Susanna Moore

Quand vous aimez beaucoup les romans policiers, il y a ceux que vous avez lus, ET ceux que vous avez lu et dont vous vous rappelez …

Ce roman fait clairement partie de la seconde catégorie, il doit être dans mon top-ten mais vous devrez patienter jusqu'à la fin de ma critique pour savoir pourquoi…



Sorti en 1995, sous le titre français "A Vif", considéré comme un grand classique du thriller érotique, il a été adapté au cinéma par Jane Campion en 2003 ( avec Meg Ryan, Mark Ruffalo...).



Fiona est professeure d'anglais à New- York et écrit parallèlement un livre sur le langage, les mots d'argot, l'évolution de la langue.

C'est en allant aux toilettes d'un bar, où elle prenait un verre avec un élève, qu'elle surprendra un couple en pleine action. La jeune femme étant retrouvée morte, le nom de Fiona sera donnée aux enquêteurs par le barman, comme celui d'un témoin potentiel. Mais Fiona troublée, n'a pas bien vu l'homme, à peine peut-elle se rappeler d'un tatouage au poignet.

Entamant une relation torride et imprudente avec l'inspecteur Malloy , l'enseignante va se retrouver dans l'oeil du cyclone de l'enquête…



On est dans un thriller érotique qui comme son nom l'indique est érotique ! Ames prudes et sensibles s'abstenir… le ton est cru et l'auteur appelle un chat , un chat.

Je pourrais vous dire que ce qui en fait l'originalité, c'est la personnalité trouble et intellectuelle de Fiona.

[ Non, elle ne devrait pas aller boire des coups avec son élève…

Et, oui, il doit être interdit d'entamer une liaison avec un enquêteur lorsqu'on est témoin…]

Je pourrais vous dire que le métier de linguiste de Fiona, ajoute un plus dans la narration. Susanna Moore, parsème le roman de définitions de mots dont le sens a dérivé . Certains mots d'argot sont amusants , d'autres curieux , mais lorsque vous connaitrez le sens de l'expression " In The Cut", vous ne rigolerez plus…



Mais c'est à la fin, que ce thriller prend toute sa dimension, qu'il se distinguera du lot.

Et si j'ai relu ce roman plus calmement que la première fois, m'attachant à comprendre sa construction, ses mécanismes , à la fin, alors que je me rappelais tout dans les moindres détails, au moins cinq ans après ma toute première fois, j'ai frémis parce que la fin est…

La fin est …

La fin est inattendue …



Je remercie chaleureusement les Editions de l' Archipel ( Archipoche ) , ainsi que Babelio pour sa masse critique.



Challenge Mauvais Genres 2018/19.

Roman très très noir, des années 90.

Fiona, enseignante, prend un verre dans un bar avec l’un de ses élèves, Cornélius. En cherchant les toilettes, elle assiste à une fellation entre une femme rousse et un homme tatoué. Deux jours plus tard, elle est interrogée par un inspecteur, Malloy, qui enquête sur la mort sanglante de la femme rousse.

Entre la relation ambigüe qu’elle entretient avec Cornélius et la relation sexuelle qu’elle a avec l’inspecteur, Fiona se débat avec d’autres démons, dont celui de beaucoup tergiverser.

Il se trouve que quand j’ai acheté ce roman, je ne me souvenais pas du tout qu’il avait été adapté par Jane Campion, et qu’en plus je l’avais vu. Dès les premières pages, toute l’histoire m’est revenue en tête et donc c’était mort pour le suspens. Malgré tout, j’ai quand même apprécié la lecture de cet excellent polar, très noir, avec des scènes très crues - et je ne parle pas que de sexe! Le style fait très années 80 je trouve, on devine la ville États-Unienne, grouillante, son quartier italien, son lycée public, sa violence, sa police pas très nette. Le personnage de Fiona, intellectuelle qui apporte une réflexion sur tout ce qu’elle voit, tout ce qu’elle vit, donne corps à l’ambiance noire et froide.

La fin est admirable mais difficilement supportable. Elle m’a glacée le sang.

Grande admiratrice du travail de réalisatrice de Jane Campion, j’étais curieuse de lire le roman dont elle s’est inspirée pour son film éponyme. Meg Ryan y est quasiment méconnaissable avec son nez refait (défait ?), mais l’alchimie avec Mark Ruffalo est parfaite, et je garde de ce film un souvenir frémissant et le désir de lire – enfin – La promenade au phare qui est si souvent cité par les personnages.

Mais le roman de Susanna Moore est un peu décevant. S’il tient toutes ses promesses de thriller érotique, il offre un pauvre traitement au protagoniste féminin. Le texte est certes très lucide sur la complexité des rapports amoureux, mais sans dépasser une sorte de premier degré assez tiède, entièrement incarné par le coupable. « Ils ont besoin de nous détester pour surmonter la peur terrible que nous leur inspirons. » (p. 79) C’est cependant avec intérêt que j’ai lu les entrées du dictionnaire argotique que Fiona tente de rédiger en se frottant à ses élèves et à la population bigarrée du métro new-yorkais. Bref, In the cut se lit vite et vaut surtout pour le matériau qu’il a offert à Jane Campion. Lisez le livre si cela vous tente, mais surtout, regardez le film !

C'est ce roman qui a inspiré le film “In the Cut” de Jane Campion sorti en 2003. Un film qui m'avait fasciné. C'était tellement noir … Je voulais en savoir davantage en lisant ce livre, aller plus loin … et je crois, et c'est rare, que j'ai préféré le film …



Nous voici face à un thriller psychologique … L'a-t-il fait ou non ? Lors d'une soirée dans un bar, une jeune enseignante de New York qui se passionne pour la langue et l'écriture, surprend, dans l'embrasure d'une porte, un homme se faisant faire une fellation par une femme au cheveux roux. Le lendemain cette femme est retrouvée morte sauvagement mutilée. L'homme qu'elle a entraperçu, est-il le meurtrier ?



L'enquête est lente et laborieuse et nous la suivons afin de découvrir qui ? et pourquoi ? On ressent très bien l'atmosphère que la romancière décrit, les personnages par contre ne sont pas attachants et on ne comprend pas leur choix de vie. Un bon roman mais lorsqu'on a vu le film c'est décevant.

Magnifique thriller dont je ne m'explique pas la faible moyenne sur le site. Passée à 3 seulement, après celle que je lui donne..

Il faut être réellement prude ou très timoré(e) pour ne pas accorder la note maximale à ce petit bijou noir et doux ; sorte d'onyx que l'on peut faire rouler entre ses doigts en s'émerveillant de sa couleur et de la sensation, de son mystère aussi..

Cru sans être vulgaire, violent sans être racoleur ; intelligent, surtout.. À l'image de l'héroïne, qui, en tenant son dictionnaire, n'explore pas seulement les particularismes et les idiolectes mais également ce qui ne peut s'étudier de manière savante, sans abandon..

L'écrivaine est souvent exposée, et ne s'en aperçoit pas toujours, sinon dans les sourires masculins qui lui révèlent (sans mots pour le dire) sa peur, sa découverte, sa faille, son besoin, son envie...

"In the cut"

Tout le charme des opérations Masse critique de Babelio réside dans le plaisir de découvrir des livres qu'on n'aurait pas forcément eu l'idée d'acheter, de nouveaux genres, de nouveaux auteurs.

C'est le pari que j'avais fait en cochant In the cut, qui était présenté comme un classique du thriller érotique, genre que je ne connaissais pas particulièrement mais que j'étais curieuse de découvrir.

Je remercie donc les éditions de l'Archipel (Archipoche) pour leur envoi.



Pour être tout à fait sincère, j'ai été un peu déçue par ma lecture et j'ai du mal à comprendre pourquoi ce livre est qualifié de classique.

Certes, la tension monte tout au long du roman et la fin est assez surprenante et plutôt réussie, mais j'ai trouvé que l'intrigue était un peu confuse et qu'on passait parfois du coq à l'âne sans trop de transitions. Il y a néanmoins quelques belles trouvailles comme les poèmes du métro ou le dictionnaire d'argot intervenant comme une sorte de fil rouge. Et les scènes érotiques rythment bien le récit.

Fiona, enseignante en littérature a surpris un soir un homme en pleine relation charnelle avec une jeune femme rousse. Elle a des relations ambiguës avec un de ses élèves. Un meurtre a eu lieu, et Fiona découvre qu'il s'agit de la jeune fille rousse. Considérée comme témoin, elle est interrogée par Malloy et son collègue. Ce qu'elle ne dit pas c'est que le tatouage de Malloy correspond à celui qu'elle a vu sur l'homme qui était avec la jeune fille rousse. Elle commence une relation avec Malloy et continue d'être harcelée par son élève. Son monde s'écroule lorsque son amie Pauline est sauvagement assassinée.

Premier thriller érotique que je lis, je ne suis pas adepte au plus haut point de ce genre de lecture, mais une chose retient mon attention: l'auteur a su emmener sur diverses piste pour ne dévoiler qu'aux toutes dernières pages le nom du meurtrier.

Fiona, enseignante le jour et couche-tard-le-soir, surprend un acte charnel entre deux personnes dans la pièce sombre d’un bar qu’elle fréquente le soir.. le manque de lumière de la pièce ne lui permet de voir que la chevelure rousse de la jeune femme et un tatouage au poignet de l’homme. Le lendemain, la rousse est retrouvée morte et Fiona se retrouve mêlée à ce sordide meurtre en tant que témoin.



Malgré les suspicions qu’elle a sur un des flics chargé de l’enquête, elle va s’enliser dans une relation de soumission avec lui. Elle est tourmentée, refoulée, naïve et un peu obsédée et lui un peu déboussolé et infidèle aussi. En plus de ses cours, elle écrit un dictionnaire sur l’argot de nos jours, de la rue au poste de police. Elle nous fait part de ses découvertes et nous on se régale de ce vocabulaire.



Perdue et un peu curieuse, elle entretien également une amitié ambigüe avec un de ses élèves, sous couvert de cours particuliers : pas de sexe mais des attitudes qui laissent planer le doute.. Fuis moi je te suis.



In the cut m’avait fortement attiré, un résumé très vendeur, qui promettait du suspens et de l’érotisme. Sorti en 1995, il était alors classé comme « thriller érotique » : peut être que 23 ans après, on ne le classerait pas de la sorte car pas de scène{s} pouvant choquer à ce point. Disons que c’est sensuel, quelquefois. Je n’ai pas été emballée par ma lecture, m’attendant à un scénario haletant et des émotions fortes. Ici pas de course poursuite, pas de transpiration excessive et de souffle coupé. C’est vrai, le point fort du livre est principalement lié à la psychologie des personnages et à leurs mécanismes, à la complexité des rapports amoureux aussi.. On glisse doucement dans les pensées de Fiona, narratrice, de ses vices et désirs et on assiste à ses longs questionnements.



L’intrigue se déroule tranquillement, emportant indices et doutes sur des pistes peu glissantes. Les final arrive alors soudainement, comme un coup de point, dévoilant un talent et une vivacité qu’on aurait voulu plus présente et plus hargneuse encore.
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J'aimerais vraiment savoir ce que Susanna Moore avait en tête quand elle a écrit ce livre. Que voulait-elle raconter exactement? Quelles émotions voulait-elle faire surgir chez son lecteur?



Tout cela reste un mystère pour moi. L'histoire de A vif est inconsistante, racontée de manière tellement décousue qu'on ne parvient pas à s'attacher aux personnages, voire on ne s'intéresse même pas à ce qui va leur arriver.

Tout au long de la lecture, on se dit "mais qu'est-ce que je suis en train de lire?".



Susanna Moore semble avoir hésité entre écrire un livre porno de série Z ou un polar de série B. Et dans aucun registre elle n'a réussi à être crédible.



Bref, une lecture navrante à oublier bien vite...

Un roman poussif et qui se cherche jusqu’à la fin



On va le dire franchement : cela ne l’a pas fait du tout pour moi.



En fait, le gros problème, selon moi, avec ce roman, c’est qu’on ne sait pas vraiment ce que l’auteur a voulu écrire. La quatrième de couverture nous annonce un thriller érotique. Moi je dirais plutôt qu’en matière d’érotisme, on repassera. On a surtout affaire à une femme en manque qui se retrouve comblée après deux scènes de fesses dont une qui n’a rien de sensuel et qui se rapproche plutôt d’un bon vieux porno de seconde zone. Les deux inspecteurs, Malloy et Rodriguez, passent, quant à eux, pour deux gros obsédés bien lourds qui ne savent parler que de sexe ou faire des sous-entendus bien graveleux dès qu’ils croisent une femme. C’est à la fois extrêmement facile et pas du tout excitant au final. Quant au côté thriller effectivement, on le trouve mais seulement par quelques petites touches par-ci par-là tout au long du roman. Certains personnages comme l’élève de Fiona, Cornelius, sont certes un peu flippants mais pas au point d’en faire des cauchemars. Il n’y a véritablement que les derniers paragraphes du dernier chapitre qui sauvent l’ensemble avec une tension qui monte d’un cran en quelques pages, tension qu’on aurait aimé voir apparaître bien plus tôt au cours de l’intrigue.



Je pense que ce qui m’a également gêné, c’est que l’enquête est véritablement en retrait dans ce roman et cela a clairement manqué pour donner une réelle dimension d’angoisse à l’intrigue.



Ce roman a été adapté sur grand écran par Jane Campion, ce qui me surprend tant l’histoire ne me semble guère tenir la route. Je suis vraiment curieux de savoir ce qu’elle a pu en faire même si ce ne sera pas pour tout de suite car cette lecture ne m’y a pas forcément encouragé.



Loin de moi l’idée de vous dire de ne pas lire ce roman, il en faut tout simplement pour tous les goûts. Ce n’était sans doute pas ma came car Susanna Moore ne m’a finalement pas converti à son univers. A vous de vous faire votre propre opinion.
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J’ai trouvé ce petit livre surprenant, puisqu’il m’a plus troublée que ce à quoi je m’étais attendue. Puis moi qui n’aime pas les romans policiers, celui-ci était vraiment bien ! J’aurais néanmoins préféré un peu plus de lenteur par moments, mais c’est un roman que je vous conseille par son écriture fluide et intéressante, et son suspense bien mené. Pour les petits curieux, le livre a été porté à l’écran par l’excellente Jane Campion.
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Je dois dire que lorsque j’ai refermé ce roman, je ne savais pas quoi à penser et alors même que j’écris ma chronique, je ne sais toujours pas. Me voici donc dans l’embarras !





IN THE CUT est sans contexte un excellent thriller érotique qui lors de sa première parution a du faire couler beaucoup d’encre. J’imagine que vingt ans plutôt, oser écrire ce genre de roman révélait de la plus pure audace et ingéniosité. Depuis l’eau à couler sous les points et les esprits sont un peu moins étriqués. Si Jane Campion a réussi en à faire un de ses plus beaux films, c’est qu’il avait matière à exploiter. Même si je n’ai jamais vu l’adaptation cinématographique, je pense que le film a su exploiter avec magnificence tout ce que l’écriture a eu peine à révéler.





L’héroïne ultra libertine, Fiona, enseignante le jour, écrivain pendant les heures creuses et écumeuse de bar le soir, devient le centre d’une intrigue. Le super flic Malloy, un peu vantard, un peu menteur et beaucoup mythomane dirige l’enquête du meurtre de la jeune femme qui a été assassinée non loin de chez Fiona. Le courant passe de suite entre les deux protagonistes et cette rencontre devient alors une liaison en dent de scie voire même fatale.





IN THE CUT n’est pas un thriller où les rebondissements donnent un rythme soutenu. Susanna Moore se concentre essentiellement sur les émotions et la psychologie des personnages et la violence dont en résulte des situations houleuses. Fiona est loin d’être une femme écervelée mais elle semble piéger entre désir de l’autre et les doutes. J’ai vraiment eu cette impression d’instabilité. Très vite on assiste à une espèce de jeu du chat et de la souris où l’attirance se mêle. Susanna Moore joue beaucoup et très bien avec les apparences et pendant ce temps la trame se déroule sous nos yeux, sans vraiment qu’on y prête gare, jusqu’au dénouement qui la j’avoue m’en a mis plein les yeux. Je trouve la plume de Susanna Moore très efficace même si le scénario reste faible. Il m’a manqué l’intensité au niveau de l’intrigue. Je m’attendais à quelque chose de plus « monstrueux », de plus explosif. Je n’ai eu malheureusement le souffle coupé qu’au final qui encore reste suspendu.





Encore un fois je pense que ce livre a du faire un véritable tabac en 1997. Je ressors de cette lecture plutôt mitigée avec un arrière gout que cela aurait pu être meilleur, bien meilleur.
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Elle voit une femme rousse faire une fellation à un homme, dans un bar, alors qu'elle cherchait les toilettes. Cette femme est retrouvée morte peu de temps après. Est-ce cet homme qui l'a tuée ? Est-elle la prochaine ?



L'aspect thriller est plus présent que l'aspect érotique. Fiona est une enseignante en lettres, un peu particulière (il faut le dire). Et autour d'elle tournent des hommes très particuliers aussi. Lequel est un danger pour elle ?

L'étudiant attiré que l'on ne sent pas trop ? Le collègue étrange qui la surveille quand il part promener son chien ? L'enquêteur de police qui lui ment sans cesse malgré leur relation ? Tous la surveillent, tournent autour d'elle, l'épient...



Un livre assez onirique dans les situations et les dialogues. Pour amener à une fin qui ne laissera personne indifférent. Je n'en dis pas plus.
Lien : http://blondes-and-litterair..

Fiona, 34 ans est enseignante à New York. Le jour où elle prend un verre avec un de ses élèves, Cornelius, elle surprend un homme et une jeune femme rousse en plein ébats amoureux.

Quelques jours plus tard , l’inspecteur Malloy vient interroger l’enseignante car le corps de la jeune rousse, plutôt une partie de ce dernier, a été retrouvé non loin de chez elle dans un parc. Fiona est donc une des dernières personnes à l’avoir vue vivante ...

🍁🍁

Considéré comme un classique du thriller érotique, Suzanna Moore a réussi en un court récit ( moins de 300 pages ) a créer une histoire qui nous tient en haleine. Je l’ai quasiment lu d’une traite! Nous avons d’un côté l’enquête sur ce meurtrier qui aime « désarticuler » ses victimes donc assez gore quand même 😵 et de l’autre la relation sulfureuse entre l’inspecteur Malloy et Fiona. Et ma foi ils n’ont pas froid aux yeux c’est deux là 😆 et sont quand même un peu torturés dans l’âme. Et c’est cet autre aspect dans le récit qui est développé: la psychologie humaine!

J’ai soupçonné tous les personnages 😂 et la fin, et bien, je ne m’y attendais pas ... .

Pour information , il y a eu une adaption au cinéma avec Meg Ryan et Mark Ruffalo début 2000. Je pense que par curiosité je la regarderai si j’en ai l’occasion 😀
Lien : https://instagram.com/p/Bp2L..

Je n'ai vraiment pas aimé, décidément j'ai vraiment du mal avec les écrivains américains, encore plus new yorkais !



Super mal écrit, sans style, totalement confus et beaucoup de remplissage. Les meurtres arrivent comme un cheveu sur la soupe, sans être amenés. Les dialogues entre les personnages (au demeurant pas très intéressants mais l auteure nous les vendant comme super flic, super prof, ...) décousus, incompréhensibles.



Une prof chez qui on rentre comme dans un moulin alors qu elle vit dans un quartier craignos en plein coeur de manatthan entourée de dealers ; un élève qu elle fait venir à plusieurs reprises chez elle mais qu elle ne veut pas se taper (tiens on dirait les oies blanches du mouvement Metoo ) alors qu elle est chaude comme la braise ; une relation pornographique avec l inspecteur assouvissant ses fantasmes alors qu elle le soupçonne d être le tueur, bref on y croit pas un instant ou alors elle cherche à se faire tuer et va finir par y arriver.

Fiona est professeur d'anglais et écrit en parallèle un ouvrage sur l'argot des rues new-yorkais.

Un soir, alors qu'elle buvait un verre avec un de ses élèves, elle surprend malgré elle les ébats d'un homme tatoué et d'une jeune femme rousse, qui est retrouvée assassinée peu après.

D'abord suspectée, elle se retrouve ensuite au coeur de l'enquête. Mais ses relations troubles avec Cornelius, un de ses élèves, et l'inspecteur Malloy, chargé de l'enquête nous perdent dans ce roman décousu et sans rythme.

Un classique du thriller érotique peut-être, mais sans suspense, et avec certes quelques brèves scènes érotiques qui surviennent un peu n'importe quand.

Je n'ai pas su apprécier la plume de l'auteur, et bien qu'écrit à la première personne, j'ai eu beaucoup de difficulté à me plonger dans ce livre.
Lien : https://promenons-nousdansle..

Grosse déception avec "in the cut" de Susanna Moore.

Fiona, enseignante est la dernière à avoir vu vivante une jeune femme rousse, dans un bar. Elle est donc au coeur d'une enquête ou sa relation avec l'inspecteur Malloy va évoluer d'une façon particulière.



Considéré comme un classique du thriller érotique, perso, j'ai vraiment été déçue de ce qu'on trouve dans ce livre....... quelques scènes un peu osée mais j'ai lu bien pire dans des thrillers qui ne sont pas classés érotiques......

Des personnages qui ne m'ont pas du tout emballés, des dialogues mauvais, une histoire banale sans réel suspense, rien ne m'a attiré avec ce roman.

Déçue également par la 4ème de couverture qui est vendeur pourtant, mais du coup correspond peu à ce que j'attendais de ce roman. Seule la couverture est avenante et bien réalisée !



Merci à #l'archipel pour l'envoi de ce livre que je n'ai pas su apprécié.

J'avais sélectionné ce roman suite à une alléchante critique lue dans Psychologies magazine. C'est un roman polyphonique qui donne la parole à une psychiatre travaillant dans le milieu carcéral, à l'une de ses patientes schizophrène et à une starlette de Hollywood. Un 4ème personnage est censé entrer en scène mais comme je jette l'éponge après un bon tiers, je n'aurai pas l'occasion de maugréer encore davantage devant tant de noirceur humaine.



Ce premier tiers est une compilation de maltraitances et de tout ce qui donne envie de voir l'éradication complète de la race humaine. Personnellement, j'en viens même à me demander quel plaisir on peut trouver à de telle lecture. L'art de traiter de la face sombre qui habite l'être humain n'est pas donné à toute plume et visiblement Susanna Moore rejoint pour moi les auteurs-éboueurs.

Un livre au quatrième de couverture prometteur mais qui ne tient pas ses promesses

Le travail d'une psychiatre dans une prison pour femmes. La violence des actes commis et la violence en prison sont le fond du roman.

mais peut être en raison d'une traduction fautive, le récit est très haché, décousu, et jamais on ne réussit à s'attacher vraiment aux personnages

Seul réel intérêt : la description réaliste du milieu carcéral américain

Ce roman de Susanna Moore est un thriller érotique, mêlant enquête policière et scènes torrides. Pour résumer, un savant mélange de « sang » et de « sexe ». Fiona, jeune professeure new-yorkaise, enseigne l’écriture à des adolescents en difficulté. Un soir, alors qu’elle prend un verre dans un bar malfamé avec Cornelius, l’un de ses élèves au comportement ambigu, elle surprend un couple en pleins ébats dans une arrière-salle. Il fait sombre. L’homme la voit, la regarde. Il a un tatouage. La jeune femme a une crinière flamboyante, seul signe distinctif.



Peu de temps après, 2 policiers, les inspecteurs Malloy et Rodriguez, viennent interroger Fiona : elle est la dernière personne à avoir vu cette femme rousse encore vivante. Elle a en effet été retrouvée égorgée, les bras sectionnés comme ceux d’une vulgaire volaille. Un meurtre barbare et une technique apparemment bien rodée.

Mais Fiona remarque surtout que Malloy a le même tatouage que l’homme qu’elle a vu ce fameux soir dans le bar…

Malgré ses soupçons, Malloy et Fiona vont se rapprocher et entamer une relation charnelle. Bien loin d’être romantique, il y a entre eux une alchimie bestiale, comme une attirance entretenue par le mystère.



Entre menaces, intimidations et agressions, Fiona va devoir faire face à cet étau qui semble se resserrer dangereusement autour d’elle.

Mais qui est donc ce tueur en série qui reproduit le même schéma ?



L’histoire est racontée d’un seul bloc, sans chapitre, comme pour accélérer le rythme du récit. Le style est cru, direct, parfois brutal. On se doute dès le début que le tueur se cache parmi les personnages, mais impossible jusqu’à la fin de déterminer l’identité du tueur. Le suspense est vraiment maintenu jusqu’aux dernières pages, et là, quel choc !! cette révélation, cette dernière scène, j’ai eu le souffle coupé ! Un livre qui m’a définitivement fait aimer les thrillers!
Lien : https://aurelivres57.wordpre..