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Citations de Sylvie Grignon (27)


Écrire est un acte d'amour envers celui qui va me lire, une ouverture, une main tendue, un petit morceau de moi que je garde caché et dont je fais cadeau miette par miette. Écrire, c'est partager afin d'offrir à l'autre une ouverture de pensées illimitées.
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C'est ce qui est fabuleux avec l'enfance, cette capacité de ne pas être touché par les événements douloureux.
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Pardonner est facile, tendre la main, un peu plus difficile, mais ce qui reste le plus dur s'avère de simplement oublier.
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- Comment retrouver une mère ayant abandonné son enfant dans les années 80 ?
- Avant 1996, le code civil interdisait aux enfants de rechercher leurs parents biologiques et aucune trace n'existait. Dans la théorie car dans la pratique, c'est un peu différent. Les sages-femmes notaient souvent en marge des dossiers le prénom des mamans surtout si elles avaient moins de vingt ans et qu'elles pouvaient un jour avoir un regret.
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C'est si beau l'amour dit avec douceur. Les mots ont un tel pouvoir. Ces petites phrases de rien du tout pourtant si importantes, pouvant procurer un bonheur immense ou une peine infinie. Un mot insignifiant fait de simples lettres se retrouvant piégées sur le papier. Cette phrase qui va devenir un outil terrible poussant à survivre ou à sombrer. Un mot n'est jamais anodin. Il peut faire mal. Il ne sera plus alors un mot, mais LE mot.
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L’un des gendarmes déposa la femme sur une sorte de couverture de survie comme s’il craignait qu’elle puisse avoir froid. D’une voix enrouée, il dit :
- je doute que cette femme se soit baignée dans ces marais juste pour le plaisir.
Il recouvrit totalement le corps et prévint ses supérieurs. Ce qu’il venait de voir sur le corps ne lui laissait aucun doute: c’était un crime !
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La vie est un tourbillon dans lequel on se retrouve happé bien malgré nous.
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J’ai toujours pensé que l’amour était dangereux, qu’il allait me faire perdre le sens des réalités. Je découvre que c’est faux. J’aime, et je suis vivante. Qu’est-ce que cela fait du bien !
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Quand on veut vraiment quelque chose, il nous arrive d'interpréter, de faire parler des faits.
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Maudit téléphone ! Je hais ton côté impersonnel. Les regards, eux, ne mentent jamais, les mots si.
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Je pose ma tête sur son épaule et nous restons ainsi à nous caresser, nous embrasser comme deux gosses découvrant l'amour, comme si nous inventions l'amour.
Lorsque nos corps s'apprivoisent puis fusionnent dans un orgasme partagé. Nous n'avons pas juste fait l'amour, nous sommes l'Amour.
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Philibert a fait son apparition dans ma vie tel un cataclysme. Franchement, je le détestais au début, mais l'amour est souvent proche de la haine. Maintenant, j'en suis raide dingue et ai décidé d'être la femme parfaite.
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Je viens de tourner la dernière page d'Appelez-moi Camille, de Sylvie Grignon (Editions Souffles Littéraires). Chapeau bas ! Cette auteure que ne n'avais lu qu'à travers ses polars colorés addictifs, a réussi là avec virtuosité un travail d'écriture très astucieux qui mêle pour le plus grand plaisir du lecteur sensualité, romantisme, conscience civique, politique et morale qu'anticipation ! Entre le réel et le possible, entre fougue de la jeunesse et douceur de la vieillesse. Sans nous priver d'un érotisme libéré. A lire sans modération , surtout en ce moment, mais je ne dirai pas pourquoi !
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- Mademoiselle, vos boucles rousses sont-elles naturelles ?
Hum, voilà encore un qui a besoin d'un cours de drague. C'est du déjà vu. Je hausse les épaules et continue ma route sans répondre. Ce type de questions m'a toujours agacée. Je n'ai qu'une envie lui répondre : "vous voulez voir mes poils pubiens s'ils sont roux ou noirs ?", mais comme je suis une jeune femme bien élevée, je l'ignore.
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N'oubliez jamais que l'amour, la vie sont comme des nuages qui viennent, puis s'évaporent quand on essaie de les retenir.
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Devant moi, le carton déborde encore de ces trésors où se cache ma vie. D'une main, pour ne pas laisser tomber le carnet, je caresse la masse rassurante des promesses que toutes ces reliques me font : je suis là, encore enfermée sous la poussière et les couvertures froissées, mais je suis là, et je peux encore revenir. Et Lui aussi.
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Marc, l'homme dont les ronflements résonnaient dans tout le couloir, était rongé de culpabilité. Avocat, il avait consacré toute sa vie aux plus défavorisés, refusant les plaidoiries juteuses comme bon nombre de ses confrères. Il se battait pour la vraie justice. Seulement, il n'était qu'un homme, avec ses failles. Pourquoi ce jour-là avait-il dérogé à ses convictions ? Pourquoi avait-il accepté de défendre un petit malfrat ? L'affaire n'était pas saine, il le savait. L'audience s'était éternisée. Il était arrivé en retard à l'école. Émilie était déjà partie, toute seule, certainement le visage inondé de larmes, comprenant qu'il l'avait oubliée. C'était vrai. Pris par sa plaidoirie, sa fille lui était sortie de l'esprit. Elle n'avait pas dû entendre la voiture arrivée trop vite ni voir que le feu venait de passer au vert. Une seconde, une seule seconde et elle avait été percutée.
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Je m'appelle Nadia et j'ai trente ans. Stop, je recommence, ce n'est pas la bonne présentation, je m'appelle Nadia. Je suis une jeune femme super sympa de trente ans. C'est ce que l'on dit. Je ne sais pas si je dois le croire, mais curieusement, on m'a donné le surnom de faiseuse de bonheur. Étonnant, n'est-ce pas ? Encore plus si vous me connaissiez.
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"Ecrire, c'est crier en silence"
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Ayant beaucoup aimé le 1er tome des enquêtes d'Antoine Bourgnon, je me suis plongé dans la suite de ses aventures et je ne l'ai vraiment pas regretté. 

J'ai retrouvé la belle plume de l'auteure encore plus efficace que dans son précédent ouvrage: ROUGE

Des personnages toujours attachants 

Une intrigue à plusieurs tiroirs qui m'a rendu totalement dingue. A chaque fois que je croyais tenir la solution, Sylvie Grignon m'embarquait ailleurs et j'ai du me résigner plusieurs fois à constater que j'avais tout faux. 

J'adore être mené en bateau, uniquement en lecture bien évidemment et dans cet exercice, l'auteure prouve qu'elle est experte en la matière. 

Celle ou celui qui lit ce livre et qui trouve la solution avant la fin, il ou elle peut ouvrir une agence de détective digne du grand Hercule Pourot.

Un suspens omniprésent de la 1ère à la dernière page. Pas de longueurs, une entrée en matière immédiate; ce qui m'a permis de rentrer dans l'histoire dès le début. Un livre que vous ne pourree pas lâcher avant la fin. Je vous le garantie.

Il me tarde de lire la suite des enquêtes de ce flic hors norme. 

 

Bonne lecture
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