Le stress me ronge en permanence. Je multiplie les nuits blanches. J'ai la sensation de ne jamais terminer ce que je commence, d'être submergé, coincé dans un cercle vicieux : plus j'abats de la besogne, plus la besogne s'accumule. Je suis sous pression, prêt à exploser d'une seconde à l'autre.
Je retrouve la sensation que j'éprouve quand nous sommes ensemble. Le calme absolu. Les parasites qui polluent mon cerveau se sont tus, j'ai l'impression d'avoir enfin trouvé mon port d'attache.
Et, tout doucement, on se met à danser. Je viens d'inventer un nouveau concept : la valse ipod. Je ne suis pas un fondu de romantisme, alors cette façon de procéder me déstabilise un peu.