Sô Hamayumiba

Naru, collégienne timide et peu sûre d'elle, aimerait changer de vie, trouver sa voie pour enfin s'épanouir comme son amie Yaya qui se prépare activement pour un casting avec son groupe de musique. Un soir, elle tombe par hasard sur une très belle jeune fille qui danse avec beaucoup de grâce. Pour Naru, bercée par ses lectures fantastiques, il n'y a pas de doute, il s'agit d'une fée ! Mais cette beauté blonde est en fait une nouvelle élève américaine, venue au Japon pour concrétiser un rêve : faire partie d'un groupe de Yosakoï. Enjouée et dynamique, Hana met tout en œuvre pour intéresser ses camarades à cette danse festive, traditionnelle et pourtant méconnue. Elle va même jusqu'à harceler Naru qui se sent incapable de danser en public. Mais, touchée par l'optimisme et la persévérance d'Hana, elle finit par céder.





Aucun bellâtre n'ayant fait son apparition pour faire chavirer le cœur de l'héroïne nunuche, on peut donc dire que ce shôjô se démarque de la production habituelle. Ici la passion trouve son objet dans le Yosakoï, une danse traditionnelle japonaise un peu oubliée par la jeunesse. On n'échappe pas pour autant à la mièvrerie inhérente au genre. L'adolescente rêveuse et timide, qui se trouve moche et ennuyeuse et ne trouve pas sa place parmi ses amies plus délurées et sûres d'elles est un classique et on sature devant tant de gentillesse, voire de stupidité. Visiblement peu douée pour la danse - et ses nombreux bleus et égratignures sont là pour le prouver ! - elle s'accroche tout de même, fait de son mieux et gageons que la mangaka, forte de l'idée que quand on veut, on peut, va en faire une star du Yosakoï en deux ou trois tomes. L'intérêt de ce premier volume réside d'ailleurs dans la présentation de cet art et des costumes, accessoires et instruments traditionnels utilisés. Cela permet de jolis dessins qui donnent du charme à l'ensemble. A part cela, rien de bien neuf pour cette série sans surprise qu'on n'a pas vraiment envie de continuer à suivre.

Depuis que Ran a intégré le club, càd 2 tomes, j'ai l'impression qu'on ne parle que d'elle. Très capricieuse et peu mature, elle a enfin compris les sentiments de ses coéquipières et a été touchée par leurs efforts pour l'accepter telle qu'elle est. Le yosakoi est un prétexte pour l'auteur de mettre en évidence des amitiés entre midinettes rougissantes qui s'envoient des déclarations d'amour à chaque occasion... parfois c'est frais et mignonnet, plus souvent, répétitif et agaçant. On ne voit pas le fil conducteur de la série.

Tranche-de-vie, ce petit manga est tout doux : les couvertures sont très jolies avec leurs multiples détails et objets. On y suit une bande de jeunes filles adolescentes apprenant à se connaître et à s'entraîner pour le Yosakoï, une danse traditionnelle japonaise. Cela faisait bien longtemps que j'avais commencé cette série, ainsi, j'ai eu un mal fou à reconnaître les personnages et la situation de l'histoire. En réalité, il n'y a pas une histoire si profonde ^^" Les filles sont joyeuses après avoir réussi leur spectacle et comptent bien profiter des moments présents pour souder leur groupe, voire même recruter une nouvelle dans la bande ! Ce qui est perturbant est l'humour inséré dans ce manga sur les jalousies féminines qui flirtent entre amitié et amour.. cherche-t-on à transformer ce manga en yuri ?

Quel plaisir de lire cette suite, ce manga est vraiment très beau! Il parle de passion, de danse traditionnelle, d'amitié. On retrouve Naru la discrète et Hana la danseuse de Yosakoi.



Quel plaisir de retrouver Naru et Hana. Elle sont toujours à la recherche de participantes pour leur club. Hana va demander à Tami, l'amie d'enfance de Naru de rejoindre le groupe pour danser le Yosakoi. Ainsi qu'à Yaya, une copine de classe de Naru. Le rêve peut commencer avec l'arrivée de Tami et Yaya. Ensemble, le Yosakoi devient réalité.



Tami, fille de haute et noble famille fait tout pour être à la hauteur. Mais finalement elle ne fait rien pour elle et pour son plaisir. Avec beaucoup de douceur, elle va demander à son père l'autorisation de danser. J'ai beaucoup aimé cette retenue, cette pudeur qu'elle a envers son père. Ce respect que je retrouve souvent dans les mangas envers les parents est très bien décrit.



Yaya, elle fait la forte, la dure. On pourrait la craindre à certains moments mais cela n'est qu'une carapace. Elle prend grand soin de Naru qui elle est tellement naïve, gentille, qu'elle se laisse bien souvent avoir.



Une très belle suite et il me tarde de lire le troisième tome!
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Une couverture très attirante avec de belle couleur puis un résumé qui donne envie et qui sort un peu du lot. J'avoue que j'attendais un peu, beaucoup sa sortie. Et une fois en main, il n'a pas fait long feu. On fait la connaissance de Naru, une fille banale et effacée. Elle se décrit comme tel. Elle fait tout pour rester dans son invisibilité. J'ai un grand point commun avec elle, elle adore lire, bon certes des livres pour enfants, mais ça reste de la lecture quand même lol. On se retrouve dans un univers collège, donc l'âge peut finalement coincer, mais j'ai décidé de ne pas y prêter attention. Je me suis donc mise à suivre la vie de Naru. Qui est plus que banal. Mais Hana, une américaine venue vivre au japon pour sa passion, va entrer dans sa vie. Et va un peu, beaucoup la chambouler. Hana est complètement à l’ opposer de Naru. En même temps, je pense que c'est normal, il y a deux façons de vivre et de tradition complètement différente. Mais j'avoue que cela nous donne de bonnes rigolades et de quiproquo. J'aime beaucoup la venue de cette Hana qui veut absolument danser le Yosakoï, qui est une très belle danse pour ceux qui connaissent un peu. J'ai eu l'occasion d'en voir une fois. Et c'est très féerique si c'est bien fait, en même temps j'en ai vu qu'une fois lol. Hana va donc essayer d'entraîner Naru dans cette danse. Le premier tome démarre quand même bien l'histoire. Je n'ai pas forcement eu l'impression de faire du surplace à un moment.



En conclusion, c'est une très belle découverte, pas loin du coup de cœur. J'adore les personnages qui sont complètement différents, ce qui apporte pas mal de dynamisme au manga. J'ai hâte de découvrir la suite ^^.


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Bande dessinée fantastique de mangas, cependant elle est parle que de filles !

Mais je l'ai adoré :o

Manga toujours aussi mignon, autant par les personnages que par son histoire. Parce que le mot qui reflète bien ce manga, c'est Amitié. C'est assez impressionnant de voir des jeunes filles qui se connaissent à peine s'entraider et se soutenir de la sorte. Surtout en sachant la timidité et la réserve des Asiatiques. Dans ce tome, elles vont enfin faire une représentation. Ce qui est à la fois excitant et angoissant. Personnellement à leur place, je serais morte de trouille, mais je crois que c'est en grande partie le cas lol. Mais on a aussi une histoire avec le professeur référant du club. Que j'ai beaucoup aimé parce que cela nous a permis de découvrir deux autres personnages. Avec un passage de leur vie plutôt sombre, je dirai. Mais qui finit par se résoudre. Comme toujours dans ce manga l'amitié prime beaucoup, les personnages sont parfois bien comiques à suivre. J'aime beaucoup le dessin des visages qui sont parfois plus éloquents que des mots. J'ai vraiment hâte de savoir la suite et de voir si leur club va faire partie des clubs officiels.



En concluons, je suis toujours aussi émerveillée par l'histoire. Cela peut paraître bien enfantin, mais j'aime beaucoup l'amitié qu'il y a de ce livre, de plus les personnages s'apporte mutuellement quelque chose afin de grandir, ce qui est assez joli à voir. Puis il faut dire qu'elles sont hyper motivées et déterminées alors cela ne peut que nous faire sourire.


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J'ai été captivée par cette histoire. Ici, pas de jeune fille qui s'amourache d'un garçon. Mais la découverte d'une passion... la danse. Le Yosakoï va permettre à Naru de prendre confiance en elle, de s'épanouir, de s'affirmer. Sa rencontre avec Hana est trop belle, entre le rêve et la réalité. Hana qui a l'air si sûre d'elle, si épanouie alors qu'en fait, elle "prends" le bonheur dans les choses simples de la vie! Un très beau manga, très attendrissant!
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Sô reste une valeur sure !

Avec son nouveau manga, on retrouve avec bonheur son univers doux et chaleureux. On en apprend un peu plus sur le Yosakoï, comme les jeunes filles que cherche à recruter Hana, dont l'enthousiasme suffit à donner envie de s'y intéresser.



Naru est une héroïne timide en plein changement : elle se cherche et veut découvrir ce qui pourrait la passionner, côté clubs ou même projets d'avenir. Dans l'ombre de sa meilleure amie, évidemment la fille la plus populaire de la classe, elle rêve de trouver ce qui la ferait briller à son tour.



Avec l'arrivée d'Hana, les deux copines voient leur amitié subir un test nouveau sur leurs sentiments... Leur relation se relèvera-t-elle de l'intrusion de cette nouvelle jeune fille surexcitée dans leur quotidien ? Encore un trio plein de sentiments qu'on ressent comme si on les vivait à cause de cette auteur ... Comme dans sa première série, un coup de coeur pour moi : Un carré de ciel bleu !



En bref, Hanayamata c'est un petit bijou sur l'amitié, les traditions bousculées, et surtout le changement de l'adolescence. Tout ça idéalement servi par un trait fin et charmant, c'est un bonheur pour les yeux et le coeur : à acheter sans hésiter !
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Une lecture sympathique.



J'ai été attiré par l'intrigue autour du Yosakoï, et les très jolis dessins. On commence par une magnifique page couleur, après une couverture toute aussi belle. L'histoire est charmante, c'est mignon et dépaysant. On plonge dans un univers totalement japonais, c'est très plaisant. J'ai aimé les personnages, l'héroïne est attachante, et Hana a le genre de personnalité excentrique dont je suis friande. L'ensemble est agréable à lire, et suffisamment accrocheur pour que je veuille lire la suite.



OK Tier.

J'emprunte la suite de Hanayamata avec pour seul objectif de terminer la série et j'espère que ma biblio les a jusqu'au 10... Dans ce tome, la nouvelle petite recrue Ran fait face à des problèmes personnels et relationnels envers son amie d'enfance Wako et le yosakoi. Ca prend tout un tome et on ne sait pas de quoi il en retourne... un vrai volume prise de tête pour le lecteur qui se tourne les pouces entre les scènes d'esclandre de la gamine et les rougeurs des autres copines qui s'avouent leurs amours mutuels inconditionnels (OK une fois, on a compris, mais chaque chapitre, une déclaration ?!). Vivement que je classe la série alors que j'avais trouvé le premier tome rafraîchissant.

J’avais un peu perdue de vue cette série manga, c’est le problème quand on en a trop en cours. J’avoue avoir pris un grand plaisir à la reprendre. Les filles sont toujours aussi attachantes et drôles à suivre. Dans ce tome assez mouvementé, Hana va devoir rentrer dans son pays et les filles doivent prévoir de nouvelles tenues, une nouvelle musique et une nouvelle chorégraphie pour un festival. Elles sont maintenant 5 dans leur groupe, ce qui veut dire un peu plus de discussions animées, surtout qu’elles ont toute leur propre caractère et ils sont tous assez différents. On se rend compte que l’amitié est un peu le sujet principal de ce livre. Elles sont hypers touchantes avec ce sujet, surtout Hana qui finalement à du mal à partir et à quitter le groupe qu’elle a créé. Et malgré le fait que cette dernière soit partie, les quatre autres filles vont poursuivre le rêve d’Hana. La fin est vraiment belle, c’est d’ailleurs bien dommage de ne pas avoir de pages en couleurs. J’ai vraiment hâte de lire la suite des aventures de ces jeunes filles.



En conclusion, une suite toujours aussi mignonne même si le départ d’Hana assombrit un peu la joie et la bonne humeur. Mais le tome reste toujours aussi animé et drôle à lire. C’est vraiment une série détente et toute en douceur en même temps, et tellement forte en amitié, je le ressens plus sur ce tome-là avec le départ d’Hana que dans les tomes précédents. J’ai hâte de découvrir la suite des aventures de nos jeunes amies.


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Ah une suite vraiment enrichissante et en même temps assez tendue. On entre vraiment dans la fonctionnalité du club de danse de Yosakoï. Avec une professeure comme gérante très limite et se met à s'intéresser au club que lorsque le gain est très intéressant. On voit vraiment avancé les choses sans trop avancer. C'est le grand principe du manga. On avance sans avancer lol. Le club commence vraiment à prendre forme avec l'enjeu d'être sélectionné pour une représentation. Notre personnage principal du premier tome, est devenu 4 personnages. On jongle très bien entre elles. Bon, elles se ressemblent un peu par moment donc on a du mal à bien les différencier, mais elles ont chacune leurs caractères qui fait qu'elles sont toute différentes. L'histoire est vraiment entraînante et assez mignonne malgré le jeune âge des filles. J'aime beaucoup les dessins, j'ai du le dire à chaque avis, mais c'est vrai qu'on accroche vite au style et du coup, la lecture nous parait plus facile. J'ai remarque une grosse pointe d'humour, après je ne me rappel pas en avoir vu avant ou alors timidement. J'ai découvert un autre truc aussi. Lorsque l'on enlève la couverture de protection, on a un personnage représenté avec une mini bd sur ce personnage, et du coup, j'ai regardé les anciens tomes et j'ai bien rigolé.



En conclusion, l'histoire est toujours aussi mignonne et entrainante. Avec une prof qui est vraiment limite et pourtant nous apporte une grosse dose d'humour. Un tome où l'amitié est mise en danger !!! J'ai hâte de pouvoir lire le tome suivant afin de découvrir ce qui va arriver à nos 4 héroïnes. Par contre, je ne sais pas quand il sera sorti.
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Une suite vraiment intéressante. On retrouve toujours notre fofolle Américaine d'Hana et notre timide réserve de Naru qui change un peu au contact d'Hana. Mais je trouve que les personnages principaux, enfin les deux filles, s'effacent un tout petit peu ainsi que la danse Yosakoï au profit de l'arriver de deux autres personnages. Mais surtout une Tami, qu'on découvre. C'est l'ami d'enfance de Naru, qui reflet une image de perfection, mais on en découvre une autre. Je trouve le personnage de Tami vraiment très intéressant. Il apport un vrai côté mélodramatique que le manga n'avait pas forcement avec la fofolle d'Hanna. On est toujours aussi à fond sur les personnages, même les nouveaux, on les adopte très vite. L'histoire est fluide et on ne voit pas les pages passées. Et bien sûr, comme dans beaucoup de manga, on a un petit rappel aux traditions. Personnellement, je serais très ravie de pouvoir voir l'anime en dessin animé, je m'imagine très facilement Hana et j'avoue que je rigole bien.



En conclusion, pas loin du coup de cœur, tout comme le premier. Malgré le jeune âge des héroïnes, on accroche facilement à cette histoire. Le Yosakoï est un peu mis de côté mais en même temps cela nous permet de découvrir de nouveaux personnages ^^. Vivement, la suite !!!
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« Hanayamata » voilà un titre qui peut nous laisser bien songeur, il n'évoquait pas chez moi d'idée sur ce que j'allais trouver dans ce manga. Ce premier volume possède aussi une très belle couverture, avec des couleurs agréables qui n'attaquent pas les pupilles, bref, rien que de l'avoir entre mes mains, ce manga m'a fait fondre.



La première page en couleur est très belle, les dessins sont très agréables, les jeunes héroïnes sont au collège et font relativement leur âge respectif, les personnages sont expressifs et mignons.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre et c'est ici que nous découvrons une nouvelle activité japonaise assez méconnue (de moi en tout cas) le Yosakoi, on découvre cette activité en même temps que notre héroïne, Naru, une jeune fille timide, peu sûre d'elle et à fond dans le fantastique. Je pense qu'il est facile de se projeter dans cette jeune adolescente, avoir une vie banale, ennuyante et rêver de quelque chose qui vient tout bousculer, et c'est ce qui lui arrive par chance avec sa rencontre avec une petite blond américaine, Hana.

Les deux personnages sont diamétralement opposés aux premiers abords, nous avons Naru timide, et Hana l'extravertie qui veut du monde pour sa danse~



Le récit est mignon, tranche de vie mais on reste dans un sens à la limité du fantastique avec Hana, elle est vivante, envoutante, et affreusement attachante.



Ce manga est considéré comme un seinen, chose qui m'a plutôt surprise, ce n'est pas vraiment un shojo à mes yeux (même si le style graphique s'en rapproche), shojo-ai, hu, peut-être un chouilla car il n'y a pas vraiment de garçons (bon à part leur super futur prof de Yokasoi), non je rigole, ce manga est surtout du trop choupinou ! C'est un manga particulier donc dans un sens seinen c'est bon aussi, mais c'est très loin d'un seinen sombre bien sûr.



En tout cas, j'ai beaucoup aimé ce premier volume, il est très agréable que ce soit dans l'histoire ou dans les dessins, j'ai hâte d'en découvrir la suite, car même si ce n'est pas un « manga-sport » les bases y ressemblent un petit peu vu que le but est de faire une troupe de Yokasoi, donc qui seront les prochains membres du club ?







Les bons points :

- Des dessins très agréables.

- Une histoire mignonne qui m'accroche.

- Une ambiance qui me plaît bien.



Les mauvais points :

- L'histoire peut sembler trop "banale"
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CE manga est super je vous le conseille vivement

j'ai adoré dévorer ce manga plein d'amitié et de culture japonaise et aussi américaine .Ce manga est vraiment passionnant .

Dans ce quatrième volume de nos petites danseuses de Yosakoi commencent à s'inquiéter de leur poids après une réflexion mesquine, tourne alors une interrogation sur les régimes, ce qui peut-être un peu étonnant étant donner que les jeunes filles ont 14 ans et semblent être assez loin du surpoids. Ici, cette réflexion n'est pas totalement mal venue, à cet âge le corps change et ce changement peut être mal accepté. Le corps d'enfant se transforme peu à peu pour devenir un corps de femme, il faut juste éviter que l'idée de régime germe comme idée principale lorsqu'on a un peu trop de poids.



Le régime n'est pas une solution au long terme et faire un régime alors qu'on est en pleine croissance n'est pas non plus une bonne idée.



Cet interlude étant passé, on s'intéresse ensuite plus au concours auquel les filles participent. Nous avons ici une première montée sur scène, ce qui est angoissant, les filles se rendent compte peu à peu de la différence qu'il y a entre se produire devant du monde et s'entraîner gentiment sur le toit de l'école. De plus, elles sont confrontées à des problèmes techniques ce qui n'aident pas à les rassurer.



Dans ce volume, on est axé principalement aussi sur Machi, le personnage était dans les précédents volumes vraiment secondaire, ici elle est exposée et on la découvre réellement derrière son côté cynique.



C'est un très intéressant car on découvre non seulement son passé mais aussi les relations qui la lient avec d'autres personnages. Nous avons encore le droit à quelques leçons de morales mais comme dans l'épisode « Tami », celles-ci passent car nous avons à faire à des jeunes filles encore naïves qui essayent de grandir tant bien que mal et qui veulent protéger le cocon duquel elles s'entourent.



Mais cet intérêt éloigne encore l'activité du Yosakoi qui semble plus devenir un prétexte pour lier les relations entre les filles qu'un élément central du manga. Nous sommes ici en effet assez loin de l'esprit des mangas comme « Chihayafuru » ou « Hikaru no Go » où le thème est presque un personnage même du manga.
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Hanayamata est un manga dont j'ai toujours un grand plaisir à ouvrir. La couverture est très belle et est cette fois dédiée à notre rockeuse la petite Yaya. Cette couverture est d'ailleurs en adéquation avec son contenu car ce volume lui est en large parti dédié. J'aime quand les couvertures sont en accord avec le contenu.



Le club de Yasokoi demande encore plein d'apport, un logo, un slogan, des uniformes, tout est encore à faire, mais notre survoltée de petite blonde a fixé un but d'entraînement. Une possibilité de faire une première scène avant le festival d'été, ce qui serait bien pour les demoiselles. Cependant pour pouvoir faire une représentation en tant que club en activité extra-scolaire à l'extérieur, il faut un accord, et cet accord c'est à Sally qu'il faut demander.



Nos héroïnes sont tiraillées entre l'amélioration de leur danse, de leur univers, de leur club, et les objectifs fixés par Sally pour qu'elle accepte.



Les péripéties de la première partie du volume sont assez générales, mais on a l'impression de suivre une bonne bande de copines toutes adorables. Et elle permet l'introduction de la seconde partie qui est centrée sur Yaya, celle qui n'est là que parce qu'il faut être 4 pour former un club.



Un élément perturbateur vient jouer mais ce n'est pas comme avec Tami, c'est plus violent, plus clash. Yaya est une jeune fille plus égoïste, plus normale à qui on peut aisément s'identifier. J'aime beaucoup ce passage car elles arrivent à surmonter une épreuve que je n'ai personnellement pas réussi à franchir. On peut facilement faire un parallèle avec des situations typiques dans la vie de tous les jours...



Les filles ne lâchent rien, Yaya s'embourbe dans sa décision, elle a raison et rien d'autre, c'est énervant, mais on comprend parfaitement ce sentiment. Un mélange de colère, de frustration et d'orgueil mal placé mais à cause desquels, pour une fierté à deux balles on se braque. Cette partie est juste, la conclusion est gênante, mais c'est la meilleure à mon humble avis car ce genre d'amitié, de sentiments, que dans le fond on teste pour se rassurer et pour lesquels on espère de toute notre âme que ça supportera le mauvais caractère qu'on a. C'est une preuve de l'amitié qui lie les jeunes filles. Ça rend envieux, mais c'est un manga et nous on est dans la vraie vie.



Un troisième volume qui m'a touché car j'ai eu une histoire comme ça avec une personne qui m'était chère mais pour moi ça a brisé. J'avais envie de secouer Yaya, de lui dire que c'est bête, Hana et Naru lui ont dit pour moi.



Ce qui est cependant fortement dommage c'est que je trouve toujours que Sally fait gamine à certains moments, et que j'ai repéré deux-trois coquilles. Mais c'est un très bon volume qui semble terminer en sorte le premier acte de construction du club !
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On retrouve ici nos mignonnes petites héroïnes dans un volume très tranche de vie.

Mais c'est ce que j'aime avec ce manga, il est mignon, tout frais, choupi, on ne se prend pas la tête, les dessins sont très agréables.



Ici encore, le Yosakoi est vraiment au second plan, il reste le fil conducteur car le club n'est pas encore officiellement formé dans notre petit collège mais c'est d'abord la formation des relations entre les jeunes filles qui est mise en avant.



En effet, avant de se lancer totalement dans l'activité sportive, nous faisons plus ample connaissance avec de nouveaux personnages et nos petites Yaya et Hana se rabibochent !

Dans les nouveaux personnages, nous avons une amie d'enfance de Naru, Tami, qu'elle considère comme sa princesse. Tami est une jeune fille, un an plus âgée, qui se veut parfaite pour plaire à son père distant, elle suit bien ses leçons mais envie au fond d'elle les autres qui sont plus libre qu'elle.



La jeune fille est vraiment adorable, (bon elles le sont toutes dans ce manga) elle hésite, elle ne sait pas quel choix faire. Notre petite Naru qui commence à prendre confiance en elle va l'aider à surmonter ses craintes.



Dans ce manga, on rencontre vraiment des petites tracas, des petits problèmes que chacun d'entre nous a pu voir dans sa vie, il n'y a pas de problème insurmontable physiquement, mais plutôt des angoisses que l'on peut voir naître quand on doit faire un choix.



On en découvre aussi un peu plus sur la prof des jeunes filles, on ne sait pas trop quoi penser d'elle à part le fait qu'elle regrette sa jeunesse (est-ce un clin d'oeil pour nous dire d'en profiter ?) et qu'elle est quand même bonne poire. Hana lui en fait voir de toutes les couleurs.



L'ambiance est toujours aussi sympathique qu'au premier tome, c'est un manga qui se lit très bien et qui nous transmet une certaine nostalgie de nos années collèges.



Le seul problème, c'est les personnages, ils font tous affreusement jeunes, même la prof on ne lui donne pas ses 25 ans. Le style de dessin est vraiment bon, mais ça rajeunit tout le monde, surtout les filles qui ont en moyenne 14 ans... et oui !



En tout cas, c'est un volume très agréable et on sent qu'on va être plongé dans le Yosakoi dès le prochain que j'attends avec impatience pour retrouver cette douceur générale (pays des bisounours quand tu nous tiens~) !
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