Rien ne lui fut épargné. On lui fit même remarquer que certaines des images dont elle avait illustréses livres présentaient un caractèresecuel latent. Sous le crayon de la femme au chignon gris, tout devenait sale : le buisson se changeait en touffe pubienne, l'arbre dressé en pénis turgescent, à croire que Sarah, depuis cinq ans, travaillait pour un éditeur spécialisé dans la littérature pornographique.