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Citations de Suzanne Wright (310)


- Tu n'es pas sérieux, Trey. Tu n'as pas pu t'unir à ça. Ce n'est même pas ton type de fille. Elle est toute maigre, c'est une grande gueule, et elle est toute petite. Même ses nibards sont minus.
- Mais j'ai de très jolis pieds.
- Tu n'es pas son genre !
- Pourquoi ? Parce que je ne suis pas illettrée ?
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Chez elle, tout était faux : ses seins, sa lèvre ultra-lippue, ses cils, ses ongles.
Merde, même ses cheveux c'était du flan : pas besoin d'être extralucide pour voir qu'elle portait des extensions. Cette conne était si peu naturelle qu'elle devait surement avoir le cul estampillé "Made In China".
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— Dis, la traînée, tu as participé à la préparation du repas ? demanda Greta.
Elle était installée à la grande table sur laquelle un véritable festin avait été disposé, sur un immense belvédère.
— Je trouve que beaucoup de choses ont un drôle d’arrière-goût, ajouta la vieille.
— C’est à cause de toute la merde qui sort de ta bouche, répliqua Taryn.
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L'amour, c'est donner à quelqu'un le pouvoir de te détruire totalement, en espérant qu'il ne le fera pas.
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Taryn à son père :
- Si je peux me permettre un petit conseil : pour l'incontinence verbale, il y a des solutions. Tu n'es pas condamné à debiter des flots de conneries toute ta vie.
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Taryn brandit l'index.
— Une petite seconde, tu veux ? J'essaie d'avoir quelque chose à foutre de ton avis... J'essaie vraiment... Non, désolée. "Erreur programme", impossible d'établir un semblant d'intérêt.
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Je ne te ferais jamais de mal à dessein. Jamais. Je suis un homme, ça veut donc dire que je vais merder régulièrement. Je ne suis pas doué avec les mots, quand je suis en colère je gueule et je dis n’importe quoi, et j’ai à peu près autant de fibre romantique qu’un caillou. Mais… tu vois, quand je te dis que je ne suis pas doué avec les mots ? Je veux simplement te dire que tu comptes pour moi d’une manière que je n’arrive pas à comprendre ou à expliquer. Tu comptes plus que n’importe quoi d’autre au monde.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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- Mais si elle n'avait pas insisté pour aller faire des courses toute seule, rien de tout ça ne serait arrivé, répliqua Greta en glissant un regard venimeux en direction de la jeune femme. Ca, à mon époque, ça ne se serait pas passé comme ça. Oh, non. Les femmes restaient à la maison, et elles savaient prendre soin de leur compagnon. Et si je sortais, c'était toujours avec mon Arthur.
Taryn lui sourit.
- C'est vrai qu'à l'époque, il valait sûrement mieux ne pas s'aventurer dehors toute seule. Avec les tyrannosaures qui rôdaient à tous les coins de rue...
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Peut-être aurait-il dû prendre un peu plus au sérieux le message affiché sur le panneau devant sa maison ? « Les intrus seront abattus, les survivants aussi. » Sans oublier celui de son paillasson : « Revenez avec une commission rogatoire. » Ouais, tout cela était bien clair.
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— Si j’avais des TOC, expliqua Lucifer à Jolene, cela m’agacerait que les lettres de cet acronyme ne soient pas dans l’ordre, tu ne crois pas ?
— Allez, avoue que cela t’agace, le nargua Jolene.
— La chose qui m’irrite le plus, c’est que les scientifiques trouvent des noms très compliqués pour désigner des syndromes ou des difficultés d’apprentissage, des termes qui ne peuvent qu’irriter les personnes qui en sont justement atteintes. Comme TOC, dont les lettres ne sont pas en ordre alphabétique ou le mot « zézayer », un des seuls mots qui s’orthographient avec deux « z », ou encore « dyslexie », un mot absolument impossible à épeler. C’est cruel, si tu veux mon avis. 
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— Tu es fatiguée, ma belle ? Viens, je t’emmène te coucher. Il faut que tu dormes.
— Je ne suis pas fatiguée. Je vérifie juste qu’il n’y a pas de trous dans mes paupières. Ça pourrait prendre un petit moment.
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Taryn ne put masquer sa surprise.
- Tu sais, je suis vraiment perplexe: est-ce que tu es sourd ou est-ce que, profondément, tu n'en as absolument rien à foutre de ce que je te dis? Je ne peux pas m'unir à toi. Si tu veux tout savoir, l'idée qu'on m'insère un porc-épic très énervé dans le rectum sans vaseline m'attire beaucoup plus que celle de devenir ta compagne.
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▬ Tu es sûr que vous êtes de la même famille ? lui demanda-t-il.
[...]
▬ Maintenant que tu le dis, c'est vrai que je ressemble beaucoup au concierge.
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Tu sais ce que je ne comprend pas,moi? comment les hommes peuvent passer le plus clair de leur temps à pratiquer des sports où ils se font piétiner au son des foules hurlantes, mais détestent le shopping alors que c'est exactement le même principe
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Je t'ai appris à mentir, soupira la grand-mère, excédée, à cambrioler, à extorquer des fonds, à escroquer, à voler des identités et à pirater des comptes en banque, mais toi, qu'est ce que tu fais ? Tu travailles.
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— Écoute, j’ai mal agi, je le sais. Je m’en veux énormément, tu peux me croire. Mais on peut régler ça, Harper. Tu me manques.
— Bon, comme tu peux le constater, déclara-t-elle en prenant son sac et ses clés, je me noie dans un torrent de larmes. Si tu as terminé, conclut-elle en lui montrant la sortie, j’ai encore beaucoup à faire.
— Je te l’ai dit plein de fois, je m’excuse, poursuivit-il tandis qu’elle fermait à clé. Je regrette terriblement de t’avoir fait souffrir. Qu’est-ce que je peux faire de plus ?
— Tu veux le savoir ? Eh bien, je vais te le dire, déclara-t-elle en se tournant pour le dévisager. Va fourrer ton pénis dans une ruche et raconte-moi comment ça s’est passé dit-elle avant de lui adresser un sourire doux-amer et de se diriger vers Tanner qui lui ouvrait la portière de la voiture. Bonsoir, le salua-t-elle.
— Un problème ? demanda-t-il en jetant un œil vers Royce.
— Je ne comprendrai jamais les hommes, soupira-t-elle. Et toi ?
— Cette conversation ne peut que mal se terminer pour moi, dit-il en levant les mains. 
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— Je préfère vous prévenir que, lorsque vous me connaîtrez un peu mieux, il y a peu de chance que vous désiriez encore nouer un lien psychique avec moi.
— Vous semblez bien sûre de ce que vous avancez.
— Biologiquement, je suis un sphinx, c’est vrai. Mais j’ai été élevée en elfe. Cela signifie que je suis ingérable, têtue, secrète, que je hais les règles, que j’épuise les gens, que je les énerve et, surtout, que je m’enorgueillis de tout cela.
— D’accord, j’aurai été prévenu, déclara-t-il en surprenant le sourire amusé de Levi dans le rétroviseur.
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- (...) Si tu penses que je vais trembler devant une petite vieille ratatinée qui date tellement que même ses rêves doivent être en noir et blanc, tu vas être méchamment déçue.
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Elle ne répondit pas, mais continua à le fixer d’un regard vide.
— Taryn, est-ce que tu m’écoutes ? demanda-t-il.
— J’ai fait semblant, estime-toi déjà heureux. 
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« D’accord, le fait qu’il soit si émoustillé de voir son nom tatoué comme une marque de fabrique sur le dos de Jaime signifiait sans doute qu’il était maladivement possessif. »
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