Les affaires criminelles, que l'on soit flic, procureur ou journaliste, ça peut vous mener sur des chemins de solitude profonde, générer des nuits blanches. C'est une lutte permanente contre la violence des sentiments qui envahissent votre inconscient. Très vite, on quitte la normalité et l'on se retrouve devant le cadavre mutilé d'une femme ou d'un enfant sans ressentir la moindre émotion. En cela nous sommes aussi effrayants que le crime, aussi infréquentables que le tueur.