Le lendemain, j'ai raconté la vie mouvementée d'Alexandre Soljenitsyne à Habéké qui n'en croyait pas ses yeux. Quand je lui ai fait part de mon idée d'écrire à cet homme pour le questionner sur les possibilités de vie en exil, Habéké a eu un regain d'espoir dans son être et ça lui a fait mal à la peau