"Pourquoi, mon cœur, te complais-tu dans la distance
Et laisses-tu mes ennemis se réjouir de ma souffrance
Pourquoi, gazelle rétive, perdure
Ton refus que j'endure
Ce refus qui n'en finit pas
Envoie mon cœur à trépas
Pour toi je me suis anéanti
Je n'existe plus."