Il faut cette harmonie entre le laisser-aller du corps en position confortable et la polarisation des yeux pour que le monde glisse enfin à vos côtés en ce pan indéfini et inépuisable, si fidèle au mouvement de l’être qu’on voit enfin venir le réel bien que ce dernier, indéchiffrable, indistinct, insaisissable, ne cesse de fuir toute forme comme sous un rideau de perles ou de larmes