Un usager insensible peut parfaitement trouver son trajet monotone. Il passe son chemin un chaperon sur les yeux, sans goûter la poésie d'une infiltration nouvellement apparue, sans s'intéresser à la menace d'un dégât des eaux, ignorant que le métro à l'âge de ses galeries.
Les gens ne regardent pas autour d'eux. Ils ne font d'ailleurs pas plus attention à la coiffure de leurs femmes qu'au fait qu'elles se soient rasé la moustache. C'est peut-être un problème d'éducation. On passe à côté de sa vie.