Citations de Stéphane Bourgoin (125)
En France, c'est bien connu,les serial killers,ça n'existe pas!Ce refrain,je l'ai maintes fois entendu,mais lorsqu'on sait que dans notre pays,au cours de la dernière décennie,on a arrêté,identifié et jugé plus de 90 récidivistes de l'assassinat,il n'a plus lieu d'être.
« Nous autres serial killers, nous sommes vos enfants, vos maris, nous sommes partout. Et beaucoup d’autres, parmi vos enfants, seront morts demain. »
« On m’a toujours dit que j’étais plus captivant à moitié dans l’ombre. J’ai fini par le croire, que voulez-vous … »
« Vous savez, si la peine de mort faisait réfléchir les assassins, il n’y aurait plus de meurtre dans le monde depuis belle lurette … »
Quand viendra le jour du Jugement dernier, où toutes choses seront connues, et que moi et les autres générations de ripperologues demanderons à Jack l'Éventreur de s'avancer en déclinant sa véritable identité, nous nous regarderons tous, l'air complètement abasourdi et étonné, en nous exclamant : "Qui ça ? Lui ?"
(Donald Rumbelow)
Dès le lancement du VICAP, la Royal Canadian Mounted Police décide de lancer un programme similaire suite à plusieurs enquêtes bâclées sur des serial killers comme Clifford Olson. Entre 1980 et 1982, ce père de famille de quarante ans kidnappe, assassine et mutile onze enfants des deux sexes à Vancouver et dans les régions avoisinantes. Un manque de coordination entre divers service régionaux ralentit le dénouement des investigations. Déjà condamné pour des cambriolages et des agressions sexuelles, Olson est arrêté pour un des crimes, sans que la police puisse retrouver aucun des corps.
Un projet élaboré en 1999 par des enquêteurs de la Crim', CHARDON a été tué dans l'oeuf par les haute hiérarchie policiière. Il a fallu attendre la fin des années 2002 pour que naisse la SALVAC (système d'analyse et de liens de la violence associée au crime), commun à la police et à la gendarmerie.
La Terre se porterait à merveille sans les êtres humains.
L'endroit le plus dangereux n'est pas un parking isolé la nuit ou la sortie d'une discothèque à quatre heure du matin, mais son propre lieux de résidence.
Il n'y a rien dans mon passé - je le jure devant Dieu. Je l'ai analysé, et ... il ne fait aucun doute dans mon esprit que rien, aucun facteur ne peut expliquer, ou pourrait faire croire que je suis capable de commettre un meurtre.
- Il est possible que j'aie dit "bonne chance" à l'inculpé lorsqu'il m'a raccompagné chez moi. Si je l'ai fait c'est parce qu'il me faisait un peu pitié.
- Si l'homme vous faisait pitié, pourquoi avoir déposé plainte ?
- Je lui en voulais plus qu'il ne me faisait pitié.
- Vous savez, ma sœur comme ma mère, ça n'étaient pas des femmes, à mon avis.
Personne n’ingnore que les instruments tranchants n’ont que peu ou point d’effets lorsqu’ils frappent perpendiculairement. En les examinant de microscope, o. Voit qu’ils ne sont que des scies plus ou moins fines, qu’il faut faire agir en glissant sur les corps à diviser ; on ne réussirait pas à decapiter d’un seul coup avec un hache ou un couperet dont le tranchant serait en ligne droite ; mais avec un tranchant convexe, comme aux anciennes haches d’armes, le coup asséné n’agit perpendiculairement qu’au milieu de la portion du cercle ; mais l’instrument, en pénétrant dans la continuité des parties qu’il divise. A sur les cotes une action oblique en glissant et atteint sûrement le but. En considérant la structure du col, dont la colonne vertébrale est le centre, composé de plusieurs os dont la connexion forme des enchevauchures, de manière qu’il n’y ait point de joint à chercher, il n’est pas possible d’être assuré d’une prompte et parfaite séparation de la confiant à un agent susceptible de varier en adresse par des causes morales et physiques, il faut certainement, pour la certitude du procédé, qu’il dépende de moyens mécaniques, dont on puisse également déterminer la force et l’effet ; c’est le parti que l’on a pris en Angleterre.
Vu de l’extérieur, ce « château de l’horreur » ne semble pas en conformité avec son surnom. C’est juste un immeuble qui ressemble aux habituelles monstruosités architecturales des années 1890. Mais l’agencement intérieur avec ses innombrables pièges, trappes, portes et passages secrets ou chambres insonorisées et ignifugées paraissent tout droit sortir des pires cauchemars.
- On va tout même pas l'abandonner là ?
- T'as une autre idée ? Tu veux que tout le monde sache ce que tu lui as fait. Et... et pourquoi ! Personne ne doit jamais être vu ! T'entends ! Personne !
- On est tous dans le bateau !
- Je sais. Alors avance et boucle-la !
Gary Ridgway tue parce qu’il le veut. Parce qu’il le peut. Et parce que cela lui fait plaisir.
Pour mieux comprendre la psychologie particulière e ces criminels en série dont les mobiles sont liés à leurs pulsions, il est nécessaire, voire indispensable, de saisir ce qui se passe dans leur tête et de s'immiscer dans leurs fantasmes, de se mettre en quelque sorte "dans la peau du tueur".
J'ai vu mon double maléfique, Gémini, qui m'examinait, le sourire aux lèvres. Il a prononcé un seul mot : sang. A partir de cet instant, Gémini est devenu l'esprit dominateur et Danny a perdu le contrôle. ( Danny Rolling )
Ma transformation physique pour épouser la forme du Malin n'est-elle pas un signe ? ( H.H.Holmes )