Si on se doutait que ce phénomène qui ne devrait pas se produire en seconde s’y produit quand même – et ceci sous la plume d’un excellent élève qui a bien dû écrire mille fois l’identité correcte – parce que lorsqu’il s’est produit là où il « devrait » se produire, c’est-à-dire en cinquième ou en quatrième, il n’a pas été pris en compte comme il le fallait, qu’on a négligé ce dont il rendait compte de structurel, qu’on a refoulé ce structurel qui restera la seule évidence première et interne par des « formules à apprendre », du rabâchage, et fait appel à de la docilité intellectuelle en guise de compréhension, on saurait que nombre d’erreurs se produisent, en effet, là où elles ne devraient plus se produire, parce que là où elles se sont produites les premières fois on n’a rien voulu savoir de leur normalité.