcilie!"
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Aimer quelqu'un, c'est lui confier un pistolet chargé et prier pour qu'il n'appuie jamais sur la gâchette.
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Finalement, on aime à quatre-vingt-dix ans comme à quinze, l’âge ne change rien. C’est la seule émotion qui arrive toujours à tout chambouler. Peu importe le corps, les rides. Peu importe l’enveloppe, il n’y a que le cœur qui compte. Et tant qu’il bat, il peut aussi vibrer.
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