Écrire sous un pseudonyme permettait à Robertine d’émettre ses idées, de bafouer les conventions avec un peu plus de liberté. Cela lui permettait surtout d’être journaliste, une profession déshonorante s’il en était, même pour un homme – imaginez une femme journaliste, une bourgeoise en plus! Ce déshonneur aurait éclaboussé toute sa famille.