Il lui saisit la main avec sa chaleur et sa douceur habituelles. Leurs doigts s’entrelacèrent et…
- Oh ! C’est comme si… tout le brouillard avait été chassé de mon esprit. Ce qui est d’autant plus étrange que je n’ai jamais eu le sentiment que ma concentration était aussi floue. (Il lui lâcha la main avant de plisser le front.) Ça alors… le brouillard est revenu. (Il lui reprit la main, et son expression se détendit aussitôt.) Eh bien, je ne vais plus vouloir te lâcher, maintenant.
Biana leva les yeux au ciel.
- Du calme, frérot. Lâche mon amie, ou je te tacle comme à la balle-piège.
Fitz s’exécuta, non sans rougir.