Les hommes, écrit-elle, ont besoin de se prouver à eux-mêmes leur existence et, pour réparer le manque qui les affecte, de montrer ces preuves à la face du monde. De là les progrès intellectuels ou techniques. Les femmes, en revanche, ne connaissent pas ce déséquilibre. Elles participent des secrets de la nature, de ses processus vitaux.