Etre deux, c'est accepter la différence. Et bien plus encore, être deux, c'est renoncer à la complémentarité, à cette pensée naïve souvent entendue "qu'ensemble on ne fait qu'un". Un plus un n'est pas égal à un, jamais. C'est après, et après seulement, cette acceptation aussi mathématique qu'affective et relationnelle que peut se vivre "l'être deux", qui deviendra une force et un enrichissement.