Les livres de deuil, et il y en a beaucoup, sont inattaquables quand il s’agit de faire un être de papier autour d’une personne disparue. Il faut qu’il y ait une honnêteté indiscutable. Au-delà de la petite histoire personnelle, il faut toucher l’universel, ce qui nous tracasse tous.
Le progrès, novembre 2016