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4.11/5 (sur 65 notes)

Nationalité : Espagne
Né(e) à : Barcelone , 1975
Biographie :

Après des études de lettres, Sergio Sierra écrit pour différents journaux espagnols en tant que rédacteur culturel, ainsi que pour des revues de SF.

En bande dessinée, il a scénarisé plusieurs albums, dont "Pinzel de Zorro" (2007) avec Meitxell Ribas au dessin.

"Yôkai" (2013) est sa seconde bande dessinée publiée en France.

son blog : http://daykoku.blogspot.fr/
Twitter : https://twitter.com/Daykoku

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livres sur la mythologie nordique


Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
- Le prix que les dieux exigent pour céder leur pouvoir est énorme. Je ne peux l’invoquer à la légère, Harek.
- Je suis désolé, Leif. Quand nous t’avons amené ici, tu étais… Nous n’avons rien pu faire pour ton œil.
- Ce n’est pas grave, Halldora ! Odin, les Ases… Ils exigent toujours un sacrifice en échange de leur aide pour altérer l’ordre naturel des choses.
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"Le destin d'Eimar était de devenir roi de Vestfold. C'est ce que cette vieille sorcière lui avait prédit à Vestfold...Mais il est mort avant l'heure. A cause de ce fils de pute d'Harek. Il a tout foutu en l'air.
_Certes...mais apparemment, ça ne tourne pas trop bien pour lui non plus. Quelqu'un se charge de te venger.
_Les dieux ne font jamais rien par caprice, Svein !"
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Mais Thor n'entendait pas le bruit de la salle ni les voix des nains, qui depuis qu'il s'était saisi du marteau, lui expliquaient ses vertus magiques. Le fils d'Odin ressentait la fusion qui s'opérait entre lui et l'arme. Un frisson, venu de la tête métallique, pénétrait dans sa chair ; il se transmettait à sa main à travers la poignée et remontait le long de son bras vers son cœur, puis jusqu’à ses pensées. Dans son esprit, il sentait que le marteau était devenu un prolongement de son bras. Il le soupesait, vérifiait son équilibre, le déplaçait d'avant en arrière aussi naturellement et simplement que s'il bougeait les doigts de sa main. Il n’avait pas besoin qu'on lui indique ce que le marteau pouvait faire, car il ne faisait plus qu'un avec lui. Il sentait que le marteau pouvait exécuter tout ce qu'il échafaudait , qu'il pouvait être lancé sans jamais manquer sa cible, qu'il pouvait frapper son ennemi avec une force capable de détruire les montagnes et ne l'abandonnerait jamais sur le champs de bataille. Il n'avait jamais ressenti une telle communion, une telle affinité avec quelqu'un ou quelque chose. Un sentiment inconnu de paix l'envahit.
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- Je vais vous parler d'Asgard et de ce qui nous a amenés jusque dans ces terres reculées. Je vous conterai aussi l'histoire de mon marteau. Sachez que tout ce que je vais vous dire, aussi étrange et fabuleux que cela puisse vous paraître, ne sera que la vérité. Depuis que nous avons fraé à votre porte, je ne vous ai menti qu'une seule fois. Vous me le pardonnerez je l'espère, car cela était nécessaire.
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Depuis, tous les chefs des nains qui lui avaient succédé avaient pris le nom de Motsognir et leur fidélité au Père de tous n'avait jamais été mise en doute. Pendant des générations, des miliers de nains artisans avaient taillé la pierre et creusé les murs de Nidavellir. Avec une extraordinaire habileté, ils avaient érigé des maisons et des palais. Les plafonds des gorttes étaient si hauts qu'ils avaient élevé de grandes tours et de robustes et magestueuses murailles, capables de résister aux assauts de n'importe quel ennemi. [à comparer avec la cité des nains dans le Hobbit]
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Sous le radieux soleil de midi, les prairies, colorées de magenta et de rose par les bruyères et les azalées, semblaient palpiter comme un énorme être vivant. Le long de la vallée, les exubérantes forêts de bouleaux et de tilleuls étincelaient. Les frênes luxuriants et les chênes massifs, puissants comme des géants primitifs, recouvraient de vert les flancs des montagnes, à l'instar de la mousse sur les rochers. Les ruisseaux, gonflés par le dégel, formaient des rapides qui devenaient des cascades. Les flots des rivières impétueuses et sinueuses se déversaient dans des lacs, où abondaient les truites, les perches, et les saumons aux écailles dorées. Sur leur surface se reflétaient les neiges éternelles des sommets et des glaciers qui les entouraient.
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- Regardez là-haut !
Le jeune écuyer désignait une colline roocheuse dénudée qui dominait la végétation. A son sommet se dressait une foreterresse. Elle était gigantesque, imposante et majestueuse, malgré le caractère rudimentaire de son architecture.
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Il faut également souligner le témoignage du chroniqueur arabe Ahmad ibn Fadlân [note de Pégase SHiatsu ; personnage historique du film le trezième guerrier, très librement inspiré de son témoignage et de la légende Bewulf] qui en 922 fut enlevés par des Varègues ou Russ, des Vikings de la région de la Volga venus de Suède, alors qu'il faisait partie d'une délégation diplomatique envoyée par le calife abbasside de Bagdad en ambassade auprès du roi des Bulgares. En relatant tout son périple, y compris sa séquestration, il a laissé un des premiers témoignages connus sur les Vikings.
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Même les dieux devaient se plier à la puissante magie des runes.
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Un char à deux roues, tiré par deux énormes béliers, survolait hardiment les flots tumultueux. La blancheur immaculée de la fourrure des béliers se détachait sur la surface noire des eaux comme des flocons de neige sur une terre brûlée. Leurs maguestueuses cornes dorées se frayaient un chemin à travers le blizard, frappant et repoussant la pluie et la grêle dévastatrice. Quatre passagers encapuchonnées avaient pris place dans le char.
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