Je n’ai pas écouté ce vieux monsieur qui, un matin d’octobre, m’entendant pester contre ma Louise qui refusait de marcher quand j’aurais eu besoin qu’elle coure, lui envoyant des « dépêche-toi » à n’en plus finir, me posa une main sur l’épaule en me disant :
- Mais, Madame, votre fille est fatiguée. Portez-la, embrassez-la. Elle vous suivra, vous verrez. Et ne vous en faites pas, on n’est jamais en retard.