Citations de Barroux (34)
"C'est vrai ! J'porte des slips en nylon mais faut pas m'embêter."
Dessine les mouches que monsieur Caméléon tente d'attraper.
[…]
Le pyjama de ce zèbre manque de quelques lignes.
Il faut marcher en file indienne et la colonne s'allonge pendant que l'artillerie allemande commence à battre le bois. En sortirons-nous vivants ? Après bien des angoisses, la compagnie se retrouve intacte de l'autre côté. Décidément, nous avons de la veine.
D'ailleurs, ça paraît incroyable, mais un jour où j'explorais les plus hautes branches de mon arbre, j'ai découvert un éléphant assis bien sagement, qui tricotait une écharpe.
La BD s'appuie sur le carnet de guerre d'un poilu. Un jour, en hiver, Barroux, qui marchait de Bastille à République, trouve sur un trottoir un carnet jauni qui contient le témoignage d'un poilu durant les premières semaines de mobilisation en été 1914. Dans ce carnet, le poilu raconte la séparation, les débuts de la guerre, les trajets vers les destinations inconnues, l'attente du courrier, les nuits dans les tranchées... et aussi la peur qu'il avait
Loin, très loin, j'ai un coin secret.
J'y vais quand je suis triste.
On a le droit d'être triste, même sans raison.
Et ça passe.
Maman dit que c'est ça "la mélancolique."
mange ta soupe, ça fait grandir
mais j'ai pas envie de grandir
je suis très bien comme ça
"Combien de ces soldats que nous voyons passer rentreront dans leur foyer ? Chassons ces idées noires et reprenons courage.
Bonjourr c'est Emeline du collége Béranger grace a vous je me suis inspirer de votre personnage de ce livre pour Moi faire des illustration vous m'avai fait avancée car maintenant j'ecrit un livres nomée L'aventurier Imaginaire . Mercie Beaucoup j'espere quon ce revera bientôt bonsoir :)
Un vent léger souffle sur les tours du château.
Le soleil se lève au pays des animaux.
C'est une belle journée qui commence.
Ce même hiver, ou un autre, j'ai recueilli dans mes bras toute une bande d'étourneaux fatigués qui descendaient vers le sud.
Combien étaient-ils ? Des dizaines ? Des centaines ?
J'espère qu'ils sont bien arrivés.
Dans le ciel d’automne, les nuages avancent en silence. J’entends le battement régulier de mon cœur.
Popom. Popom. Popom.
A la mer, quand quelque chose vient me chatouiller les mollets.
MÊME PAS PEUR !
Tu sais pourquoi ?
PARCE QUE J'AI MON DOUDOU !
- J'adore cette histoire de graines et d'arbres.
- Moi aussi, mais lequel était là en premier ? La graine ou l'arbre ?
Où est l'étoile de mer ?
Où est la méduse ?
Où est le poisson-clown ?
Mais non !
C'est pas mon doudou,
c'est un poussin !
C'est fini : adieu a tous ... Non, au revoir car je les révérait !
C'est juste que le soir, parfois, c'est l'été qui part en vacances. Loin et ailleurs. Comme si la rentrée c'était demain.
Dans mon histoire, Bleue représente toutes les baleines. Il en existe plus de vingt espèces différentes, et beaucoup d'entre elles sont en danger d'extinction. Certaines espèces sont protégées par des traités ou des accords internationaux, mais toutes les baleines font face à une autre menace qui ne cesse de prendre de l'ampleur : le plastique.
J'ai toujours aimé le bleu de l'océan.
Le parfum de l'air marin,
Le doux clapotis des vagues...