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3.8/5 (sur 40 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Swanmore, Hampshire , le 30/12/1869
Mort(e) à : Toronto , le 28/03/1944
Biographie :

Stephen Butler Leacock est un humoriste, essayiste, professeur, scientiste politique et historien.

Il grandit dans une ferme près du lac Simcoe, en Ontario, et fait ses études au Upper Canada College (où il enseigne pendant neuf ans), à l'Université de Toronto et à l'Université de Chicago, où il étudie l'économie et la science politique (Ph. D., 1903).

Il entre au Département d'économie et de science politique de l'Université McGill en 1903. Il devient rapidement directeur du département et le demeure jusqu'à sa retraite en 1936.

Collaborateur prolifique de diverses revues pour lesquelles il rédige des textes de fiction humoristique, des essais littéraires et des articles traitant de questions sociales, de politique, d'économie, de science et d'histoire
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Source : www.thecanadianencyclopedia.com
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Bibliographie de Stephen Leacock   (13)Voir plus

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Vidéo de

Dans le cadre de la projection de Primary (R. Drew, R. Leacock, D.A. Pennebaker, A. Maysles) à la Cinémathèque du documentaire au printemps 2019, la productrice Jill Drew évoque la manière dont la société de production Drew Associates fut fondée et dont son équipe inventa le cinéma-vérité, notamment grâce aux fonds de Life Magazine. Retrouvez le dossier de Balises sur les frères Maysles : https://bit.ly/2Hbn9Lz Plus de recommandations sur le cinéma documentaire sur notre page Facebook Pour une poignée de docs : https://bit.ly/2JbsRAD Et le programme de la rétrospective consacrée aux frères Maysles : https://bit.ly/30baiBC

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Podcast (1)


Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Vous savez qu'il y a beaucoup d'hommes qui se rendent compte, tard dans la vie, que si quand ils étaient jeunes ils avaient su ce qu'ils savent à présent, ils auraient peut-être été ce qu'ils ne seront pas. Mais comme il y a peu de garçons qui s'arrêtent à penser que s'ils savaient ce qu'ils ne savent pas, au lieu d'être ce qu’ils sont, ils ne le seraient pas. Affreuses pensées.
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Horrod posa devant moi une tourte à la viande froide, une oie froide, un fromage et une grosse cruche de cidre. Mon appétit m'avait abandonné. Je mangeai l'oie mais après en avoir terminé avec la tourte, je n'avais plus de place pour le fromage que je finis sans enthousiasme. Le cidre avait un goût aigre et après avoir laissé Horrod remplir deux fois la cruche, je m'aperçus qu'il me rendait maussade et décidai de ne plus y toucher.
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Dès que j'entre dans une banque, je perds mon sang-froid. Les employés me terrorisent; les guichets me terrorisent; la vue de l'argent me terrorise; tout me terrorise.

Au moment même où je franchis le seuil d'une banque pour tenter d'y effectuer une opération, je deviens un idiot qui ne répond plus de ses actes.
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Stephen Leacock
La publicité, c'est la science de stopper l'intelligence humaine assez longtemps pour lui soutirer de l'argent
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« Il était occupé à fendre la poutre principale en cèdre massif de trente centimètres de large sur trente centimètres d'épaisseur, qui tenait encore bon quand les chevrons et le toit étaient déjà tombés, que le feu avait pris à douze endroits différents et que les autres hommes avaient battu en retraite à cause des projections d'étincelles et de la fumée suffocante. Mais pas M. Smith ! Regardez-le se camper sur ses jambes, à l'intersection des poutres, et mettre ses cent trente kilos dans chacun de ses coups de hache !Je vous garantis que rien ne vaut un gars du pays du pin pour manier cet outil ! »
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« Il faut que vous compreniez qu'à Mariposa, le rasage n'est pas cette chose hâtive et superficielle qu'ilest dans la grand ville. Le rasage est considéré comme une forme de plaisir physique qui dure partout de vingt-cinq minutes à trois quarts d'heure. »
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« En fait, la seule manière de prouver votre sincérité à un fermier consiste à s'inviter à sa table. Si vous ne touchez pas à votre assiette, il ne votera pas pour vous. C'est un test politique bien connu. »
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"Avec ses pieds nus et tous ces joncs enroulés autour d'elle, elle ressemblait à une femme des cavernes, ses yeux s'enflammant aux premières lueurs de l'aube caraïbe. Tout mon corps frémissait à sa vue. Cela tenait parfois du miracle si je ne lui arrachais pas ses joncs pour la fouetter avec. Mais j'avais appris à me maîtriser. Je lui tendis une grosse pierre pour qu'elle s'asseye. Puis je lui passai le porridge au bout d'une pelle avec la politesse sereine d'un ami."
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Le luxe ! Ah oui ! C'est la grande malédiction de notre époque : la croissance effarante du luxe, l'accumulation écoeurante de la richesse, la facilité avec laquelle toutes ces immenses fortunes se constituent. C'est notre ruine à tous qui se profile à l'horizon. Croyez-moi, tout cela va assurément se terminer par une immense catastrophe. Je suis absolument convaincu, monsieur, que notre civilisation moderne va sombrer dans une épouvantable catastrophe sociale.
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Pour le grand détective, penser, c’était agir. Et agir, c’était penser. Il lui arrivait même souvent de faire les deux ensemble.
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