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Critiques de Soman Chainani (217)
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

J'avais envie de lire une réécriture de conte de fées. La couverture comme le résumé de l'Ecole du Bien et du Mal m'avaient plu. L'histoire semblait classique mais pouvait donner de belles choses. Qu'en est-il ?



J'ai acheté ce livre en VO je l'ai globalement apprécié. Il s'agit d'un détournement des contes traditionnels qui présupposent que les personnages de conte, antagonistes comme princes ou princesses. L'auteur a ainsi envoyé Sophie, la belle petite blonde, dans l'école du Mal, alors qu'elle rêvait de devenir une princesse et de se marier. Agatha, cynique et solitaire avec son look gothique est donc envoyée à l'école du Bien.



Le premier attrait du livre est que l'auteur maîtrise très bien son sujet. Il ré-utilise le vernis Disney (jolies princesses, méchants laids) en le mélangeant avec la violence sordide des contes originels. Ainsi, l'Ecole n'hésite pas à transformer les étudiants les moins performants en animaux et créatures aux services des meilleurs, leur offrant un destin horrible. Il se moque ouvertement des clichés en créant des règles absurdes. Si une Princesse n'est pas invitée par un Prince, elle meurt. Tout bêtement. Un Prince sans compagne reçoit juste une mauvaise note.



Les personnages sont très réussis. Agatha notamment, avec son caractère cynique, qui se retrouve au milieu des cruches un peu niaises qui ne rêvent qu'au mariage, est particulièrement attachante. Il y a aussi son caractère profondément loyal qui en fait un personnage très réuni. Dommage qu'elle ne soit pas aussi développée que Sophie. Car Sophie joue un rôle très important. Il est plus complexe de s'attacher à elle tant son caractère égocentrique et superficiel est prégnant. Elle chouine, elle maltraite ses proches, elle est de bonne volonté mais souvent à côté de la plaque. A vrai dire, il est facile de passer à côté de son développement. Elle passe de jeune fille persuadée d'être la bonté incarnée, apprentie sorcière à contre-cœur, sorcière qui se laisse gagner par la jalousie et l'amertume etc... avec une certaine subtilité. C'est un personnage qui évolue de manière assez fluide.



Le scénario est assez bien mené, avec des trouvailles et du mystère. J'aime beaucoup l'idée du stylo qui écrit seul les contes, des tableaux qui se dessinent au fil de l'histoire. Il y a cependant un problème pour moi : le livre est un peu trop long, pour un premier tome notamment. Il y a des moments où l'histoire est très confuse et on a du mal à comprendre ce qu'il se passe. Il y a beaucoup d'épreuves, d'étapes qui se succèdent et qui auraient gagné à être épurés. Le roman aurait gagné à se délester de 100 voire 150 pages pour être plus concis et éviter un long flottement au milieu de l'histoire. Ces défauts s'expliquent très certainement car il s'agit d'un premier roman pour Soman Chainani.



Mais heureusement, le final est absolument extraordinaire. Un climax rempli d'action, d'émotions et de révélations. C'était vraiment très bien ficelé et très bien écrit. Grâce à cette fin, je vais me procurer les autres tomes pour découvrir la suite des aventures de Sophie et Agatha.



En somme, un bon livre qui bénéficie d'une certaine créativité. Des personnages bien écrits, un univers plutôt riche et un final explosif viennent équilibrer un milieu de livre un peu longuet et une écriture un peu confuse par moments.


Lien : https://www.lageekosophe.com
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La Belle et les Bêtes

Un beau livre subversif qui nous raconte des contes monstrueux en travestissant les contes traditionnels que nous connaissons tous tels La Belle au bois dormant, Blanche Neige et bien d’autres.

Les personnages floués par les monstres, les héros des contes classiques s’adaptent au monde moderne en mettant en évidence les valeurs aujourd’hui prônées telles que le féminisme, la sororité, la lutte contre l’homophobie, le racisme par exemple et remplacent les fins qui cantonnaient les personnages masculins et féminins dans un rôle plus traditionnel, ils avaient d’autres missions. Dès lors la vision d’une autre société, d’autres mentalités émergent à travers l’écriture de ces contes tenant en compte les évolutions de notre siècle.

La cruauté, les monstres et empêcheurs de tourner en rond sont présents mais à l’instar des contes repris, les événements tragiques, les difficultés sont surmontés par nos héros.

De larges extraits des contes connus sont repris pour leur donner une autre tournure.

Une ouverture d’esprit sur notre monde voit le jour avec une tolérance sur ce qui était réprimé ou tabou il y a peu de temps.

Les contes sont en tout cas agréables à lire, la lecture est facilitée par une écriture fluide et dynamique ainsi que des événements et des fins inattendus.

Ce livre est un très beau livre objet en édition relié, un beau cadeau à offrir pour Noël. La qualité du fond et la forme se rejoignent pour le plus grand plaisir des lecteurs jeunes ou moins jeunes.



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L'école du Bien et du Mal, tome 1

L'école du Bien et du Mal, c'est l'histoire de deux jeunes amies, Sophie et Agatha, qui vivent à Gavaldon, un village étrange entouré de bois infranchissables, où tous les quatre ans, la nuit du onzième jour du onzième mois, à minuit pile, disparaissent deux enfants, l'un bon et l'autre mauvais, qui sont envoyés dans la mystérieuse école du Bien et du Mal où ils sont éduqués afin de devenir un personnage du prochain conte de fée qui paraîtra à Gavaldon. Sophie, aux allures de princesse, est persuadée de finir dans l'école du Bien et Agatha, fille solitaire, sera probablement dans celle du Mal. Seulement, rien ne se passe comme prévu…



Un premier tome qui nous assure une série merveilleusement originale ! L’histoire développe au départ une vision assez manichéenne, mais se révèle au final elle-même un conte, une morale sur les apparences et sur le bien et le mal. Ainsi, au début tout semble un peu caricaturé et prévisible, puis, très vite, tout évolue, tout s'enchaîne… L’auteur arrive à nous faire douter, à nous perdre complétement dans l’histoire et à nous prendre par surprise à plusieurs reprises, créant maints rebondissements et du suspens. L’on finit complétement envouté par cette intrigue très originale qui s’impose au sein d’un univers à l’atmosphère vraiment spéciale de conte de fées, qui peut rebuter mais que j’ai personnellement adoré ! Enfin, les personnages sont bien définis et attachants et le tout est bien écrit pour au final, malgré ces quelques longueurs du tout début, une super et surtout surprenante lecture ! J'ai hâte de voir ce que la suite va donner même s’il pourrait éventuellement se suffire à lui-même si l’on le souhaite.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Cela faisait un moment que j'attendais que l'école du bien et du mal tome 1 soit disponible à la bibliothèque.



J'avais déjà vu le film plusieurs fois sur Netflix et j'avoue que ça a un peu freiné ma progression 😅.



On ressent dès le départ la différence de caractère entre Sophie et Agatha. On voit tout de suite que Sophie est complètement égoïste et égocentrique alors qu'au contraire Agatha est plus généreuse et se remet beaucoup en question quand Sophie prétend que c'est sa faute. Et bien-sûr, c'est plutôt elle qui devrait se remettre en question. Je me suis bien plus attachée au personnage d'Agatha que de Sophie et j'ai été ravie de voir sa transformation (par contre dans le film, elle est bien plus belle que sur la couverture).



L'histoire est écrite à la troisième personne mais ça n'empêche pas de bien rentrer dans l'histoire et ça fait plaisir !! Elle est également bien menée de façon à ce qu'il n'y ait pas trop de blabla et pas trop d'action d'un coup.



C'était aussi très plaisant d'entrer dans un univers très original. Un école du Bien et une école Mal avec quelques reprises de contes de fées, c'est stylé ! Les clichés sur le Bien et le Mal était poussés aux extrêmes et on se rend compte à quel point certains sont stupides.



Pour finir avec la fin, pour le coup j'avoue que si j'avais pas déjà vu le film, j'aurais rien compris. Un personnage apparaît pouf comme ça alors que dans le film il crée une logique avec le personnage.



Bref, c'est un livre que je voulais lire depuis longtemps et que j'ai lu avec enthousiasme, l'univers, les personnages tout est bien construit (sauf pour la fin). J'ai beaucoup aimé.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

L'école du bien et du mal est un peu dans le même univers que le pays des contes (pour ce qui est de l'aspect "contes de fées" traditionnel). Cette fois ci, nous sommes à Gavaldon, un village perdu au milieu des bois de l'infini, où, tout les quatres ans sont kidnappés deux enfants: un bon et un méchant. Ils intègrent ensuite une école très spéciale : l'école du bien et du mal, pour apprendre aux enfants à devenir les héros de leur propre conte ! Sofie (une blonde charmante qui ne porte que du rose) et son amie Agatha (une brune solitaire vêtue de noir et aux yeux globuleux) sont toutes deux destinées à intégrer ces écoles. Sofie à l'école du bien, Agatha dans celle du mal. Mais rien ne se passe comme prévu...

Je vous conseille vivement de le lire si vous aimez le fantastique ! Il y à aussi un tome deux et encore un troisième ! Attention : les personnes aussi sensibles que moi pleureront sûrement !
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

J'ai abandonné ma lecture à la moitié du roman.



Le pitch : Tous les quatre ans, deux adolescents du village de Gavaldon sont kidnappés. Leur ravisseur n'est autre que "le Grand Maître", directeur d'une école formant les Gentils et les Méchants des contes de fées. Une fois enlevés, ces enfants ne reviennent jamais au village.

Sophie rêve d'intégrer cette école pour devenir une princesse et épouser son prince charmant. Pour cela, elle s'efforce de paraître gentille aux yeux de tous, et se sert en particulier d'Agatha, le bouc émissaire du village, en prétendant s'en faire une amie.

Vous vous en doutez bien, les deux jeunes filles vont être les élues/victimes du Grand Maître et atterrissent dans l'Ecole du Bien et du Mal. Le problème, c'est qu'il semblerait au premier abord que le patron se soit trompé dans l'attribution des écoles, au grand dam de Sophie qui fait son entrée dans la promo des Méchants, alors qu'Agatha débarque chez les Gentils.

Chacune aura alors un objectif en tête : Sophie veut échanger sa place avec Agatha, tandis que cette dernière ne cherche qu'à les ramener toutes les deux à la maison.



Le titre et le résumé ne m'intéressaient pas plus que ça, mais les échos que j'en ai perçu étant très favorables et enthousiastes, j'ai décidé de donner une chance à ce roman. Très mauvaise idée...



Je n'ai rien aimé dans cette histoire, si ce n'est les illustrations qui parsèment les chapitres.



L'histoire est plate et d'un ennui sans nom. C'est du vu et revu, mais sans étincelles. Les "péripéties" s'enchaînent sans aucun temps mort, encore et encore. L'auteur a voulu trop faire selon moi. Je n'ai pas non plus aimé sa façon de nous faire découvrir son univers. En gros, dès qu'il avait besoin de le faire, il faisait parler un personnage qui s'y connaissait, souvent un enseignant, ce qui rendait l'ensemble fade et ennuyant.



J'ai détesté ces clichés stupides comme quoi le Mal était forcément laid, puant et psychopathe, tandis que le Bien pétait des arcs-en-ciel et s'habillait tout de rose, tout en chantonnant bêtement. Et puis d'abord, le monde est gris okay ? Ni tout blanc, ni tout noir, alors pourquoi une telle dichotomie ?



Si je fais abstraction de cette division entre gentils et méchants, le roman reste incohérent. Les "gentils" sont uniquement imbus d'eux-mêmes, frivoles, superficiels et narcissiques. Les filles sont des princesses qui ne pensent qu'à épouser un beau prince en se tirant dans les pattes, tandis que les princes se provoquent en duel pour un oui ou pour un non. QI proche de la carotte. Les méchants ne sont pas beaucoup plus intelligents non plus...



Côté personnages, le duo principal m'a sérieusement posé problème. Les deux filles ne sont pas amies, Agatha le dit elle-même au début du roman, car elle sait que Sophie se sert d'elle. Elles n'ont rien en commun, et tout au long du récit, Sophie ne cesse de mépriser sa camarade.

Ça m'a franchement énervée qu'elles continuent de se présenter comme les meilleures amies du monde...



Le triangle amoureux branlant, on en parle ? Il tombe comme un cheveu sur la soupe. Le prince est un âne suffisant et stupide, et Sophie est encore plus stupide de dire Amen à tout ce qui sort de sa bouche...



Bref je n'ai pas pu me résoudre à finir le roman, déjà que je lisais en diagonale après avoir enduré les cent premières pages...

Je déconseille fortement. que ce soit pour les jeunes lecteurs ou pour les lecteurs plus avertis.

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L'école du Bien et du Mal, tome 2 : Un monde ..

Après avoir bien aimé le 1, je poursuis la série "L'école du bien et du mal". Et je crois que je continuerai avec le tome 3.



Un monde sans princes, plus d'école du mal, ni du bien, c'est à présent une école de filles et de garçons. On apprend au fille comment vaincre des hommes et vice et versa. Tout ça grâce à la fin du conte de Sophie et d'Agatha qui traduit involontairement que l'on pouvait vivre sans garçons.



Tedros garde le Storien dans son école et attend qu'Agatha vienne, pour prouver qu'elle l'aime encore.



Eh ben dis donc !



Que de changements !



Côté personnages, Sophie essaie toujours de faire le bien et de rester au côté d'Agatha mais on ressent bien au début son égocentrisme et son côté narcissique. Alors qu'Agatha pense toujours que c'est sa faute et ne fait jamais son égoïste. Par contre pas trop d'évolution au niveau de leur caractère.



Les deux jeunes filles doivent libérer le Storien et rester en totale confiance l'une de l'autre si elle veulent retourner à Galvadon. Bien-sûr les filles ont parfois des doutes et se mentent ce qui leur nuit. Ça crée une tension, c'était sympa.



Tedros, Tedros, Tedros ! Décris au départ comme le grand méchant, il me fera plutôt pitié après, tout le monde se retourne contre lui !



Quand au coupable qui veut séparer les deux jeunes filles, la façon dont elle finirai était prévisible. Quant à ses motivations, pour l'amour. Ok.



L'univers et l'écriture sont toujours top, rien à redire.



Bref, c'est un deuxième tome que j'ai beaucoup aimé, les personnages gardent leur caractère de départ et j'ai beaucoup aimé replonger dans l'univers. Let's go pour le tome 3 !
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Je n’ai pas eu le courage de terminer ce roman.

Après avoir intégré l’école du bien et du mal, Sophie et Agatha ne seront pas admises dans la bonne école.

Sophie est dans celle des méchants et cela ne lui plaît pas du tout, elle qui a toujours rêver d’être une princesse ne va pas devenir un monstre !

Cette Sophie est une petite peste, et j’ai été vite soûlé de son personnage, elle est agaçante !

Elle ne se gêne pas pour faire des coups bas à celle qui été son amie Agatha.

J’ai trouvé que ça n’avançait pas suffisamment.



Ce n'est que mon avis car je vois qu'il plaît à beaucoup de monde !
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L'école du Bien et du Mal, tome 2 : Un monde ..

De retour à Gavaldon, Agatha et Sophie n'arrivent pas à retrouver leur vie d'entant, la sorcière plane toujours au dessus de Sophie et Tedros hante Agatha. Mais un vœu, un seul vœu ouvre les portes entres les deux mondes, et si leur conte n'étais pas finie ?

J'ai beaucoup aimé ce livre mais quelques points m'ont dérangé, en particulier au niveau des personnages.

J'ai été encore agréablement surprises de voir que l'auteur casse encore les codes des conte de fées en séparent les filles, des garçons et en montrent qu'elles peuvent se débrouiller toutes seule même si le séparation est trop radicale à mon gout. De plus les filles n'ont plus une étiquette collé sur elle, elle peuvent être qui elles veulent et je trouve que c'est une très belle leçon de vie.

L'auteur aborde un sujet très intéressant, la propagande et t que celons la version des personnages, qui la raconte l'intrique ou encore des points de vue différents l'histoire n'est pas la même, nous ne serons donc jamais l'entière vérité.

Mais passons au point négatif, comme dans presque tout les livres jeunesse il y a un triangle amoureux, que je n'ai pas apprécier du tout a cause de cela l'histoire tourne un peu en rond. Agatha est toujours comme je l'aime forte et courageuse mais ses doutes et ses réflexions sont pendant tout le livres les même et cela ma fortement lassée, Sophie est remontée dans mon estime peu à peu, elle a de bonnes intention, elle veut bien faire les choses, mais elle est toujours égoïste même si elle ne sans rend même pas compte elle ne pence qu'a sa fin heureuse sans pensé au bonheur des autres et parlons de Tedros je l'apprécie beaucoup il est touchant mais il est beaucoup trop indécis. Après j'étais heureuse de retrouvée des personnages comme Hort, Anadil, Hester, Dot, les anciennes doyennes....

L'auteur laisse plein d'ouverture pour la suite et il me tarde de lire le tome 3.

Je trouve que cachée derrière sont histoire le livre cache des très belle morales. Que parfois on ne peu pas revenir en arrière et qu'il faut allé de l'avant et que pour le bien des autres et le notre il faut rompre des liens avec les gens qu'ont aime.

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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Tous les quatre ans de la onzième nuits du onzième mois des enfants du village de Gavaldon sont kidnappés pour être envoyés dans l'école du bien et du mal, qui forme nos futurs héros et méchants de conte de fées.

Cette année sont kidnappées deux meilleures amies qui sont le jour et la nuit. Sophie belle comme une princesse et Agatha froide et solitaire au cheveux couleur corbeau est destinée a être une sorcière. Mais problème Sophie va dans l'école du mal et Agatha dans l'école du bien.

A l'occasion de la sortie du troisième tome de cette trilogie j'ai relus ce premier tome et mon avis n'a toujours pas changé.

J'ai adoré ce principe d'école de conte de fées, même si beaucoup de gens l'on déjà revisité. Dès qu'on parle de conte je suis toujours nostalgique mais j'ai beaucoup apprécié que l'auteur casse les codes. Les gentils sont juste des figures de beauté sans profondeur, en particulier, les futures princesses qui ne pense qu'à leur physique. Elles sont naïves et sans beaucoup de gentillesse, d'apathie et de générosité. Elles ne savent pas ce débrouiller toute seule, il leur faut un prince et cela montre le grand contraste avec Agatha qui n'hésite pas à se mettre en danger pour obtenir des informations et sauver ses amis.

J'ai beaucoup plus aimé les méchants qui avait un meilleur fond, le problème c'est qu'on leur a collé une étiquette "Tu dois faire du mal". C'est pour cela qu'ils sont ainsi on voit bien que l'amour leur est étranger.

Après j'ai trouvé dommage que l'auteur ne nous donne pas assez de descriptions physique, des personnages secondaires, des châteaux j'avais du mal à me repérer et les actions étaient floues. Même si l'auteur décrit très bien les émotions et les sentiments de ses personnages.

Je me suis très vite attachée aux personnages comme les élèves de la chambre 66, Tedros le fils du roi Arthur que j'ai trouvé adorable , j'avais envie de l'aider même si parfois il a fait des choix qui mon fortement énervée.



Parlons de Sophie et Agatha, je vais commencer par Sophie qui est celle que j'ai le moins apprécié même si elle a des bonnes attentions, qu'elle ne voit pas le mal qu'elle fait et elle est extrêmement égoïste. J'avais du mal a la comprendre même si elle m'a parfois fait beaucoup de peine.

J'ai aimé Agatha, la suivre dans ses aventures avec elle ont comprend la définition du bien et elle sort des clichés de la princesse elle m'a fait rire et je me suis retrouvée en elle.

Mais le plus important dans l'histoire c'est leur amitié qui les détruit mais qui les rend aussi plus forte je l'ai trouvé parfois cruelle mais tellement belle. Et même si elles sont différentes le jour a besoin de la nuit et vice versa. Elles sont un équilibre.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Suite à la diffusion du film sur Netflix, je me suis décidée à lire cette série avant de me plonger dans le film.

J'ai bien aimé le fait que les héros et méchants des contes de fées doivent aller dans une école selon leur nature véritable qui détermine leur rôle dans le futur. L'auteur aurait pu s'arrêter sur tout le monde est gentil ou méchant mais ici il décrit des personnages beaucoup plus complexes et qui montre que dans la vie tout n'est jamais 100% bon ou 100% mauvais. Tout est plus nuancé, mais dans cet univers quand tout se mélange tout est sans dessus dessous !

Je pense continuer ma lecture vu que la fin du tome 1 laisse encore quelques questions en suspens et puis j'aime bien cette ambiance à la once upon a time.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Mon résumé :

Tous les quatre ans, à Gavaldon, un petit village entouré d'une forêt infinie et infranchissable, deux jeunes se font enlevés par le surnommé "le grand maître", pour, la légende dit, les emporter à une école bien particulière et des plus étrange. Un des enfants se retrouve à l'école du Bien, l'autre du Mal.

Cette année, se fut Agatha, vivant dans un cimetière avec sa mère et son chat, et Sophie qui se voit déjà princesse.

(Hélas), rien ne se passe comme elles l'avaient imaginé ! Sophie qui rêvait d'intégrer l'école du Bien se retrouve à l'école du Mal ! Elle va tout faire pour s'emparer de l'école dont elle avait tellement rêvé !

Une histoire pleine d'aventures, voyageant d'Agatha à Sophie !



Mon avis :

C'est un chouette roman empli d'actions (et même quelques fois d'amour !). Plutôt fantastique/ fantasy, ce qui m'a beaucoup plu !

J'ai su m'identifier à certains personnages, qui sont d'ailleurs assez bien développés.

Il y avait, je trouve, de bons passages qui auraient dû être plus approfondis et plus longs.

L'auteur a su m'emmener dans une sorte de marécage dont il est difficile de sortir. J'aime beaucoup la façon dont il écrit et trouve ses mots !

Bref ce livre m'a laissée bouche bée et m'entraînera dans encore plus d'aventures !



Ci-dessous, à ne pas lire si vous n'avez pas lu le roman !



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L'école du Bien et du Mal, tome 2 : Un monde ..

Sophie et Agatha se sont choisies, leur conte est donc terminé. Elles sont de retour chez elles, à Gavaldon. Mais Agatha rêve toujours de son prince, et elle souhaite le retrouver. Un nouveau vœu est donc apparu et leur histoire vient donc d'être réouverte plongeant le monde des contes dans le chaos et les entrainant de nouveau à l'école du Bien et du Mal qui est dorénavant celle des Filles contre celle des Garçons. Et une guerre est sur le point d'éclater...

Ce tome continue à exploiter la complexité des personnages bien que Sophie m'énerve de plus en plus. Elle ne se remet jamais en cause, et tout doit tourner autour d'elle.

Je vais continuer sur ce rythme de lecture pour cette saga, car chaque fin me laisse sur la mienne.
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L'école du bien et du mal, tome 6 : Le seul v..

La saga se clôture avec cette brique de 700 pages, achevant ainsi l'arc "Les années Camelot", la seconde trilogie de la série, composée des tomes 4-5-6.





Depuis l'assassinat de Rhian par lui-même, Japeth s'apprête à épouser Sophie, gardée sous le contrôle des sœurs Mistral. Il ne reste qu'un seul cygne sur le Storien, preuve que le peuple porte foi aux dires du dictateur en devenir qui continue de faire son show de boucane en vue de faire renaitre l'amour de sa vie, Aric. Disons les choses simplement, les choses augure mal pour Tedros, Agatha et leurs alliés. Merlin a été retrouvé sous forme de bébé babillant, plus personne ne crois en Tedros et on se retrouve au cœur de nombreux secrets liés à la filiation de plusieurs personnages importants. Arthur a décidé , autrefois, de consulter l'avenir et devant la multitude de possibilités, a mit au point trois épreuves pour les héritiers en lisse. Trois épreuve qui mettront à mal certaines vérité et nécessiteront de nouvelles alliances. Qui finira sur le trône de Camelot?





Ça y est, on est dans la dernière ligne droite de cette longue aventure au pays malmené des contes. Si la plupart des personnages ont murit, certains peinent encore à sortir de leurs préjugés. On retrouve toute la bande habituelle, mais aussi les alliés des autres tomes, ça fait beaucoup de monde à la messe, comme ont dit. À un moment, je dois dire que la présence des secrets devenait un peu confondante, et j'avais peur que leur nombre finissent par faire oublier certains détails à l'auteur. Je note quelques petites erreurs, notamment l'incohérence temporelle de la mère de Hester, assassiné à il y a plusieurs décennies selon l'âge de Hansel et Gretelle, mais à peine une décennie selon l'âge d'Hester.





On comprend dans ce tome la complexité de scénario derrière autres tomes, car on réalise que tout ce bazar a commencé tôt. Il y a beaucoup de monde d'impliqué, beaucoup d'axes aussi. Mais au final, tout fini par s'emboîter somme toute correctement et ça fait sens.





On retrouve les thèmes habituels: amitié, amour, compromis, quête identitaire, collaboration, stratégie, mais s'ajoutent la sororité dans ce tome, dans sa forme solidaire et non filiale. On a aussi plus d'introspection et de constats pertinents de la part des protagonistes, plus matures et confrontés plus que jamais dans leurs convictions.





Encore un tome hautement créatif, avec des scènes magiques parfois époustouflantes et des clin d'oeil amusant aux contes classiques. L'aspect créativité et imaginatif sont des éléments forts dans la série.





Je trouve que ce tome là se démarque plus dans sa tribune féminine. cette fois, les femmes sont presque toujours en avant, unies, guerrières, affirmées. J'aime le fait que c'est aux pires heures de conflit qu'elles se découvrent un courage et une volonté de s'affranchir des règles injustes qui manque à ceux qui on été les plus favorisés. J'ai beaucoup aimé. Bon, au final, c'est quand même le traditionnel fils de Roi qui fini sur le trône, mais il n'y serait pas sans cette foison de personnages féminin fortes et courageuses.





Aussi, je remarque la présence de couples gays beaucoup plus ici. L'ultime Méchant est d'ailleurs amoureux d'un jeune homme. le fait d'avoir un Méchant aussi cruel et sournois que Japeth se retrouver à oeuvre au nom d'un amour véritable a de quoi faire sourire, ça n'arrive pas souvent. Surtout d'un homme à un autre.



Je constate qu'arrivé à la fin, il y a un nombre assez important de personnages qui sont morts...Tout-de-même, c'est plus violent que le laissait supposer le premier tome.



Je souligne un détail qui m'a un peu asticoté ( c'est très pointilleux de ma part, mais bon, je suis une personne très minutieuse) : il y a des invraisemblances quand au développement de l'enfant. Je pense aux jumeaux nouveaux nés, capables de fixer, sourire, copier, ouvrir les yeux bien grand, tous des choses qui arrivent plus tard dans le développement de l'enfant. Les bébés humains nouveau-né ont une très mauvaise vue et somme toute, ne font pas grand chose. Merlin aussi, dans ses stade de croissance, avait soit des avances ou de gros retard de langage. Bref, les personnages enfants manquent de crédibilité. Je sais: Détail.







J'ai beaucoup aimé cette saga qui malmenait beaucoup de stéréotypes, prêtait aux Héros des visages plus humains, vulnérables et faillibles; Voir qu'un Bien trop bien pouvait carrément nuire alors qu'un Mal, même le pire, avait des racines communes au bien qu'en à ses motivations; toute cette question autours des rôles de genre, social ou affectifs aussi allègrement questionnés et malmenés ( je pense notamment au fait que deux amies peuvent s'aimer autant qu'un couple d'amants); le fait que les agents du Mal et du Bien coexistent et parfois s'unissent parce qu'au final, ces deux entités n'existent jamais seules; bref, toute cette base philosophique, sociale et psychologique était intéressante. Les histoires de coeur pouvaient parfois tourner en rond, ceci-dit, mais c'était à peut près le seul reproche que je formulerais.





S.Chainani a également, à l'instar de M.Meyer avec ses chroniques Lunaires, donné une vraie tribune aux personnages de Conte féminin, trop longtemps cantonnées aux rôles ingrats de support, de trophée ou d'élément décoratif.





Je continue de penser que les couvertures de ces romans sont parmi les plus belles que j'ai vu!



Pour un lectorat du troisième cycle primaire (10-12 ans), même si je crois que certains thèmes parleront plus aux ados de 13 ans et plus.





Bon, la fin...la Fin plutôt, était correcte, mais je l'ai trouvée abrupte. Après l'hécatombe de personnages tombés au combat, je trouve le final un peu léger.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Encore un livre pour lequel j'ai craqué pour la couverture, je l'avoue. De plus l'idée de voir l'envers du décor des contes de fées était vraiment attrayante. J'avoue que l'aventure était vraiment très intéressante: Dans leur village Agatha et Sophie sont deux petites filles que tout oppose: l'une est mignonne, fait tout son possible pour être gentille, charitable (quand on la regarde en tout cas) et l'autre est quelconque, se moque de ce qu'on pense d'elle et un peu gothique sur les bord. Tout le monde est persuadé qu'elle seront emmenée pour l'école du bien et du mal où Sophie sera éduquée pour devenir une vraie princesse et Agatha une vraie méchante. Sauf que si elles sont bien choisies, leur destination ne sera pas celle pressentie... au plus grand désarrois des deux fillettes qui tentent l'une d'échapper au huis-clos de l'école et l'autre de regagner la place qu'elle considère comme lui étant due.

La situation ne manque pas d'humour, le monde décrit est vraiment intéressant et les deux fillettes nageant à contre-courant dans ce monde ultra-manichéen est bien construit.

J'ai beaucoup aimé Agatha qui rejette les rôles de princesse et future épouse passive et émotive dans lesquels on tente de la faire entrer de force. L'évolution du personnage de Sophie est amenée progressivement et de façon subtile. Le monde décrit fait la part belle aux clichés pour mieux les démonter seulement j'ai peur que cette subtilité ne soit pas toujours bien comprise des jeunes lecteurs visés par l'auteur. Toutefois la fin de ce tome est vraiment inattendue et il reste à voir comment cette histoire évoluera par la suite.

#ChallengeSéries2019

#ChallengeMauvaisGenre2019

#ChallengeMultiDéfis2019 item 87 un roman dont l'action se déroule en huis-clos
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Le fils du roi Arthur, Tedros, le plus beau de l'école du bien, se languissait d'une véritable idylle, quelque chose de moins acquis, différent de ces princesses qui se pâmaient à longueur de journée à la seule contraction de ses muscles. Il y avait bien cette drôle d'élève toute vêtue de noire, aux yeux globuleux. Agatha. Elle lui résistait à coup de claques et de vocifération certe mais pourtant quelque chose les poussait l'un vers l'autre. Elle avait tout d'une sorcière. Il y avait erreur sur le casting. Elle avait toute sa place désignée à l'école de l'autre côté du pont, l'école du mal. Agatha était d'ailleurs amie avec une élève de cette école, ce qui était interdit. L'autre, blonde et vêtue de soie rose, Sophie, faisait les yeux doux à Tedros à coup de cils papillon. Elle clamait haut et fort qu'elle était, elle, destinée à être princesse et ne cessait de vouloir entrer dans son école, bravant la surveillance des gargouilles. Quelle calamité ces deux-là! Elle risque de gâcher leur future histoire de conte de fée.

: Cartoonesque est le mot. En effet, l'évocation de cette série est "cartoonesque", rappelant un peu une douce folie fantastique entre Shrek et les animés de Tim Burton. L'histoire de Soman Chainani n'est pas à prendre au sérieux, au grand jamais, non pas que les contes le soient, mais les lecteurs seront juste toujours invités à rire tout du long. Ceci permettra d'ailleurs de digérer avec plus de facilité l'épaisseur du pavé. Les lecteurs se gratifieront d'une bonne grosse tranche de gâteau sucré et non d'une pauvre brique qui calera le pied de la table. Soman Chainani s'approprie l'univers des Contes et nous invente des origines amusantes pour nos héros d'enfance, une école de princes, princesses, sorcières et autres personnages de légende. Mais attention, la légende doit se créer, les rôles se distribuer, du preux guerrier au compagnon de route, jusqu'au méchant, avant même le début de l'histoire promise à chacun ( ou pas!). Que se passera t-il si l'on est promis à rien?

Et puis, il y a d'autres lecteurs, c'est aussi le nom des humbles et plus modestes citoyens du monde de Gavaldon, des personnages qui célèbrent la magie des contes merveilleux et maudissent aussi un peu l'enlèvement réguliers de leurs enfants pour les alimenter. Si les enfants redoutent un peu de quitter leur famille, si celles-ci barricadent les portes des maisons le soir de la collecte et laissent le soin à d'autres d'amuser pour la postérité, Sophie, elle, se pare de sa plus belle robe pour son premier jour d'école et ouvre grand ses fenêtres pour accueillir son destin. De princesse! Sinon, quoi d'autre?

Sophie a bien pris soin d'être charitable et de se faire amie avec une laissée pour compte de l'élégance, Agatha la "gothique". Agatha est aussi grognon que Sophie est imbue de sa personne, un drôle de duo. Et pourtant, Agatha y croit en ce début d'amitié au point où quand les oiseaux de Stymphale les enlèvent et met par erreur Sophie dans l'école du Mal ( celles des monstres et sorcières) et Agatha dans l'école du bien (celles des licornes, princesses et autres bontés), cette dernière n'hésite pas à braver les règles de l'école pour retrouver son amie et repartir à la maison. Mais qui rentre à l'école ne peut plus revenir. Et aucun personnage de l'école des vilains ne peut être amis avec ceux des valeureux. Pourtant un vilain est-il foncièrement mauvais et ne peut-il être un héros? L'école du bien est-elle si chouette que ça?

L'auteure apporte une nuance et défait les jugements en emporte-pièce grâce au caractère de ses deux personnages. Le premier tome emportera ses lecteurs à travers les forêts bleues dangereuses après que chacun est appris à découvrir son rôle, jeter des sorts, brandir le bouclier et siffler les animaux à la rescousse. Etape après étape, chapitre après chapitre, une véritable amitié va se nouer entre les deux héroïnes qui continuent de défier une mauvaise règle toute faite. Sans le vouloir, Sophie et Agatha réussiront à confirmer l'erreur avec humour et leurs colocataires leur donneront un coup de main pour remettre du sens à cette pagaille. Mais n'est ce pas là aussi une naissance d'amitié dans le coup de pouce? Bigre, qu'elles sont fortes ces deux là! A découvrir!
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Je reste mitigé après la lecture de ce premier tome. Alors que la magnifique couverture et la lecture de la quatrième de couverture m'avaient mis l'eau à la bouche, je constate qu'après avoir refermé le livre j'ai l'impression de ne pas avoir eu droit à ce que j'espérais.



On sent bien que l'auteur est encore vert. Il peut y avoir parfois beaucoup des longueurs dans certaines scènes alors que d'autres manquent cruellement de développement.

Régulièrement, il y a des scènes confuses, on a du mal à tout suivre et à comprendre. Il m'a fallu parfois relire un oassage pour être sûr d'avoir compris. Je me dis que si moi, adulte, ait eu du mal que dire des enfants qui doivent passer sans doute à côté de choses importantes.



Mais la trame de l'histoire est bonne, on a envie de connaître la suite. Les personnages sont bien développés. Même s'il y a un déséquilibre entre les deux héroïnes. Sophie et Agatha, une fois passé leur côté stéréotype et prévisible sont bien plus profondes que l'on pense.



Alors que Sophie, belle blonde habillée en rose se voit déjà princesse à l'école du bien et qu'Agatha, fille morose toute de noir vêtue, se sent sorcière, pense à l'école du mal, elles se retrouvent dans l'école diamétralement opposée. Mais est ce vraiment une erreur?



On suit beaucoup plus l'évolution de Sophie que celle d'Agatha dans cette école, dommage. Certains autres personnages sont très marqués bien ou mal pour accentuer le côté manichéen des contes. Ce qui m'a plu c'est que l'auteur à su dépasser cette dichotomie mais elle arrive tard. On a le temps de râler pendant la lecture.



En bref, une très bonne idée de départ, des personnages parfois caricaturaux  mais attachants et qui évoluent. Mais des longueurs et un style parfois confus qui rendent la lecture moins fluide. Mais je lirai volontiers le deuxième tome.
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L'école du Bien et du Mal, tome 1

Une jeune fille qui cherche à devenir princesse de contes de fée et son amie, qui cherche quant à elle, à avoir une vie simple mais heureuse, se retrouvent bon gré malgré à l'école du bien et du mal. Sauf que la sorcière devient princesse et vice versa !

Cette "erreur" de jugement se trouve être intéressante car chacune finit par s'adapter à sa nouvelle vie.

Ce roman est une très bonne introduction. Ecrit et décrit à la perfection, il nous laisse en attente d'une prodigieuse suite. Intrigue,rebondissements, suspens, tout est là !
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L'école du bien et du mal, tome 4 : Rêves de gl..

Pour moi, ce livre entame un nouveau cycle. Les élèves sortent du périmètre de l'école pour voyager plus et découvrir d'autres royaumes cette fois-ci en étant les grandes personnes...



J'ai moins aimé ce livre que les précédents car, déjà, au début, Agatha et Tedros sont dans une situation dramatique et ils sont malheureux. Mais on ne sait pas tout de suite pourquoi ! Et c'est très perturbant...



Sinon voici le topo :

En 4ème année à l'École du Bien et du Mal, tous les élèves ont une quête assignée, à travers les différents royaumes. Leurs quêtes sont supervisées par Mme Dovey et la Doyenne Sophie qui peuvent suivre leurs élèves à la trace.

Seulement tout ne se déroule pas comme prévu... de mystérieuses attaques empêchent les élèves de réussir leurs quêtes mais les discréditent aussi aux yeux de la population.

Merlin l'Enchanteur vient alors solliciter l'aide d'Agatha afin qu'elle forme une équipe chargée de mener l'enquête à propos des attaques... Ce qui se retrouve être un plan maléfique très vaste.



On découvre d'autres personnages importants dans ce livre-là, ainsi que (encore!) des liaisons étranges entre différents personnages de l'histoire.



L' intrigue plane au-dessus de l'histoire tout au long du livre, on se méfie de chaque personnage, on établit des suspects... Bref, c'est autre chose que pour les trois premiers tomes : ici on découvre un monde bien plus vaste que l'École du Bien et du Mal, ce qui était un moment clé du récit.





Il y a quand même quelque chose qui me déplait dans cette série, et je m'en rends compte seulement maintenant : au fil des livres, les nouveaux "Méchants" sont toujours plus puissants, de même que les héros le sont aussi grâce aux années d'apprentissage à L'École du Bien et du Mal. De sorte que ça créé un équilibre toujours parfait... Et artificiel, ça gâche un peu le réalisme de l'histoire ; après tout, il aurait très bien pu y avoir un adversaire immensément puissant lorsque les élèves étaient en 1 ère année !



Pour conclure, on retrouve bien dans ce livre la plume de Soman Chainani et ce roman vous plaira sûrement si vous avez aimé les précédents de la série, mais il n'a rien de vraiment exceptionnel.
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L'ecole du bien et du mal, tome 3 : Le dern..

Enfin ! J'avais vraiment hâte de lire ce tome 3, si bien que je l'avais commencé en anglais ! Mais bien sûr, je le lisais beaucoup plus lentement, alors quel soulagement de le voir traduit en français !



Dans ce tome, des personnages que l'on voyait peu sont mis en avant, tel que Callis ou Hort (que je plains vraiment, le pauvre n'a pas de chance). Le mystère sur les parents d'Agatha et de Sophie s'épaissit davantage, et ce n'est qu'à la toute fin que l'on apprend la vérité, tellement loin dans le livre que je me suis dit que cela n'arriverait jamais !



Que dire d'autre, à part que ce livre est réellement génial ? Peut-être encore plus que les deux autres ! En même temps, j'avais moins apprécié le tome deux (à part la fin, peut-être...). Moyennant quoi, je vous conseille fortement ce livre si prenant que vous en ferez (peut-être) une nuit blanche. En tout cas, je dis bravo à l'auteur pour son imagination, sa créativité ainsi que la manière dont il agence son ouvrage. Bonne lecture !

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