[…] j’ai peut-être cédé à un racisme latent qui veut que les boudins soient toujours « les autres » (en l’occurrence, les femmes), pour paraphraser Jean-Paul Sartre, illustre boudin mâle. Mais peut-être, tout simplement, le mot « boudin » n’était-il pas péjoratif dans ma bouche. J’en ai tellement baisé que j’aurais mauvaise grâce à cracher dans la soupe.