- Je ne crois pas que nous ayons rien à gagner, ni toi ni moi, en allant chacun de notre côté et en portant seuls notre chagrin. Tu ferais mieux de rentrer dans ta maison et en faisant ta besogne de maîtresse. Peut-être ta peine serait-elle moins lourde. (Ljot)
- Je ne supporterai plus de veiller au bien de la maison, dit-elle (Leykni). Je crois sans cesse avoir perdu quelque chose et quand j'y réfléchis, je m'aperçois que ce sont mes enfants que j'ai perdus, et qu'ils n'auront plus jamais besoin de moi.