Nationalité : France
Né(e) : 1972
Ajouter des informations
Né(e) : 1972
Biographie :
Stéphanie Bioret et son mari Hugues sont des voyageurs passionnés. En 2003, le couple part neuf mois en congé sabbatique, accompagnés de Romane, leur petite fille de 3 ans. Ils traversent le Maroc, l'Espagne, la Turquie...
Après avoir retrouvé Niort et le ronron du travail salarié, lui de concepteur-rédacteur chargé de clientèle, elle de directrice artistique, Hugues et Stéphanie conçoivent deux autres enfants et laissent mûrir leur projet éditorial.
En 2009, leur premier guide "Le Maroc des enfants" s'écrit donc en parallèle de leur travail.
En avril 2011, Hugues démissionne. Huit mois plus tard, Stéphanie lui emboîte le pas. Ils créent Les Éditions Bonhomme de chemin. La sœur de Stéphanie, Julie Godefroy, est en charge des illustrations.
D’abord dédiés aux différents pays (Maroc, Turquie, le Monde arabe, l'Italie, l'Angleterre et l'Espagne), les livres d'Hugues et Stéphanie reçoivent un très bon accueil du public. Pour chaque ouvrage, le couple se déplace dans le pays, s'imprègne de la culture.
site: http://www.bonhommedechemin.fr/la-petite-histoire-0
+ Voir plusStéphanie Bioret et son mari Hugues sont des voyageurs passionnés. En 2003, le couple part neuf mois en congé sabbatique, accompagnés de Romane, leur petite fille de 3 ans. Ils traversent le Maroc, l'Espagne, la Turquie...
Après avoir retrouvé Niort et le ronron du travail salarié, lui de concepteur-rédacteur chargé de clientèle, elle de directrice artistique, Hugues et Stéphanie conçoivent deux autres enfants et laissent mûrir leur projet éditorial.
En 2009, leur premier guide "Le Maroc des enfants" s'écrit donc en parallèle de leur travail.
En avril 2011, Hugues démissionne. Huit mois plus tard, Stéphanie lui emboîte le pas. Ils créent Les Éditions Bonhomme de chemin. La sœur de Stéphanie, Julie Godefroy, est en charge des illustrations.
D’abord dédiés aux différents pays (Maroc, Turquie, le Monde arabe, l'Italie, l'Angleterre et l'Espagne), les livres d'Hugues et Stéphanie reçoivent un très bon accueil du public. Pour chaque ouvrage, le couple se déplace dans le pays, s'imprègne de la culture.
site: http://www.bonhommedechemin.fr/la-petite-histoire-0
Ajouter des informations
étiquettes
Citations et extraits (5)
Ajouter une citation
Difficile à imaginer aujourd'hui et pourtant, il y a encore 100 ans, l'eau était partout dans la ville. Devant le château ou sur le cours des 50 otages, on circulait... en barque, en bateau, en péniche.
Au 19è siècle, 30 ponts reliaient les différentes îles (Feydeau, Gloriette...) de Nantes. C'est pourquoi on l'appelait "la Venise de l'Ouest". La Loire et l'Erdre coulaient en plein centre-ville. C'était très beau.
Et puis on a eu besoin d'espace pour la circulation du train et des voitures, et on a alors recouvert l'eau.
Au 19è siècle, 30 ponts reliaient les différentes îles (Feydeau, Gloriette...) de Nantes. C'est pourquoi on l'appelait "la Venise de l'Ouest". La Loire et l'Erdre coulaient en plein centre-ville. C'était très beau.
Et puis on a eu besoin d'espace pour la circulation du train et des voitures, et on a alors recouvert l'eau.
Kanji: les kanji sont des caractères d'écriture originaires de Chine.
Leur particularité? Chaque signe possède un sens et il peut avoir plusieurs prononciations.
En japonais, on utilise plus de 2000 kanji dont environ 1000 sont enseignés durant l'école primaire.
Il faut une bonne mémoire !
Leur particularité? Chaque signe possède un sens et il peut avoir plusieurs prononciations.
En japonais, on utilise plus de 2000 kanji dont environ 1000 sont enseignés durant l'école primaire.
Il faut une bonne mémoire !
Casser sa pipe
Mourir.
On nous dit que cette expression remontrait au temps des guerres menées par Napoléon.
Lorsque les soldats étaient gravement blessés, les médecins plaçaient une pipe entre leurs dents. Quand la douleur était trop forte, ils pouvaient ainsi mordre la pipe plutôt que de crier.
Mais si un soldat mourait lors de l'intervention du médecin, il la laissait tomber sur le sol et elle se brisait (l'extrémité de la pipe était en terre cuite à l'époque, et donc fragile). (61)
Mourir.
On nous dit que cette expression remontrait au temps des guerres menées par Napoléon.
Lorsque les soldats étaient gravement blessés, les médecins plaçaient une pipe entre leurs dents. Quand la douleur était trop forte, ils pouvaient ainsi mordre la pipe plutôt que de crier.
Mais si un soldat mourait lors de l'intervention du médecin, il la laissait tomber sur le sol et elle se brisait (l'extrémité de la pipe était en terre cuite à l'époque, et donc fragile). (61)
"Fluctuat nec mergitur"
Cette locution est la devise de la ville de Paris. Elle signifie, en évoquant le navire représenté sur le blason de notre capitale :
Il est battu par les flots, mais ne sombre pas. (95)
Cette locution est la devise de la ville de Paris. Elle signifie, en évoquant le navire représenté sur le blason de notre capitale :
Il est battu par les flots, mais ne sombre pas. (95)
La lumière du Sud attira beaucoup d'artistes de l'époque. Vincent Van Gogh, par exemple, séjourna à Arles en 1888. Il y réalisa une série de tableaux connue dans le monde entier : Les Tournesols.
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Stéphanie Bioret (32)Voir plus
Quiz
Voir plus
L'hômme qui plantait des arbres
Nom de l'Illustrateur
Jules Romain
Bruno Testu
Willi Glasauer
Gladys Comte
16 questions
22 lecteurs ont répondu
Thème : L'homme qui plantait des arbres de
Jean GionoCréer un quiz sur cet auteur22 lecteurs ont répondu