Et pourtant, cette vieille dame qui tricote avec détachement, ce grand-père qui s'ennuie en face du petit écran ont encore une vie qui court en eux. Ils ont quand même assez longuement vécu pour avoir le privilège de connaître mieux que survivre. Pourquoi n'apprécierait-on pas les personnes âgées au moins autant que les vieux bouquins ou tout ce qu'on qualifie d'antiquités? (p.94)