Song Ji-Hyoung

J'avais peur que l'Europe soit fantasmée. Pas du tout : les Européens sont tous représentés de manière réaliste, on arrive même à voir les différence vestimentaires et militaires entre Allemands et Espagnols. J'avais peur que Issak soit une caricature de guerrier Japonais. Pas du tout : si lors de notre première rencontre avec Issak on a l'impression de voir un archétype cette idée disparaît très vite. Issak est effectivement un taiseux en armure avec un sabre sur le côté, mais c'est un guerrier moderne, qui n'a pas un caractère bavard et qui est profondément déterminé à accomplir son projet. Là où certains mangas auraient évidemment poussés les Européens à rendre un hommage à Issak pour son courage et sa vision du monde, ici au contraire on a une approche beaucoup plus crédible. Les Européens ne comprennent pas Issak, mais le respectent. Entre la plume efficace du globe-trotteur Shinji Makari (très connu pour ces précédents mangas au Japon) et le dessin tout en finesse et violence de Double-S, ce manga va faire des ravages dans nos cœurs ! Bataille à suivre de près !
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Ce qui m’a attiré vers l’achat de ce manga, c’est le côté historique. C’est en plein pendant la guerre de Trente ans, donc encore une guerre de religion. Sauf que j’ignorais que des guerriers japonais s’étaient engagés sur les champs de bataille et c’est cet aspect qui m’a convaincue. Sauf que dans ce premier tome, nous ne retrouvons qu’Issak et tout ce qu’il fait, c’est de tirer du mousquet. Certes, ses tirs sont impressionnants, mais j’ai l’impression que si c’est son seul atout, la série va rapidement devenir lassante.



Côté dessins, ce n’est pas vraiment les meilleurs que j’ai vu au niveau raffinement des visages et des décors. Toutefois on sens qu’il y a eu des recherches concernant l’habillement, les armes et les stratégies de combat. D’ailleurs, il y beaucoup plus de scènes de combat que tout le reste, donc niveau scénario, on ne lis pas beaucoup de texte et je trouve donc que ça manque de profondeur.



Bref, ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue de continuer cette série.
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[ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR]



Une très bonne suite où la guerre est loin d'être terminée. J'ai plus adoré ce deuxième tome parce qu'on en apprend davantage sur la vengeance d'Issak. Et la fin est haletante !



Sinon, j'ai bien aimé la légère évolution des personnages dans ce tome (en particulier celle de Zetta). C'est un titre que je recommande aux personnes qui n'ont pas peur du sang et des scènes "glauques" et qui s'intéressent à l'Histoire.

[ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR]



Un excellent premier tome qui pose bien les bases. L'époque historique choisie est vraiment originale. Les dessins sont particuliers et ne peuvent pas plaire à tout le monde, mais, personnellement, ils m'ont convaincu. Issak, bien que réservé, est un personnage attachant. Et, au fil des pages, on commence à s'attacher aux autres personnages qui l'entourent.



On se plonge facilement dans l'intrigue et c'est un vrai page-turner, tout en étant ludique. En bref, un titre qui vaut le coup d'œil !

Blessé au bras lors de la mission de reconnaissance dans le tome précédent, Issak n’est plus en capacité de tirer correctement et donc de défendre la forteresse. Le jeune japonais va alors démontrer ses connaissances en stratégies pour mettre au Prince Heinrich de gagner une bataille et mettre en fuite partielle leurs ennemis. Mais l’ennemie révèle une de ces cartes mères : Lorenzo. L’homme que Issak recherche pour accomplir sa vengeance.

Dans toutes ces batailles, militaire ou personnel, Issak peut compter sur Zetta. La jeune fille se révèle bien plus courageuse et débrouillarde que ne le laissait penser le premier tome. Elle sera une aide précieuse pour Issak.

Le manga prend une tournure plus personnelle plus que l’ennemie personnelle d’ Issak et les raisons de sa vengeance se dessinent. J’attends avec impatience la suite


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J’ai adoré ce deuxième tome autant que le premier ! Je me passionne énormément pour l’histoire et le suspense est toujours au rendez-vous ! Dans ce tome on rencontre l’ennemi qu’Issak veut tuer ! Et franchement j’ai encore plus hâte d’avoir des informations sur lui ! Et surtout pourquoi a-t-il volé le Mousquet du maître d’Issak. Les personnages sont trous très attachant et les stratégies abordés par Issak sont très intéressante ! Franchement je trouve ce manga réalisé d’une main de maître car en l’histoire qui est sensationnelle et les dessins sublimes, on n’arrive plus à quitter le manga !



Ma note : 19/20 Un manga qui saura plaire à énormément de monde, et qui possède une histoire très riche !

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J’ai vraiment adoré ce premier tome ! L’histoire est déjà très intéressante et m’a d’ailleurs fait découvrir qu’il y avait des Japonais pendant la guerre de 30 ans, ce que je n’imaginais pas du tout ! De plus l’histoire est vraiment très bien illustrée ! Le style me fait un peu penser à celui de Vinland Saga et ça fait vraiment réaliste je trouve. Le personnage d’Issak m’intrigue pas mal car je il n’est pas encore très développé mais on voit déjà qu’il a un très grand potentiel, et j’ai hâte de voir ce qu’il va donner en combat rapprocher, car il ne possède pas du tout les mêmes techniques que les occidentaux. En tout cas j’ai vraiment adoré ce premier tome, avec des personnages très intéressant, le suspense est présent, et des scènes de combats très belles !

Je pense que cette série à un très grand potentiel !



Ma note : 18/20 Un premier tome très intéressant, qui saura plaire à beaucoup de monde je pense ! Franchement je ne peux que vous le conseiller !

#Frimousse
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Avec son guerrier nippon des plus intrigants et ses scènes de bataille restituées avec habileté, Issak démarre plutôt bien. L’intérêt du public éveillé et un nouvel ennemi se présentant à l’horizon, espérons que le prochain tome saura apporter quelque réponses aux questions.
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À l’image de Vinland Saga, cette série prépubliée dans l’exigeant et éclectique mensuel Afternoon (Born to be on air, L’Île errante, Underwater…) ne se concentre pas vraiment sur l’aspect historique, mais relate une aventure adulte et épique, exaltée par un graphisme magnifique.
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On est scotché au combat qui va opposer Mamoru à ce tueur sans pitié, et on ne lâche pas la lecture tant qu’on ne sait pas comment il va pouvoir s’en sortir.



C’est toutefois un gros inconvénient en termes de scénario. En effet, tout miser sur l’action pure, oblige à aller dans une surenchère d’action, mettant les personnages principaux sur la corde raide pour tenir le lecteur en haleine. En capitalisant aussi tôt une densité intensive de l’action, Hiroshi Takashige prend le risque d’étioler l’impact futur des scènes qui seront du même acabit.



Si l’histoire est au point mort sur l’intrigue, il n’en est pas de même concernant les relations entre les personnages. Ce qui est particulièrement frappant est de voir à quel point Mamoru et Haruka sont proches.
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L’histoire de jusqu’à ce que la mort nous sépare ne prend pas d’ampleur pendant. Les graphismes sont toujours de très bonne facture, même si l’on peut constater une légère difficulté à suivre la rapidité de l’action. Nous sommes en présence d’un tome essentiellement tourné vers une action pure et dure mettant le combat sur le devant de la scène. Il s’agit là d’une grosse prise de risque de l’auteur ; car, si l’on peut apprécier d’avoir un suspens à nous mettre hors d’haleine, on peut craindre pour la suite de l’aventure de voir une répétition de cette action.



Ayant choisi de faire une pause dans l’histoire, l’univers dépeint ne comporte aucune différence avec ce que l’on a pu voir précédemment. En revanche, les personnages et surtout ceux de Mamoru et de Haruka nous apparaissent d’une manière bien différente. En effet, on peut voir plus en détail, la relation qui se développe petit à petit entre eux.
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Ce second volume lancent l’intrigue avec un beau panache. La qualité des graphismes accompagne une intrigue équilibrée et crédible qui peut s’appuyer sur un univers d’une grande richesse. Celle-ci octroie par la même un certain réalisme accentué par la manière ingénieuse dont sont mis en scène les différents personnages que l’on rencontre.
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La série démarre sur les chapeaux de roues. Avec une intrigue percutante, Hiroshi Takashige nous permet de nous immerger dans un univers qui semble prometteur. L'alliance avec les superbes graphismes de DOUBLE-S ne font que renforcer l'immersion et l'adhésion à des personnages qui gagnent à être connus. En tout cas, j'ai envie de continuer l'aventure avec eux, de baver face à cette qualité tant au niveau visuel que scénaristique.
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Ce vingt-sixième tome conclut "Jusqu'à ce que la mort nous sépare". Une série qui prend fin plus tôt que prévu, plus tôt que je ne l'aurais souhaité. Pourtant, il s'agit bien là de la fin, avec un tome qui compte pas moins de 300 pages ! Un petit pavé, par rapport aux autres tomes de la série. D'ailleurs, je me demande pourquoi ce volume n'a pas été scindé en deux. Le dénouement final de la série aurait ainsi donné le sentiment d'être moins précipité.



Les scènes d'action se succèdent et installent un rythme très soutenu. Mais du coup, l'intrigue donne l'impression de traîner un peu en longueur car il n'y a pas assez de variations de rythme.



Ce dernier tome n'est pas moins explosif et complexe que les précédents. Les multiples plans et stratagèmes pour mettre fin au règne de Zashid se succèdent mais échouent les uns après les autres. Rien ne semble pouvoir entamer la suprématie du dictateur, pas même Mamoru qui n'est franchement pas en forme. Pourtant, malgré des opérations qui n'aboutissent pas, Zashid va bien être déchu ! Je ne vous en dis pas plus, ce serait vous gâcher le final de cette série survitaminée.

Nous y voilà ! Après plusieurs tomes d'attente fébrile, l'heure du duel ultime a sonné... Mamoru face à Zashid, un duel de titans dont l'issue ne semble pouvoir être que la mort du samouraï... En effet, Mamoru a beau être le "démon du sabre", comme le surnomme Jésus, il n'en reste pas moins qu'un homme, un mortel. Et face au monstre Zashid, être un homme, aussi brillant soit-il au sabre, n'est pas suffisant.



Ce duel au "sommet" permet bien sûr à l'auteur d'ajouter encore plus de tension à son intrigue, mais aussi de montrer la part de vulnérabilité de Mamoru, même si elle demeure infime par rapport au commun des mortels ! Le fait de le voir évaluer ses chances, de reconnaître ses limites et envisager le pire, le rend plus humain et renforce son charisme. À aucun moment il ne commet l'erreur de se croire invincible, comme le fait Zashid.



Avant même de découvrir la scène du duel, son issue me semblait jouée d'avance. Et pourtant, rien ne se passe comme prévu, l'auteur nous réserve un dernier rebondissement en guise de dénouement. Il parvient à retourner la situation, à tel point qu'on en oublierait presque le duel lui-même ! Moi qui me plaignait de la platitude, voir même de l'absence de relation entre Mamoru et Haruka, j'ai été agréablement surprise. Je suis vraiment impatiente de voir quelle va être la réaction de Mamoru face à cet événement... Peut-être va-t-il enfin commencer à se poser des questions sur ses véritables motivations vis-à-vis de Haruka. Du moins je l'espère!



Depuis quelques tomes, je trouvais que l'intrigue commençait à piétiner et devenir redondante avec ses scènes de combat parfois interminables. J'ai le sentiment que ce 25e tome amorce un nouveau tournant dans l'histoire. J'espère que les auteurs consacreront un peu moins de temps aux scènes de combat, et beaucoup plus, au développement de leurs personnages, leurs relations, leurs sentiments.

J'ai adoré ce nouveau tome de Jusqu'a ce que la mort nous sépare ! Je ne m'attendais pas du tout à cette fin et j'ai hâte de lire la suite ! Comment Haruka et Mamoru vont-ils arriver à arrêter ce nouvel ennemi ?

Au Duhana, la guerre entre Zashid Turus et ses opposants continuent de faire rage. Mamoru, Haruka et leurs compagnons parviendront-ils à vaincre le surhomme ainsi que ses troupes ? Rien n'est moins sûr...



Pour l'instant, je ne vois pas très bien comment nos héros vont bien pouvoir s'en sortir. Dans ce vingt-troisième tome, je ne dirais pas que l'intrigue tourne en rond, mais disons qu'elle fait un peu du sur place. Les équipes de Mamoru et Haruka avancent à petits pas vers leur objectif commun. Comme dans un jeu d'échec, chaque déplacement est décisif. Leur mission est quasiment impossible, il est donc compréhensible que l'intrigue avance à un rythme plus lent. La précaution est de mise !



Je suis tout de même impatiente que cette page de l'histoire se tourne afin que l'on puisse de nouveau voir Mamoru et Haruka évoluer côte à côte dans une nouvelle mission. D'autant plus que la fillette commence à changer. Physiquement, on note qu'elle a grandit et est désormais une adolescente. Mais son caractère a également changé. C'est devenue une meneuse, une combattante.



Depuis le commencement de la série, le dessin est d'une excellence sans faille. Dans ce tome, la qualité du dessin reste la même.

La suite des opérations militaires au Duhana !

Dans ce tome, on suit l'equipe d'Haruka aux prises avec le fils du général Turus, puis aux prises avec le général lui même.... C'est alors qu'intervient Jésus, venu sauver ses élèves.

Encore un très bon tome de Jusqu'a ce que la mort nous sépare. les combats s'enchainent, il n'y a pas de temps mort. les dialogues sont toujours aussi bien construits. J'attends avec impatience le moment ou l'equipe de Haruka et de Mamoru se retrouveront !

Le tome 23 continue l'arc se passant au Duhana. On suit l'equipe de Haruka et de Mamoru, ainsi que leurs différents adversaires (le général Turus et ses fils).

C'est avec plaisir que je continue de suivre cette série. Bien dessiné, l'histoire continue de rebondissements en rebondissements et les méchants sont de plus en plus méchants au fil des tomes ! On se demande si Haruka arrivera a sauver sa vie et celle de Mamoru grâce à ces visions. Enfin, le scénariste et l'illustrateur offrent aux lecteurs une histoire riche et très vite prenante, avec des personnages haut en couleurs !

Un très bon seinen !!

Une journaliste contacte l'inspecteur Genda. Celle-ci souhaite le questionner sur Mamoru, alias "le démon du sabre", en vue de l'écriture d'un roman sur lui. A travers le témoignage de Genda, nous découvrons un nouveau pan du passé de Mamoru. L'auteur a plus d'un tour dans son sac et ne cesse de nous surprendre dans ce tome. A mon grand bonheur, j'ai retrouvé plusieurs personnages secondaires que j'apprécie beaucoup : Dai, le jeune et impétueux motocycliste, et Senji, le yakuza reconverti en garde du corps d'Haruka.