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Ivresse de la métamorphose de Stefan Zweig
« Ah, une nuit magnifique… Voyez les étoiles… » […] Mais Christine, toujours tremblante, ne l’entend pas. Que lui font les étoiles, la nuit ? Elle n’a intérêt que pour elle-même, pour son pauvre moi étouffé, oppressé, opprimé depuis des années qui soudain se soulève monstrueux dans sa douleur et déchire sa poitrine.
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