Comment se fait-il que nous ne pressentions pas l’arrivée des grands malheurs? Que des tragédies nous frappent au moment où nous nous y attendons le moins? Pourquoi sommes-nous différents des animaux, qui fuient à l’avance l’endroit où leur vie risque d’être brisée par un tremblement de terre?
Si j’étais un chien, ou un chat, ou un éléphant, ou même un oiseau, j’aurais le bon sens de m’enfuir loin d’ici, mais contrairement à eux, je n’ai pas l’ombre d’un pressentiment.