Parfois les contraires s'attirent. Mais ça ne va pas très loin, en général. Pour une relation à long terme, plus l'on a de choses en commun, mieux ça vaut.
Elle aimait les peaux bronzées. Sa famille lui recommandait sans cesse de se couvrir et de mettre de la crème solaire - pas par crainte qu'elle attrape un cancer de la peau, non, mais toujours à cause de leur vieille mentalité chinoise : selon eux, c'étaient les basses classes qui vivaient au grand air et s'exposaient au soleil.
Pour que je puisse m'intéresser durablement à un homme, il faut qu'il ait de la conversation.
Le problème avec les Chinois, poursuivit-elle en continuant de se changer, c'est qu'ils me ressemblent trop. C'est comme si je sortais avec mon frère. On s'entend bien mais ça ne fait pas d'étincelles.
— Ça vous arrive souvent de faire l'amour avec les femmes que vous venez de sauver, monsieur le pompier ?
— Seulement avec celles qui m'ont bien exprimé leur reconnaissance.
— Tu es jalouse parce que mes seins sont plus gros que les tiens.
Vrai. La vie est parfois injuste.
Un homme qui serait capable, à lui tout seul, de satisfaire tous tes désirs, ça n'existe pas.
Je ne vais pas faire l'amour avec un type simplement parce que j'ai une petite démangeaison mal placée... J'ai besoin de ressentir quelque chose pour lui.
Quand nous arrivons devant un incendie, on commence par examiner la situation. C'est comme à la guerre. Il y a nous, les gentils, et, en face, il y a une sale bête. Alors, on regarde si la bête est forte. On se pose la question : qu'est-ce qu'on peut sauver ? On se bat le mieux possible. Parfois, on sauve tout. Mais, parfois, la bataille est perdue d'avance. Alors, on sauve juste les immeubles voisins.
Faire l'amour en vitesse dans la cabine de son pick-up, c'était peut-être amusant mais ça ne pouvait pas suffire. D'un autre côté, lorsqu'elle faisait l'amour avec des intellos, c'était bien, sans plus. Son fidèle vibromasseur était plus satisfaisant que la plupart des garçons avec qui elle était sortie.