"[...] le pouvoir est une rouille puissante qui peut corroder le coeur fait du plus pur acier."
"N'est-ce pas ça, finalement, l'amour ? Avoir sans cesse peur l'un pour l'autre ?"
"Les vocations, ça se suscite !"
-Vous n'êtes pas une guerrière mais si vous vous en sentez l'âme, alors, vous avez raison. Battez-vous pour l'être. Vous serez peut être l'une des meilleures.
-Je... je ne comprends pas?!
-Vous avez en vous ces choses dont sont dépourvues à la naissance celles que vous enviez tant. Le feu, la passion, l'envie de devenir... Vous pouvez regarder le monde qui vous entoure sans bellissisme. N'être guerrière que quand il le faut. C'est une chance...
-Non! C'est une faiblesse! Je dois être sans cesse une combatante!
-Ne soyez pas sotte. Un oiseau nait pour voler, mais il se sert volontier de ses pattes.
N'est ce pas cela, finalement, l'amour? Avoir sans cesse peur l'un pour l'autre?
- Tiens ? Vous n'avez pas d'ailes ? Un regrettable coup d'épée ?
- Je suis deirdre. On me les a ôtées lors de mon entrée en noviciat.
- Et comment se nomme la plus exceptionnelle des guerrières de la princesse Demer ?
- Guéniiëllandrovil Guevandriin Orovindria. Mais ça n'a pas d'importance. Nous ne serons jamais amis.
Je t'ai appris que notre force n'est rien face à celles à l'ouvrage dans la nature. Que le marteau ne vaut que si l'enclume est forte.
-Je ne comprends pas pourquoi on s'use la santé à garder cette vieille porte par ce froid.
-Arrête de penser et obéis aux ordres! ça, c'est bon pour la santé!
- Si vous avez besoin... de quoi que ce soit, un petit cordon se trouve à la droite de la tête de lit. Il faut juste s'en saisir délicatement et tirer doucement vers vous...
- Parfait. Je pourrais m'en servir pour garrotter un visiteur noctambule et importun.
- Je fuis tout ce qui peut m'éloigner de mon but.
- Tout comme moi. Je cours sans cesse à le rejoindre.
- Et, à part mettre tout ce qui porte barbe dans votre couche, peut-on en connaître la nature ?
- Déjà jaloux ?
- Pas encore amoureux.
- Ca viendra.