- C'est drôle...on est là, on occupe l'espace, on rit, on pleure, on dort, on part travailler, on s'aime, on s'engueule et, du jour au lendemain, plus rien de tout ça. On est, et puis on n'est plus. Aussi simple que ça. J'ai connu ce sentiment de vide à la mort de mon père, mais je m'y ferai jamais, enchaîne Flynn en aspirant sur le joint qu'elle vient de rouler. Vous en voulez?