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Citations de Stéphanie Lagalle (29)


Pendant que l’un remuait la potion magique, les autres remirent de l’ordre dans la pièce. Tout en s’activant, mamie chantonnait quelques mots extraits du livre magique :
– Dans la nuit noire tu es née, le mal tu répands, disparaître tu dois, dans le néant tu iras pour l’éternité.
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- Thibault ! Cria Camille de sa chambre.
- Oui, qu'est-ce que tu veux ? Répondit le garçon qui grignotait tranquillement dans la cuisine.
- Viens !
Thibault n'était pas très motivé à l'idée de rejoindre sa sœur. Que pouvait-elle bien lui vouloir encore ?
- Ça peut pas attendre ? Tenta-t-il.
- C'est pour Halloween, allez viens s'il te plaît !
- Ok, j'arrive dans deux minutes. Il se leva, termina son petit sandwich improvisé et se dirigea vers les escaliers qui menaient aux chambres.
- Ah te voilà enfin ! S'exclama Camille ravie de voir son frère.
- Qu'est-ce qui t'arrive soeurette ?
Il ne lui fallut qu'une seconde pour voir à quel point la situation était grave. Il y avait des vêtements éparpillés partout dans la chambre.
- Oh non qu'est-ce que tu as encore fait, maman va te tuer ! Tu le sais non ?
- Oh ça c'est rien !
- Comment ça, t'es aveugle ma parole !
- Bon, arrête de faire ton père-fouettard et aide-moi plutôt à choisir une tenue pour ce soir.
- Mais je ne suis pas une fille, comment veux-tu que je sache ce qu'il faut que tu mettes ?
- Alors, bouge pas je te montre.
Camille se hâta de prendre un déguisement de fée avec des dents de vampires.
- Ouh la la, Thibault fit la moue.
Elle les plaqua contre elle pour faire illusion.
- Alors qu'est-ce que tu en penses ?
- Beurk vraiment...
- Attends, j'ai une autre idée le coupa-t-elle avant de faire virvolter les vêtements dans tous les sens et de trouver ce qu'elle cherchait.
- Et ça ?
Elle avait entre les mains un vêtement de pirate pour fille avec un chapeau noir assorti.
- Ouais c'est mieux, dit Thibault sérieusement.
- Ah je savais que tu me serais d'une aide précieuse mon p'tit frère chéri !
- Arrête de m'appeler comme ça, tu sais bien que ça m'énerve !
- Bon ok ! Se désola Camille.
- Vas-y essaie ton déguisement.
- Bonne idée. Camille se dépêcha d'enfiler son costume par dessus son legging et son tee-shirt.
- Alors ? Questionna-t-elle tout en tournant sur elle-même.
- Je trouve ça bien.
- Vraiment ?
- Puisque je te le dis ! Insista Thibault.
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Eh bien en quoi vas-tu te déguiser ?
- Euh...en squelette, peut-être ! lâcha-t-il sans y avoir réellement réfléchi.
- Comme l'année dernière ? s'étonna Camille devant son peu d'originalité.
- Oui, j'aime bien ce costume.
- Enfin, tu pourrais te casser un peu la tête et changer.
- Et qu'est-ce que tu penses que je pourrais mettre à la place ? demanda Thibault gentiment.
- Accorde-moi deux petites secondes que je te trouve LE costume de tes rêves !
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Pendant les cours Noémie qui était toujours assise à côté de moi tenta d’en savoir davantage.
- Bon alors c’est du sérieux avec Fred ?
- Oui je crois qu’on peut dire ça… je la faisais mijoter volontairement car je savais où elle voulait en venir.
- Mai vous l’avez fait ou pas ?
- Faire quoi ? J’étais limite d’éclater de rire en plein milieu du cours.
- Tu fais exprès de ne pas comprendre, t’es vache !
- Oui, je le fais exprès ma vieille, t’es bien curieuse dis-donc ?
- Attends… en tant que meilleure amie, j’ai l’exclusivité de ce genre de détail !
- Ah bon et depuis quand ?
- Surtout depuis que Fred est devenu TON Fred tu ne m’as pas appelée du week-end, même pas un tout p’tit sms pour me raconter… elle faisait semblant d’être attristée.
- Tu ne vas pas me faire la gueule ma cocotte, tu sais bien que je t’aime. J’essayais de l’attendrir pour m’excuser car il est vrai que je l’avais un peu délaissée, chose à laquelle elle n’était pas habituée du tout.
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Tourmenté par le vol de l'Indomptable, Grégoire eut envie après son copieux déjeuner de retourner à la demeure des Warrington. Son plan était simple, reconstituer tout ou partie de la scène de vol, seul, pour réfléchir à son aise. Ainsi, il se leva de table et se dirigea vers le grand hall de l'hôtel et demanda à la réceptionniste de lui commander un taxi puis il alla l'attendre sur le trottoir bien fleuri. À peine dix minutes plus tard, le détective fut emmené en berline sombre. Grégoire avait profité du trajet pour prévenir Matthew de son arrivée à l'aide de son téléphone portable. Arrivé au manoir des Warrington et très concentré sur sa tâche, le détective se présenta devant Georges qui l'introduisit dans le manoir et le mena auprès du maître des lieux dans le salon. Ce dernier lisait dans son fauteuil les nouvelles sportives du moment. Matthew se leva pour saluer son invité avec enthousiasme puis Grégoire lui expliqua les raisons de sa venue.
- Si cela ne te dérange pas, j'aimerais procéder à une reconstitution ?
- Bien sûr, pas de soucis fais comme chez toi.
- Je te remercie, j'y vais sans plus tarder, je commence par l'étage...
- Très bien à tout à l'heure.
Grégoire monta les escaliers qui menaient à la salle d'exposition des gemmes et tenta de trouver par où le voleur était entré. Il n'y avait pas de fenêtre, aucune issue apparente, le voleur était donc passé par la porte tout simplement cela ne faisait aucun doute possible. Il fallait donc chercher ailleurs, il décida d'inspecter la chambre voisine de gauche à la recherche d'une fenêtre. La chambre n'était autre que celle de Bella et comme il avait carte blanche, le détective se mit à inspecter minutieusement la pièce et ses recoins. Cette chambre d'une belle taille tapissée d'un rose pâle élégant était ornée de moulures blanches et d'une moquette blanc cassé impeccable ainsi que de rideaux fleuris qui relevaient le tout. Aussitôt, l'œil rusé du professionnel se dirigea vers la fenêtre qui était encombrée par un joli meuble blanc lui aussi où Bella rangeait sa collection de parfums. Et juste devant le meuble, on pouvait admirer un long tapis qui menait jusqu'au lit de Bella. Grégoire eut une intuition, il se baissa et roula le tapis ce qui fit briller ses yeux de succès.
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La planète Terre en vue, je ressentis une certaine nervosité, cela ne me ressemblait pas et pourtant, c’était bien réel. L’amour est un sentiment nouveau pour moi, si étrange, il a déjà des répercussions sur mon corps et sur mon cœur alors que je n’ai même pas encore rencontré Léna. C’est un pouvoir d’attraction énorme qui me subjugue complètement. Dans quel état serais-je quand je lui parlerai pour la première fois ? Tout cela commençait à m’inquiéter sérieusement. Je passais en mode furtif pour ne pas être détecté par les satellites mis en orbite.
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Papy Pierrot et Stéphane étaient partis choisir de quoi lire au kiosque à journaux. Stéphane prit sa revue sportive favorite et papy le journal local. Tout en plaisantant avec son gendre, Pierre s’installa à une table et déplia son journal avec curiosité.

Il commença par les gros titres :

– Mystère à Magicville...

Interloqué par ces mots, il se mit à lire l’article s’y rapportant et, rapidement, ponctua sa lecture de « Oh ! » puis de « Non ! », pour conclure par :

– C’est impossible ! Qu’a-t-il bien pu se passer là-bas ?

Stéphane interrompit sa lecture et vint aux nouvelles :

– Quelque chose d’ennuyeux, Pierre ?

– C’est le moins qu’on puisse dire ! Regarde-moi ça…

Il lui tendit le journal. Après quelques instants,

Stéphane commenta à son tour :

– Comment expliquer une telle disparition ? Un grand magasin comme la caverne d’Ali Baba, en plus ! Ça ne passe pas inaperçu !

– Volatilisé ! Il ne reste plus rien et personne n’a rien vu… Bizarre. Il faut que je réfléchisse à tout ça en tant que président du Conseil des protecteurs de la ville.

– Peut-être faudrait-il interroger monsieur Colasse, le propriétaire du magasin d’articles de magie ?

– Oui, je crois que j’irai le voir dès demain, car je ne vais pas gâcher cette belle journée. Les enfants s’amusent tellement bien…

– Je t’accompagnerai, si tu veux ?
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Stéphanie Lagalle
ce livre que j'ai découvert lors d'un salon du livre m'a beaucoup plu ainsi qu'à mes deux enfants. C'est un roman passionnant et trépidant; L'intrigue est très bien faite et on entre tout de suite dans la peu des personnages.
Chapeau à l'auteur.
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À votre place, je me dépêcherais d’aller prendre le petit déjeuner. Papy vous attend déjà dans le jardin pour votre première leçon de magie.
Ces seules paroles suffirent pour les faire bondir du lit. Ils se hâtèrent de manger et de se laver et, trente minutes plus tard, retrouvèrent leur grand-père dans le jardin. La mine réjouie, papy commença :
- Bonjour, Camille, bonjour, Thibault, bien dormi ?
- Très bien, merci, répondirent-ils en l’embrassant.
- Bon, écoutez-moi attentivement, s’il vous plaît… Si vous êtes d’accord, je peux vous apprendre tout ce que je sais concernant la maîtrise de la magie.
- Bien sûr qu’on est d’accord ! s’exclama Thibault.
- Oh oui, bien sûr ! Ça va être grandiose ! appuya sa sœur. Papy ne put retenir un sourire…
- Êtes-vous prêts pour votre première leçon ?
Le sourire ravi qui éclaira leur visage remplaçait toute autre réponse.
- Bien… Vous allez d’abord me regarder faire. Nous allons utiliser pour cela la piscine. Éloignez-vous de quelques pas, s’il vous plaît, et soyez attentifs.
Papy se plaça devant la piscine et leva les bras à mi-hauteur, les paumes des mains tournées vers le ciel.
- En haut ! cria-t-il soudain. L’eau de la piscine se concentra aussitôt en un jet de près de cinq mètres.
- Dragon ! ordonna Papy en exécutant un geste en demi-cercle. Sous les yeux ébahis des jumeaux, le jet d’eau prit la forme d’un magnifique dragon. En quelques mouvements rapides, papy mit fin à ce tour. Le dragon disparut instantanément tandis que l’eau retombait lourdement dans la piscine. Les enfants, bluffés, mirent quelques instants à réagir.
- Mais on ne pourra jamais faire un truc pareil ! On ne sait même pas lever un verre ! souffla Thibault, impressionné par l’envergure de ce que l’on attendait de lui.
- Mais si, tu vas voir, ce n’est pas si difficile !… Commençons par toi, viens près de moi ! Thibault, embarrassé, s’avança.
- Tu regardes la piscine en te concentrant très fort sur ce que tu veux réaliser, puis tu lèves tes bras, tu tournes les paumes vers le ciel… Thibault inspira profondément pour forcer sa concentration, et fit ce que papy lui dictait.
- Tu lèves les mains vers le ciel… Et tu répètes après moi : « en haut ! »
- En haut !
Un jet d’eau peu conséquent se forma alors. Il ne ressemblait malheureusement pas du tout au précédent. Cependant quelque chose s’était produit, ce qui était plutôt bien pour une première fois.
- Ouais ! T’as vu ça, Mimi ?! jubila Thibault, surpris malgré tout de ce petit succès inattendu.
- C’est génial, tu as réussi ! félicita Camille. Tu as des pouvoirs magiques !
- Oui, tu as bien des pouvoirs magiques, comme tu peux le constater, approuva papy. Mais il va falloir t’entraîner pour réussir complètement ce tour. À Camille, maintenant. On va voir ce que tu es capable de faire… Je vais te guider.
L’opération se renouvela avec la fillette.
- En haut ! prononça-t-elle distinctement. L’eau de la piscine se dressa en un superbe jet. Cependant Camille fut tellement surprise qu’elle stoppa net son effort. Elle se mit à rire :
- Vous avez vu ! Moi aussi, j’ai des pouvoirs !
Heureux, les deux enfants s’élancèrent l’un vers l’autre et entamèrent une danse.
- On a des pouvoirs ! On a des pouvoirs ! chantaient-ils en sautant. »
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Les deux jours qui précédèrent le retour de mon père furent étranges. Tout d'abord, ma mère se mit en quatre pour me faire des petits plats, il fallait que je reprenne des forces, mais je ne leur trouvais aucune saveur et pire j'avais toujours cette faim de plus en plus tenace. Que ce soit les tartines recouvertes de pâte à tartiner chocolatées que Fred nous prépara dès mon retour de l'hôpital ou la merveilleuse purée de ma mère, rien n'y faisait... peut-être que l'entrecôte saignante fut la seule chose qui m'apaisa un temps soit peu. Les deux nuits suivantes, j'essayai de dormir sans succès dans les bras de mon homme qui me tenait serrée contre lui, comme s'il craignait que je m'échappe. Cette idée me fit sourire.
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En cette soirée estivale, le moment le plus attendu était le bal populaire qui devait commencer d'une minute à l'autre. Les demoiselles aux cœurs encore libres se pressèrent vers la place qui s'était changée en piste de danse, éclairée pour l'occasion par de multiples guirlandes vertes, rouges et jaunes renforçant le côté rustique et authentique de ce village montagnard. Même si l'heure du coucher habituel était passée depuis longtemps, presque tous les villageois ainsi que des membres de leurs familles ou même des amis avaient répondu à l'appel comme chaque année.
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Quatre prototypes de parapluies miniatures y sont rangés. Elle se saisit de chaque modèle les uns après les autres et nous les fait passer de main en main. Le premier est grenat avec des petits flocons blancs disposés sur un seul pan de la toile, tandis qu’à l’opposé, les mots « Joyeux Noël » trônent dans des lettres fines et élégantes tout en boucles. Le second est son jumeau, mais dans un vert sapin. Le troisième est rouge vif avec un motif tout au long de la bordure fait de petits sapins qui partent d’un modèle nu pour arriver à un modèle décoré de boules et de guirlandes. Quant au dernier, il est vert sapin avec une bordure composée de petits pères Noël évoluant dans différentes situations, avec une hotte sur le dos, un traîneau ou un renne… Ils sont magnifiques. Je suis toujours éblouie par les nouvelles créations. Quand je crois que la créa ne pourra pas faire mieux, eh bien, je suis toujours bluffée de découvrir que je me suis trompée.
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Chapitre 1 :
« ...Mon cœur se mit à battre la chamade pourtant le suspense fut quasi inexistant, l’écran géant situé devant moi afficha sans plus tarder le visage magnifique d’une jeune fille à la chevelure longue et dorée avec des yeux bleus limpides à la forme féline.
— Waouh ! Comment se prénomme-t-elle professeur ? Elle est là, j’imagine ? Je me retournai à sa recherche. J’étais ravi, elle me plaisait déjà.
— Ah, doucement Illan, un instant ! C’est la première fois que j’ai ce cas... s’estomaqua le scientifique tout à coup. Son visage sérieux était en proie au doute, ses sourcils le trahirent. Mon enthousiasme alla tout de suite se cacher pour laisser place à une certaine angoisse.
— Qu’y a-t-il professeur, la machine s’est trompée ?
— Euh, non... elle ne peut pas se tromper même si cela aurait été préférable. L’air songeur, il baissa la tête et se remit à la tâche, de plus en plus contrarié.
— Mais alors que se passe-t-il ? Il ne me regardait plus, il se retourna même.
— Un instant Illan, un instant...
À l’aide d’une oreillette, il appela un de ses collègues qui arriva quelques minutes plus tard. L’attente était interminable.
— Pouvez-vous me dire ce qui se passe Professeur ? demandai-je poliment, en me faisant violence pour garder mon calme apparent.
— Un instant Illan, nous essayons d’éclaircir une situation inhabituelle. Les deux hommes de science échangèrent des propos de façon vigoureuse, le professeur tira plusieurs fois sur sa barbichette la tête baissée. Le deuxième homme se servait beaucoup de ses mains pour s’exprimer. Il n’y avait pas besoin d’entendre ce qu’ils se disaient pour savoir que le problème était loin d’être réglé.
Quelques minutes plus tard, ils revinrent vers moi avec des visages fermés. Le professeur prit la parole :
— Illan, voilà, il n’y a qu’une seule explication à ce que La Destinée a édité.
Je crois qu’à cet instant ma respiration resta en suspens. Il poursuivit en me scrutant avec une certaine compassion.
— J’ai le regret de t’annoncer que ta moitié n’est pas sur cette planète et crois-moi j’en suis vraiment désolé.... »
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Extrait 2, chapitre 21 :
" Je jette un coup d'oeil inquiet à Alessandro qui me rassure d'une moue sereine. Je hoche la tête pour lui répondre en silence et écoute Damien :
- Alors chère voisine, il va te falloir te remplir la bouche d'eau et chanter la Marseillaise.
- Ah, c'est tout ?
- Ben quoi, tu ne croyais pas que j'allais te demander de te mettre en sous-vêtements et d'aller sonner à toutes les portes de l'immeuble pour leur demander du bain douche ?
J'avoue que l'idée m'a traversé l'esprit !
Alessandro remplit mon verre d'eau et tout le monde m'encourage à commencer mon tour de chant.
Ici, pas de peur du ridicule, je me lance :
- Glou, glou.
- Articule, on ne comprend rien...s'amuse l'assistance.
Je fais de mon mieux mais je suis nulle, en même temps c'est le but. Tout le monde est plié de rire, je finis même, prise de fou rire, par courir cracher l'eau dans le lavabo.
Ensuite, en soutien et pour ma première soirée, Damien propose que chacun effectue un gage. Tout le monde se réjouit de se prêter au jeu. Cassis a dû mettre du rouge à lèvres et faire deux bises bien marquées à chacun. Damien a dû faire le poirier. Jocelin se retrouve avec un bonnet de bain et des lunettes de piscine. Lalie doit se mettre pieds nus. Alessandro doit mettre ses chaussettes sur ses oreilles. Je croyais avoir l'immunité étant donné que j'avais été la première et bien non, comme bizutage entre voisins, j'ai eu le droit à un deuxième gage pour terminer la soirée. "
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Stéphanie Lagalle
Cc c’est Stessy tout vot livre sont franchement géniale je l’es est tous adorer franchement on se croirait dans le livre . Continuez comme sa vot livre son super drôle puis fantastique
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Voyager est une aventure, surtout quand la personne que l’on aime est la destination.
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"Je suis une pure épicurienne. J'aime manger et aimer ... Tous les plaisirs de la vie ..."
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"Je m'appelle Illan, j'ai dix-sept ans en âge terrien. Je n'appartiens pas à votre monde. Ma planète se nomme Hodrion, elle est très différente de la vôtre. Contrairement à la terre, Hodrion vit en harmonie avec ses habitants qui la respectent et la protègent. Nous n'avons qu'un continent, qu’un océan, mais il fait le tour de notre planète. Nos espèces animales sont différentes des vôtres même si elles ont un air de famille. Nous avons aussi un soleil, disons que nos planètes se ressemblent à bien des égards. Notre point fort est la technologie très avancée, nous avons à peu près deux siècles d'avance sur la Terre pour vous donner une idée. Disons que grâce à cela, nous pouvons vivre presque éternellement si nous évitons les accidents bien entendu.



Je sais que vous vous demandez à quoi est-ce que je ressemble, n'est-ce-pas ? Eh bien mon apparence physique est identique à celle des terriens de race blanche. En fait, avant d'apprendre à connaître la planète Terre, je n'avais jamais vu d'êtres à la peau plus foncée, ça peut paraître bizarre pour vous mais chez moi c'est comme ça tout simplement. La pigmentation de notre peau est adaptée à la densité de notre soleil j'imagine. En ce qui concerne mes yeux, ils sont bleus comme bon nombre d'humains et mes cheveux sont dorés, ah oui c'est vrai vous dites "blonds" chez vous. Je mesure 1,85m ce qui est un petit peu plus grand que la moyenne humaine mais sur ma planète je ne fais pas partie des plus grands, d'ailleurs, j'ai un ami qui mesure 2,20m et ce n'est pas rare. Pourquoi je vous dis tout ça ? Eh bien parce que mon monde et le vôtre devaient se rencontrer un jour bien précis, le jour de mes dix-sept ans..."
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Bon, j'avoue, c'est pas joli-joli mais parfois on fait ce qu'on peut et rien d'autre faute de créativité et surtout par manque de temps. Ne me jugez pas trop sévèrement. Je demandai donc à ma mère de me donner une potion qui effacerait des souvenirs de Gloria les dernières quarante huit heures. Elle avait ce qu'il fallait pour concocter un tel mélange et disparut dans la cuisine pour le réaliser. Mon plan commençait à prendre forme. Ensuite, je décidai qu'il fallait ramener Gloria le plus près de chez elle ou dans un endroit qu'elle fréquentait et où nous ne serions pas repérés. Il ne fallait surtout pas qu'elle se réveille ici, ni qu'elle nous reconnaisse. Son sauvetage resterait pour elle un mystère complet. L'idée était bonne mais difficile à réaliser. Nous nous arrachions les cheveux à force de propositions.
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Au milieu de la nuit, Wil se leva pour aller aux toilettes, et quand il revint, il s'autorisa comme il aimait le penser, une « petite pause étoiles ». En jetant un coup d'œil par la fenêtre il eut la chance de contempler un ciel noir bien dégagé parsemé de milliers de minuscules tâches argentées. Il se rappela la promesse qu'il avait faite plus tôt à Alex, alors il se dirigea vers son lit. Cela ne lui plaisait pas de le réveiller au beau milieu d'un rêve, mais bon, chose promise chose due.
Alex, souffla t-il tout d'abord.
Son ami resta hermétique à cette tentative alors il insista en posant sa main sur son dos et le secouant un petit peu.
Alex viens, y'a plein d'étoiles, faut que tu vois ça ! Le garçon commença à émerger.
J'y retourne, fais comme tu veux mais ça vaut le coup je t'assure, toutes les nuits ne sont pas aussi belles !
Ok, ok je me lève. Merci.
En effet, le temps que Wil retourne à son spectacle et Alex arriva. Quand il leva les yeux en l'air, il ne put s'empêcher de lâcher.
Waouh, c'est magnifique.
C'est vrai que c'est presque magique ce soir. Regarde la grande ours est juste là. Il la dessina à l'aide de son index.
Ah oui, on dirait une grande casserole ! Il pouffa de rire. Pourquoi ne l'ont-ils pas appelée la grande casserole tout simplement ça aurait été plus simple, non ?
Peut-être bien, mais là franchement j'en sais rien, rétorqua t-il en pensant que son ami n'avait pas tort.
Ils échangèrent peu de mots le temps de ce spectacle dont ils ne se lassaient pas quand Wil tenta :
Dis, on ferait bien de retourner se coucher, sinon demain on va le payer toute la journée, ce serait dommage !
Ouais tu as raison...mais bon c'est les vacances allez encore cinq minutes ok ?
Ok !
Ils sourirent en braquant leurs yeux sur les étoiles quelques minutes de plus, quand soudain une traînée de poussière dorée transperça le ciel l'espace d'une seconde.
Tu as vu ?
Fais un vœu vite.
Ils fermèrent les yeux et secrètement firent un vœu chacun.
Génial !
Ça tu peux le dire, on a eu une chance insolente cette nuit.
Ils se tapèrent dans les mains en signe de victoire et retournèrent se glisser dans leur lit des étoiles plein les yeux.
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- Que m'est-il arrivé ? Et Fred où est-il ? Je m'agitais car je sentais que quelque chose nous était arrivé.
- Rien de trop grave, je te l'ai dit tout à l'heure. Ton état n'est pas inquiétant, le docteur qui t'a auscultée hier soir, après l'accident nous a assuré que tu n'aurais pas de séquelles...
- Et Fred ?
- Il n'a rien de cassé...
- Comment ça ?
-Zut j'en ai trop dit.
- Allez maman ne te fais pas prier s'il te plait, dis-moi tout.
- Il est à côté je vais le chercher ce sera plus simple. Elle se leva.
- Attends, dis-moi ce que tu sais avant... je ne me rappelle de rien. Elle tourna les talons pour me faire face.
- Vous avez fait... une mauvaise rencontre en fin de soirée sur le parking Napoléon.
J'essayais de réunir mes souvenirs, de visualiser le parking... mais rien ne se formait dans ma tête.
- J'ai mal au cou... aïïïe. Je portais ma main à l'endroit douloureux. Je ne pus rien toucher car j'avais un pansement à cet endroit.
- Fred te racontera mieux que moi je t'assure.
- Ok, de toute façon j'ai envie de le voir.
Elle passa la porte qu'elle laissa entre-ouverte un instant puis revint avec Fred. Il avait quelques contusions apparentes sur le visage et sur les bras, son poignet affichait cependant un bandage blanc qui passait entre son pouce et son index.

- Solenne. Il vint d'un pas vif à mes côtés. Quel bonheur de revoir son visage si doux et ses yeux à l'affût des miens.
- Fred. Nous échangeâmes un baiser plein de tendresse. Je posais ma main sur sa joue et le questionnais.
- Tu... n'as rien ?
- Non ne t'inquiète pas pour moi ça va, mais toi... Il m'observait anxieux.

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