Sigrid Renaud

Nous voilà au cœur d’une histoire de pirates et de malédiction dans un registre très jeunesse.



Cornélia Jones, dit Nel, a perdu sa mère qui est décédée et vit avec le Flamand, dit aussi Musaraigne. Sa vie est relativement calme et tranquille jusqu’à ce qu’elle soit enlevée par un capitaine corsaire. Sa vie va être totalement chamboulée car elle va apprendre qui est réellement son père, ce qu’il a subit avec les serpents de Mer, et qu’elle a des pouvoirs dont elle ignorait complètement l’existence. Entre malédiction et piraterie, elle va vivre une aventure trépidante mais risquée...



Sigrid Renaud écrit pour un public assez jeune et j’ai donc eu assez de mal à m’attacher aux différents personnages.

Tout d’abord il y en a beaucoup et à mon goût, ils ne sont pas suffisamment mis en avant pour arriver à créer un lien d’attache avec eux. Cependant l’histoire se lit relativement vite car l’idée de malédiction est assez intéressante.

Pour les personnes qui apprécient les histoires de pirates et de malédiction, ils passeront de toute évidence un agréable moment.

Certains personnages sont assez intéressants.

Pour ma part j’ai apprécié Florin et sa métamorphose qui est assez bien mis en valeur au cours de l’histoire.

La relation entre Nel et Fine Aiguille est aussi bien amenée et j’ai beaucoup aimé ce rôle protecteur mais pas trop que cette dernière a eu envers Nel. Elle ne l’étouffe pas mais la prend sous son aile pour la faire évoluer.



Après certaines personnes pourront en apprécier d’autres ou pas.

La fin m’a laissé assez perplexe. J’aurai préféré plus d’amour pour finir en beauté.



Malheureusement je n’ai pas été totalement conquise par l’histoire mais un public plus jeune saura l’apprécier à sa juste valeur.



Je tiens à remercier Babelio et la masse critique ainsi que les éditions Auzou pour l’envoi de ce roman.
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: Nel.

À peine présentée aux lecteurs, déja enchainée dans la câle de pirates...pardon de Corsaires, devrais-je dire.

Nous nous prélassions dans une petite bourgade côtière des Caraïbes quelques pages avant, tranquilles, là où même une adolescente commencerait à s'y ennuyer ferme pourtant, jusqu'à ce que les choses basculent et se précipitent de façons désastreuses en une vingtaine de pages.

Les histoires de pirates que lui racontait petite sa mère ne lui semblaient pas si dangereuses et éprouvantes.

Les pirates n'auront eux pas de temps à perdre et surtout avec les dettes.

Nous ne saurons pas encore clairement ce que les parents de Nel et ce que son père adoptif "le Flamand" devront à quatre pirates reconvertis en corsaire sous les ordres de Sa Majesté la reine d'Angleterre, mais les mauvaises habitudes seront dures à perdre pour eux si il y a un trésor ou de la magie à collecter.



Cordélia "Nel", 15 ans, filles de pirates défunts, se trouvera prise dans les démêlées de ses parents et leurs anciens collaborateurs. Élevée par un ami de la famille, le "Flamand" - qui s'est reconverti en marchand de jouets à Maracaibo ( au Vénezuela) -, c'est fissa que les deux partiront pour une destination forcée.

Les corsaires évoqueront une histoire de "Serpents de mer", d'un lien magique avec Marieke la mère de Nel et d'une ressemblance de serpent avec la petite Nel.

Est-ce là une métaphore raciste pour traduire un aspect noir et disgracieux à leurs yeux? La dimension raciste sera en tous cas banalisé chez ses gaillards au long cours et sans manières. Comment faire de pirates d'honnêtes gens? Ce n'est pas gagné et pas prèt de l'être.



C'est afin de leur échapper que le Flamand, Florin, Ben ( d'autres anciens complices des parents de Nel) et Nel passeront d'embarquations en îles pour se rapprocher du point de départ, le refuge du Flamand à Maracaibo ( si les corsaires sont venus les chercher à cet endroit est-il bien sage d'y retourner? Le Flamand ne sera pas ni d'un grand courage ni d'un grand bon sens dans le stress).

Cette course nous donnera l'occasion d'en savoir plus sur ce qui arriva à l'époque à l'ancien équipage de complices en croisant en mer le fameux peuple "Serpents".

Un vrai récit de "Pirates des Caraïbes", puisque tous ces voleurs de trésors se trouveront soient morts ou maudits par le peuple "serpents", ceux qui survivront à la Lèpre Verte n'en ressortiront pas indemne, Nel pourra le constater, frapper d'une malédiction chacun.

Le sort divers pour les survivants sera à découvrir par les lecteurs.

Dans les veines de Nel semblent couler un peu de cette héritage maudit et la troupe en fuite aimerait bien trouver remède aux effets de cette Lèpre Verte.

Cela promet de l'aventure et nous nous ferons aussi une idée plus précise du personnage de Nel, encore très effacée sur les débuts.

Gagnée par l'occasion de vivre enfin une véritable aventure, plus mouvementée que le destin d'une apprentie d'une boutique de jouets à Maracaibo, Nel va devenir de plus en plus audacieuse et moins réservée, sortant les griffes, surtout à chaque assaut tout du long d'un corsaire ex-pirate, maudit lui aussi (du sort de la résurrection). Tir au pistolet, blessure mortelle au couteau, rien n'y fait.

C'est bien après Nel qu'il en aura ( projetant de boire son sang plus magique que celui des mortels) et cela rendra le récit plus captivant, faisant planer au dessus d'elle une mission à laquelle elle ne pourra échapper si elle veut échapper,elle, à la mort.

Cap sur la cachette du clan des serpents!

Un récit agréable, facile à lire et qui donne le goût du voyage, de l'aventure.

La vie de Nel s'écoule, monotone, aux côtés de son beau-père le Flamand, triste vendeur de jouets.. Quand une nuit tout s'emballe : une sinistre troupe de pirates menée par l'horrible Davis, frappe le Flamand et les enlève tous les deux. Embarqués sur la frégate du corsaire, la vérité monstrueuse et dangereuse se dévoile : Nel, Cornelia en fait, porterait en elle le pouvoir de la Reine des Serpents et l'horrible Davis veut boire son sang ! Mais un marin blessé et enchaîné avec eux dans la cale, et un chat qui se transforme en homme vont s'allier au Flamand et à Nel pour une aventure périlleuse et exaltante, peuplée d'hommes-crocodiles, de cauchemars, de sorcières et de cannibales, de serpents et autres animaux étranges...

355 pages avalées en une après-midi, il faudra aux lecteurs une bonne connaissance du vocabulaire des pirates et de la navigation parfois mais un très bon moment, façon pirate des Caraïbes !

Un roman jeunesse sur fond de piraterie…



Nous suivons Cornélia, appelée Nel, qui vit avec son père adoptif et va voir débarquer chez elle des pirates qui vont les enlever tous les deux.

Écumant les mers, elle va en apprendre davantage sur son passé et ses parents et découvrir les serpents de mer auxquels elle semblerait être liée.



Il s’agit là d’une histoire pleine d’action et de rebondissements, écrite pour les plus de 9 ans.



J’ai eu du mal à m’attacher aux personnages principaux. Ils sont assez multiples et les pirates ont des appellations assez particulières. Je les ai parfois un peu confondus. J’ai aimé le fait qu’ils ne soient pas que forts, mais j’avoue avoir été assez indifférente à leur sort.



Côté univers, c’est vraiment très intéressant et je pense que cela peut très clairement séduire l’âge ciblé. La piraterie est mise en avant et l’aventure est au rendez-vous sur fond de fantastique.



Il y a plusieurs rebondissements et les révélations arrivent à point nommé.



De façon tout à fait personnelle, je n’ai pas réussi à accrocher à ce roman. Il est pourtant plutôt bien fait et hauts en couleurs, mais le sort des personnages principaux m’était totalement indifférent et j’avais surtout envie de le terminer vite…



La malédiction des serpents de mer allie personnages forts sur fond de piraterie dans une aventure sur plusieurs îles… Je n’ai malheureusement pas réussi à accrocher à cette histoire qui pourra, je pense malgré tout, séduire les plus jeunes.
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Nel voit sa vie basculer quand des pirates envahissent la boutique de jouets de son père adoptif. Va alors commencer pour la jeune fille une aventure sur les mers, et surtout Nel va découvrir ses origines. Fille de Marieke, une pirate redoutable, Nel possède dans son sang les pouvoirs des redoutables Serpents de mer. Et ils sont bien décidés à les récupérer...



La chronique complète en cliquant sur le lien de Songe !
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Lors d’un tour en librairie, j’avais repéré La malédiction des Serpents de mer de Sigrid Renaud, une autrice française qui vit en Belgique c’est toujours sympa à noter. Sa jolie couverture et ce résumé intriguant m’avait rendue très curieuse mais je n’avais pas craqué. Mais lorsque j’ai vu qu’il était proposé lors de la dernière Masse Critique de Babelio, je n’ai pas tergiversé bien longtemps et j’ai eu l’occasion de découvrir cette histoire. J’ai beaucoup aimé, une histoire jeunesse bien complète et qui ne cède pas à la facilité !



La vie, assez ennuyeuse, de Nel aux côtés de son père adoptif se voit bouleversée lorsqu’ils se font enlever par un groupe de pirates, révélant ainsi à la jeune fille le passé de celui qui veille sur elle depuis toujours et de sa mère décédée. Nel est une héroïne audacieuse et courageuse. Son enlèvement n’est que le début de nombreuses péripéties où elle rencontrera de nouveaux amis et ennemis.



J’ai apprécié toute cette ribambelle de personnages. Florin que j’ai vraiment adoré, Musaraigne toujours trop prudent, Ben l’intrépide mais réservé, la courageuse Fine-Aiguille, la vielle Mamalupa, etc etc. Ils ont tous un petit quelque chose de spécial, vous le comprendrez en lisant le livre. Ils auraient pu être un peu plus approfondis mais cela ne m’a pas empêché de les apprécier, ainsi que ma lecture.



Pour ce qui est de l’histoire, j’ai vraiment été embarquée sur les différents rafiots aux côtés de Nel ! Le résumé ne dévoile qu’une petite partie du récit et ce fut encore plus chouette de découvrir le reste. C’est un tome unique bien construit. L’autrice donne une certaine dynamique à ses mots et je ne me suis jamais ennuyée.



Bref, La malédiction des Serpents de mer de Sigrid Renaud est une chouette histoire jeunesse comme je les appréciée. Des personnages hauts en couleurs, plein de courage mais qui possèdent aussi leurs faiblesses, l’autrice ne les épargne pas. Je ne m’attendais pas à découvrir un récit bien plus complexe que le résumé ne laisse paraitre. J’ai beaucoup aimé !
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Un univers fantasy bien intrigant, à peine esquissé par l'auteur tout en nous laissant percevoir sa complexité, et douze heures dans la vie d'un troll victime d'un complot. Douze heures riches en émotions et en actions, qui nous laissent entrapercevoir un monde médiéval fantastique riche, peuplé de nombreuses races, dans une ville où se côtoient complots et volontés de faire respecter l'ordre.



Et l'univers est vraiment intéressant. Je me répète, mais il a vraiment l'air d'être particulièrement complexe et bien perçu par l'auteur, ce qui laisse presque une impression de frustration. Un peu comme si on ouvrait une fenêtre sur un monde mais qu'on ne pouvait pas s'y pencher pour regarder un peu plus loin ni trouver la porte pour y entrer carrément. Les différentes races abordées sont attachantes, et les aventures des personnages présentées sont liées à un contexte fort, à une histoire complexe dont on a seulement les trames, de quoi comprendre parfaitement l'intrigue du livre, mais jamais plus de détails.



Ca serait vraiment intéressant d'avoir d'autres facettes de cet univers, à travers d'autres personnages/époques/continents.



Pour le reste, l'intrigue n'est pas vraiment complexe et les heures s'enchaînent assez vite pour que le dénouement vienne rapidement sans présenter trop de failles. Et l'auteur joue plutôt bien avec les aspects de l'univers qu'elle nous présente au fur à mesure pour que ça ne soit pas trop obvious dès les premières lignes.



Une histoire vraiment intéressante à lire, en tout cas.

Sigrid Renaud nous propose un roman sympathique mais parfois un peu lent. L'histoire est un mélange de merveilleux et de policier. Nous suivons la mésaventure de Snaeffel Snaeffelsson, troll horloger de Port-Glacé, accusé du meurtre d'un singe.

Comme je l'écris un peu plus haut, il y a de nombreuses longueurs dans ce récit, parfois même quelques lourdeurs (par exemple avec l'elfe Ming qui ne cesse de proférer des jurons "culinaires" à base d'insectes). Cependant, il reste agréable à lire.

L'éditeur conseille ce livre à partir de 11 ans mais je le réserverais davantage aux bons lecteurs.

Honnêtement, je ne vois pas du tout ce que je vais dire sur cette lecture, j’espère que ça viendra au il de ma rédaction. Même mon résumé sera court.



Liléia essaie de rejoindre la tour d’Arghentur afin d’affronter le Maître, pour ce faire, elle est accompagnée de ses acolytes dont Celwyn, Rajna, tout un groupe de Torques, pour ne citer qu’eux. Il y a tellement de personnages avec elle que je n’en ai pas retenu la moitié.

En parallèle, son cousin Tomas fait équipe avec les Selves, entre autres, et ils… ils… je ne sais pas ce qu’ils font… ils prennent d’assaut un avant-poste qu’ils conquièrent… pour une courte durée, puis ils fuient. De son côté également, il y a tellement de monde que je suis bien incapable d’en nommer ne serait-ce qu’un quart.



Je pense que c’est ça le problème : beaucoup trop de personnages. Ceux rencontrés dans le premier, je les ai complètement oubliés à part Liléia, Celwyn et Tomas, malheureusement eux trois jouent limite les figurants. Et ceux qui apparaissent dans ce second tome sont fadasses et aucun fait ne les différencie les uns des autres. Du coup, je ne savais jamais si untel était dans le groupe de Liléia ou de Tomas. Ça a rendu cette lecture laborieuse : j’ai passé mon temps à décrocher et à m’endormir au bout de quelques paragraphes.



Le fait qu’il y avait trop de personnages a joué sur tout : sur le rythme lent du récit, la place beaucoup moins importante des héros et même sur l’histoire puisqu’il ne se passe pas grand-chose. Il y a bien eu quelques passages où ça bouge un peu comme l’affrontement entre le dragon et Rajna, mais ça tournait court – je me suis ennuyée à mort.

Je pense que j’ai dit l’essentiel donc je conclurai en disant que j’ai détesté cette lecture.
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Ça fait deux jours que je me demande ce que je vais pouvoir dire sur ce roman jeunesse et rien ne me vient, ce qui est surprenant étant donné que j’ai passé un bon moment avec ses personnages.



Liléia est chargée de livrer une lettre dans un village à une demi-journée de la ferme familiale Erlash où elle vit. En rentrant à la nuit tombée, elle est attendue par Celwyn, un ami de son oncle Délian. En la raccompagnant, il évite de justesse la rencontre avec un crocheteux. Mais quelques heures plus tard, après la fête de Hélidh, la ferme est attaquée par le Maître et ses hommes.



J’ai aimé l’histoire en elle-même.

L’ambiance surtout lors de la fête Helidh était tout à fait ce dont j’avais besoin pour prolonger le plaisir des fêtes de fin d’année. La fuite de Liléia, Celwyn et leurs compagnons qui s’ensuit après les festivités était tout aussi palpitante, au même titre que celle de Tomas dans la forêt des Selves.



Je n’ai eu aucun mal à m’attacher à l’héroïne ou à son cousin. Les personnages secondaires sont assez sympathiques et ne m’ont pas déplu. Quant au grand méchant Maître d’Arghentur, il est cruel à souhait. Bref, tout pour me plaire et me mettre les nerfs à vif à chaque fois qu’il apparaît et se fâche.

Malheureusement, je n’ai pas vibré comme j’aurais dû. Au début oui, mais pas après. J’ignore pourquoi… Peut-être est-ce les répétitions qui m’ont freinée (pas répétitions de noms communs, hein, mais de nom propre… C’est désagréable de retrouver le prénom Liléia trois fois en six phrases alors que l’auteure aurait pu l’éviter la majorité du temps).



Même si j’ai aimé l’histoire, je n’ai pas réussi à m’investir émotionnellement et ça m’a laissée indifférente.
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