Dormir, grelotter, grignoter, réfléchir, dormir, réfléchir en grelottant… Ça a duré plusieurs jours, je pense. Sans fenêtre ni lumière pour distinguer le jour de la nuit, je ne bénéficiais d’aucun repère.
Mais, comme le Bourreau l’avait fait remarquer, l’épreuve physique, bien que rigoureuse, n’avait pas d’emprise sur mon mental.