PASSEZ UN COUP DE BALAI DANS VOTRE TÊTE ET REDONNEZ DU SENS À VOTRE VIE !
Qui n'a pas ressenti une certaine impuissance face au flot ininterrompu de pensées qui l'assaillent tout au long de la journée ? Au fur et à mesure que notre quotidien s'accélère, nos pensées nous submergent et même nous épuisent.
Bonne nouvelle, il n'y a pas de fatalité. Jean-Christophe Seznec et Sophie le Guen nous expliquent comment sortir concrètement de la rumination et rester maîtres de notre esprit. Car oui, c'est possible et il suffit d'un peu de méthode pour naviguer sereinement dans notre vie.
Découvrez la méthode ACT (thérapie de l'acceptation et de l'engagement), illustrée de nombreux témoignages, pour :
- Comprendre votre machine à pensées.
- Décrypter vos « pensées hameçons », sources des ruminations.
- Éviter les pièges à ruminations.
- Accueillir vos émotions sans les juger et apprendre à les exprimer.
- Vous ancrer dans le moment présent grâce à de nombreux exercices pratiques simples à appliquer.
Plus d?infos sur le livre : https://www.editionsleduc.com/produit/1865/9791028514358/
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Un ultimatum. C’est bel et bien ce qu’Harry me lance après avoir soufflé ses bougies et ouvert son cadeau. J’attendais plutôt un merci. Rien à faire, les garçons sont cons côté remerciements. Il faudrait instaurer le chapitre du « merci salvateur » dans les programmes d’éducation civique, avec une resucée tous les ans pour que l’homo sapiens doté de testicules, intègre une fois pour toutes que les enjeux conjugaux et politico économiques peuvent être simplement sauvés par un merci opportun.
..ici, au Mali, quand on regarde les femmes évoluer autour des chaudrons de cuisine, porter l’eau ou des branches immenses, piler le mil, arroser les cultures c'est comme si on assistait à une stupéfiante parade de femmes magnifiques. Des femmes fières qui défilent la tête haute comme aucun mannequin ne parviendrait à le faire. Des femmes toujours bien coiffées et souriantes, portant des vêtements plus imaginatifs et plus colorés qu'aucun styliste ne pourra jamais inventer. Des défilés de femmes où les plus misérables, vêtues d’un paréo et d’un vilain tee-shirt, gracieuses et dignes, ressemblent à des princesses. Ces femmes là sourient et ne pleurent pas. Ici no woman no cry...
La plaie n’est pas trop profonde mais il faut désinfecter et poser des strips puis un pansement propre pour le voyage. Je me retrouve à vider mon sac à dos dans les cabinets, devant des hommes qui vont et qui viennent, ravis d’y trouver une rousse à quatre pattes. Bien entendu, la trousse à bobos est sous ma trousse de toilette et mon sac de lingerie, qui lui, est transparent comme tout sac de lingerie qui se respecte. Alors que j’officie sur son membre blessé, je remarque Enzo, rouge et grimaçant qui s’agrippe à mon sac à dessous et l’écrabouille sur son caleçon pour ne pas qu’il trainaille par terre. Par contre, il se fiche complètement de ma trousse de toilette délaissée sur le carrelage sommairement javellisé de la veille et probablement déjà constellé de vieilles gouttes de pipi.
.. J’avale deux Stilnox. Cette nuit vraiment il faut que je dorme... Je veux dormir comme une masse. Dormir comme ces mecs qui écrasent d’un trait jusqu’au matin en ronflant la bouche ouverte...
... Les portes de la carlingue s’ouvrent enfin ! SHEBAM! POW! BLOP! WIZZ! Dehors c’est le choc : on est propulsé dans un monde fou qui s’agite ! Blancs, noirs, une multitude. Du bazar partout. Les couleurs vives des boubous et la lumière crue du matin : cent cinquante watts au moins, droit dans nos mirettes! ...
Les portes de la carlingue s’ouvrent enfin ! SHEBAM! POW! BLOP! WIZZ! Dehors c’est le choc : on est propulsé dans un monde fou qui s’agite ! Blancs, noirs, une multitude. Du bazar partout. Les couleurs vives des boubous et la lumière crue du matin : cent cinquante watts au moins, droit dans nos mirettes!
