Danser avec la vie, c'est flotter dans le flux de ses expériences, qu'elles soient bonnes ou mauvaises, avec un sentiment d'harmonie, de confiance, de gratitude et d'amour.
Regardez. C'est votre monde ! Vous ne pouvez pas détourner le regard. Il n'existe pas d'autre monde. C'est votre monde ; c'est votre festin. Vous en avez hérité ; vous avez hérité de ces yeux ; vous avez hérité de ce monde de couleurs. Regardez la grandeur du tout. Regardez ! N'hésitez pas : regardez ! Ouvrez les yeux, ne clignez pas, et regardez - regardez plus loin.
Chögyam Trungpa
On est effrayé par le succès comme par l'échec. Et la vie nous terrorise presque autant que la mort ...
[...] avec un simple sourire, vous pouvez vous alléger et intégrer de la joie à votre vie. Sourire quand vous êtes préoccupé. Souriez en marchant dans la rue. Souriez en vous réveillant le matin. Souriez en méditant, en faisant du taï chi ou en prononçant vos affirmations. Sourire en vous regardant dans la glace (souvenez-vous que la véritable beauté vient de ce sourire). Souriez, là, tout de suite. Comment vous sentez-vous ? Plus léger ? Plus heureux ? Oh oui.
Pour déposer les armes et se réconcilier avec la vie, il est essentiel d'arriver à lâcher prise et à se défaire de la mentalité de victime. Une victime ne profite pas de la vie. Elle est trop occupée à s'apitoyer sur son sort, à se sentir impuissante, à se poser en martyr, à s'inquiéter, à se plaindre, à voir le mauvais côté des choses, à ne profiter de rien et à adresser des reproches à tout le monde.
La seule chose que l'être humain peut réellement contrôler ce sont ses réactions à ce qui passe dans sa vie.
Par définition, les attentes créent une dépendance, une envie, un désir, un espoir que quelque chose tourne d'une façon particulière. Bien sûr, nous n'avons aucun contrôle sur ce que l'avenir nous réserve. C'est pourquoi, quand nous avons des attentes, nous devenons automatiquement notre pire ennemi. Nous nous nuisons à nous-mêmes en construisant une situation où, pour commencer, nous nous faisons du souci à l'avance et où, pour finir, nous sommes déçu si les choses ne se passent pas comme nous l'espérions. Et même si les événements se déroulent de la manière espérée, nous n'avons pas le temps d'en profiter parce que nous sommes déjà en train de nous préoccuper de l'attente suivante que nous nous sommes inventé.
[...] or même au soleil, il arrive qu'on ait envie de pleurer.
Le workaholisme est une drogue, une échappatoire, qui permet de regarder ailleurs pour ne pas être confronté à sa souffrance intérieure, à un intense sentiment de vide, à un manque d'estime de soi, à une recherche d'identité, à une obsession de la quête du "plus - encore plus - toujours plus", à une incapacité d'entretenir avec les autres des relations profondes ou à une peur de ne pas avoir assez ou de ne pas être assez.
En inspirant, j'apaise mon corps.
En expirant, je souris.
Je demeure dans l'instant présent,
Et je sais que c'est un moment magnifique.