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3.79/5 (sur 101 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Lille , le 03/05/1961
Biographie :

Stéphane Marchand est écrivain, peintre et parolier.

De 1989 à 2000, il publie "La Partition du voyageur" (Prix Athena, Sélection Prix du premier roman et Grand Prix des lectrices de Elle) et "Le Monde du sénateur", au Mercure de France, "Un martien dans le frigo" (Prix du 15e Festival du livre de jeunesse de Cherbourg), "Mille bravos pour Théo", chez Bayard Poche ("J'aime lire") et "Une grenade dans le crâne", chez Flammarion ("Castor poche").

Après une courte expérience de responsable de la communication dans une société informatique, il écrit également d'autres histoires pour Astrapi, une trentaine de romans courts pour le compte de diverses revues sous deux pseudonymes et travaille en free-lance pour le Figaro, le JDD et Air France Madame.

Il compose également quelques paroles de chansons, dont "À chacun son histoire", titre du premier album de Natasha St-Pier.

Son premier thriller "Maelström" (2011) obtient le Prix du premier roman policier de la Ville de Lens 2012. Véritable coup de cœur du comité de lecture, "Nos rêves indiens" (2016) inaugure la toute nouvelle collection Fleur Sauvage consacrée aux romans.

Stéphane Marchand est également coauteur, avec Fabio Mitchelli, de "Dolly's Bible" (2014).

Il se consacre depuis plus de quinze ans à la peinture, exposant une à deux fois par an dans différentes galeries, en France et à l'étranger.

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Source : www.k-libre.fr
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Bande-annonce de Maelstrom, le thriller évènement de Stéphane Marchand.


Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
"De même que l'amitié ne se mesure pas forcément au nombre des années, je pense désormais qu'une simple journée peut incarner l'essence de toute une vie."
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Avant les mots venaient tout seuls, mais ça, c'était avant, du temps où ils s'imposaient d'eux-mêmes, il y avait le récit, le style, l'envie d'enchaîner les chapitres ...Maintenant ça tourne en rond, ça n'avance à rien, les phrases n'ont plus de swing comme si la musique de cette époque ne les entraînait plus...
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Les mains qui se posent, les doigts qui s’entrecroisent, se serrent, les regards qui se perdent, se cherchent et trouvent pour fusionner comme si le sexe n’était que la substance physique qui permettait de pénétrer son partenaire par les fenêtres de l’âme.
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Il s'était déjà jeté du Royal Gorge Bridge, dans le Colorado, qui culminait à 330 mètres. Une chute vertigineuse de 10 secondes vers la rivière Arkansas, avant de sentir l'élastique le retenir et l'aspirer vers le haut, le retour du latex en tension maximale le remontant à près de 100 mètres.
Une vraie drogue… sa drogue… le chemin vers la béatitude.
Si loin de l'apesanteur, dans l'ivresse de l'endomorphine.
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Un jour, au sommet de la gigantesque tour en béton de Macao, son « lanceur » lui avait soufflé que l'un des baudriers n'était pas bien fixé, juste avant de le pousser. Il avait connu à la fois la peur de sa vie… et son plus grand bonheur quand l'élastique l'avait remonté. Peu après, on lui avait confié que certains organisateurs se plaisaient à semer le doute dans l'esprit des sauteurs les plus chevronnés.
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Un malade mental venait de le propulser du 52e étage et il fendait l'air à plus de 100 kilomètres/heure. La pluie et le vent giflaient son visage déformé par la terreur, son cœur emballé s'approchait des 200 pulsations par minute, c'était le moment le plus horrible de son existence.
Il avait pourtant sauté un peu partout dans le monde.
De la Chine au Chili, en quête du meilleur trip.
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Avant qu'on ne m'affuble d'un surnom, je préfère me présenter : je suis le Maestro. Comme vous le savez déjà, je viens d'offrir à ma première victime son tout dernier saut à l'élastique, sa passion. Avec ce minable dont vous apprendrez l'identité sous peu, j'engage la partie. Pour ce qui est de ma référence aux cartes, à vous de décider si je bluffe.
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Merci à toi, Dexter, d'avoir répondu présent et d'avoir contacté Harold Irving. Car je te veux sur l'affaire, Harold, çà te fera une occupation. Tu travailleras avec l'agent Borden. Il va de soi que vous devez considérer chacune de mes propositions comme un ordre
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Ne pas oublier de regarder le jour se déployer du matin jusqu'au soir...Ne pas oublier que les choses ne seront jamais plus ce qu'elles étaient...Ne pas oublier les serments de l'adolescence
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Et tu sais mon désir / Et tu sais mon histoire. Serait que jamais tu ne m'oublies / Oh ! souviens toi à jamais / Souviens toi de ne pas m'oublier
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