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Critiques de Sylvie Huguet (12)
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Les licornes de Thulé

Suite du mélancolique "Dernier roi des elfes" (mêmes éditions, 2010), ce bref roman, le septième de Sylvie Huguet (également auteur de sept recueils de nouvelles), mêle univers de fantasy, rythmé par d'épiques batailles entre les elfes et les humains, et plaidoyer passionné pour le respect d'une nature en péril, symbolisée par la mythique île de Thulé, peuplée de licornes libres et fières.

Un style délicieusement classique, qui offre de magnifiques descriptions de paysages menacés par la cupidité humaine, et protégés (pour combien de temps ?) par l'alliance entre les elfes et les licornes.
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Rouge Alice

Toutes les nouvelles de ce recueil abordent la relation de l'homme à l'animal et l'homme à la nature. Ce rapport profond qui constitue notre humanité et que nous refoulons inconsciemment, est magnifié dans les histoires de Sylvie Huguet. Le loup, animal récurrent des histoires imaginées par l'auteure, apparait dans toute sa splendeur sauvage. Ce que dénonce l'auteure avec ironie, c'est que la nature est parfois cruelle mais elle n'est pas vicieuse contrairement à l'homme. La dimension fantastique de certains des récits réunis dans Rouge Alice, ne manque pas de surprendre le lecteur crédule : malgré une première de couverture qui évoque inévitablement une oeuvre de littérature jeunesse, le contenu du recueil prend à contre-pied toute idée préconçue. La violence, la cruauté et l'injustice rapportées dans ces quelques nouvelles accusent un déplorable irrespect de l'homme pour tout ce qui constitue sa nature profonde, son animalité. Il y a dans l'univers de Sylvie Huguet quelque chose qui relève du rêve de petite fille : l'auteure aspire à un monde idéal où l'homme et la nature vivraient en parfaite communion. Un monde où les loups ne seraient pas menacés par les éleveurs en colère, un monde où les renards ne seraient pas de simples fourrures, un monde où les chasseurs n'auraient pas leur place... Enfin, un monde où les hommes comprendraient que respecter la nature, c'est aussi se respecter...



Publiés dans diverses revues, ces quelques nouvelles de Sylvie Huguet trouvent grâce à ce recueil proposé aux éditions de La Clef d'Argent (paru ce dernier mois d'octobre), l'occasion d'être réunies. De cette sélection, nous retiendrons notamment l'histoire du Renard bleu ou celle de Soeur louve, deux textes où le thème de la vengeance me parait particulièrement bien traité. Rouge Alice est le nom de la première nouvelle du recueil.
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Rêve de licorne

Depuis quelques temps, la jeune Louise n’est plus assidue dans son travail scolaire, pour des raisons qui échappent à madame Dorgueil, son enseignante. Mais lorsque celle-ci fait remarquer à son élève, qu’elle a prise en affection, les erreurs disséminées dans ses rédactions aussitôt Louise les corrige sans difficulté.



Madame Dorgueil a effectué sa petite enquête mais à première vue, rien dans sa vie familiale ou autre n’a pu conduire la jeune Louise à ce comportement inhabituel et bizarre. Alors, elle lui propose de relire un manuscrit qu’elle vient d’achever, car elle écrit des livres pour adolescents, et de lui donner ses impressions. Une occupation que Louise accepte avec plaisir. Et c’est ainsi que nous découvrons en même temps que l’adolescente cette histoire intitulée Rêve de Licorne.



Diane est une gamine qui vit dans un élevage de chevaux et elle s’épanouit dans ce paradis de vallons et de bocages, au domaine de la Châtaigneraie. Mais c’est bien connu, les châtaignes sont enfermées dans des bogues protégées par des piquants. Et les piquants sont ce que l’on pourrait appeler les réactions de sa mère lorsqu’elle a ses nerfs. Pourtant le père est prévenant, mais la mère est une forte femme qui sait s’y prendre pour que ses envies ou ses refus soient satisfaits sans barguigner de la part de sa fille ou de son mari.



Diane a appris à monter sur un poney toute jeune puis elle a eu droit de posséder un magnifique poulain qu’elle nomme Brume de Neige à cause de sa robe. Elle a assisté à l’accouchement de la jument, qui en est décédée, a élevé le poulain au biberon, couchant même dans le box la nuit, au grand dam de sa mère. Entre Brume de Neige et Diane, c’est une entente parfaite, presque ou autant qu’avec le père. Quant à la mère elle a toujours ses nerfs, et cela va se compliquer le jour où le père décède dans un accident.



Près d’un an après, la mère se remarie avec Alex le palefrenier embauché du vivant du père. Et Alex ne trouve rien de mieux que de complimenter Diane sur sa féminité naissante, de l’importuner par des propos inconvenants et d’effectuer des gestes déplacés trop bien placés. Diane veut en parler à sa mère qui réfute ses allégations, et les confidences avortent dans des crises de nerfs maternelles. Il ne faut pas dire du mal d’Alex en qui elle a trouvé un bel étalon. Alors Diane se réfugie dans ses rêves, dans un pays qu’elle découvre peu à peu, l’Outre-Monde.



Elle est subjuguée par un animal magnifique qui ressemble un peu à Brume de Neige mais portant au front un rostre en ivoire : une Licorne. Cet animal fabuleux est accompagné de Vif-Argent, un cheval qui mène une harde, ainsi que d’autres animaux qui vivent, malgré leur antagonisme ancestral, en bonne intelligence. Il y a Vent-d’Orage, le loup, et sa meute, Lame de Saphir, le tigre, Œil-de-Silex, l’aigle, et surtout Vieux Cerf, le vieux sage qui explique à Diane qu’ils sont toutefois sous la menace des Ténébriens, vivant de l’autre côté et les pourchassant impitoyablement. Mais bientôt cette douceur va connaître des heures sombres. Car le rêve devient cauchemar à cause d’un épisode réel vécu avec peine par l’adolescente.







Cette histoire, Rêve de Licorne, est enchâssée entre le prologue et l’épilogue, ce qui est normal me direz-vous avec juste raison, et seule elle aurait pu constituer un aimable conte bucolique rédigé sur le thème de la Fantasy.



Seulement, les deux barrières qui l’entourent donnent toute la saveur à ce court roman, une saveur amère et très actuelle. L’auteur retombe ainsi sur ses pieds tout en fournissant une histoire familiale qui se tient, trop bien, et le lecteur navigue entre rêve et cauchemar, dans ce que l’on pourrait définir comme une réalité virtuelle.



De beaux moments de poésie, une ode à la nature, et une dégringolade dans un concept dont malheureusement il est question tous les jours depuis la nuit des temps. Et la présence des loups et des chevaux n’est pas dénuée d’innocence, car ces animaux alimentent l’actualité malgré eux. Une coïncidence ?


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Le dernier roi des elfes

C'est un récit pour le moins atypique que nous propose Sylvie Huguet, l'auteur. Dans un cadre d'anticipation - l'histoire commence après notre siècle - est lové le récit fantasy, le cœur de ce roman. Le tout dans un peu plus de 100 pages. C'est un pari risqué de planter une histoire fantasy dans un format aussi court, mais le pari est gagné pour Le Dernier roi des elfes.



L'auteur a en effet choisi de se focaliser sur un événement précis et ses conséquences dans les quelques décennies qui ont suivi. Des choix ont du être faits, et seuls les éléments les plus importants ont été conservés pour une histoire brève mais où il ne manque rien.



La première chose à dire, c'est que les humains ne sont pas vus sous leur meilleur jour. Ils sont représentés comme des créatures uniquement préoccupées par le pouvoir et aveuglés par leurs croyances. Dans cette époque pouvant correspondre au Moyen-Age, la religion monothéiste a balayé les croyances ancestrales, et les créatures ne partageant pas la même foi sont traquées et éliminées car considérées comme démoniaques. Un portrait qui ne laisse pas rêveur, loin s'en faut.



La suite sur le blog !
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Blizzard d'étoiles

Le dernier livre de Sylvie Huguet, décédée en juillet 2021, reprend les thèmes de toute son oeuvre : Innocence de l'enfance, beauté de la nature et noblesse des animaux. Ce roman associe une description réaliste d'une enfance martyrisée et l'évocation d'un univers onirique où s'affronte les forces du bien et du mal.

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Blizzard d'étoiles

... J’ai été captivée par ce récit fantastique dès les premières pages. J’ai découvert avec avidité l’univers que nous présente l’autrice. Il s’agit d’une intrigue originale qui met en scène un jeune garçon courageux et un chien majestueux, le tout avec une touche de magie. Les chapitres s’enchaînent avec rapidité, l’action ne manque pas ainsi que le suspens pour nous donner envie de lire avec avidité ces pages. Les illustrations de Florène Vaxlaire nous permettent de nous imaginer avec plus de précision le décor de ce roman. Je ne m’attendais pas à vivre une telle aventure et je vous recommande de lui laisser sa chance !
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Le dernier roi des elfes

Dans le prologue, l'auteur nous introduit le récit en émettant l'hypothèse d'une découverte d'un manuscrit à Thulé (en Islande) qui concluait à l’existence réelle



Comme il est de règle en général, l'histoire débute sur la sempiternelle guerre fit rage entre ces deux et qui vit l'extinction de la race Elfique. Une guerre qui aurait débutée sur le principe que les chrétiens assimilaient alors les Elfes à des êtres démoniaques. Donc un postulat de départ somme tout ce qu'il y a de plus classique.



Le récit débute sur l'attaque d'un village fortifié par les troupes du roi elfe Ilgaël. Lors de cette attaque, la mère, d'un jeune enfant blond de deux ans, a supplié le roi de lui laisser la vie sauve. L'enfant fut ramené dans la forêt elfique et confié aux femmes. L'on suit assez brièvement la jeunesse de l'enfant, un passage relativement court du fait du nombre de pages de cette novella.



Puis l'auteur revient à plusieurs reprises sur le conflit et les méfaits qu'il occasionne à la nature. Batailles sont au départ intéressantes mais elles manquent de profondeur l'auteure n'approfondit pas au sein de celles-ci les combats individuels des protagonistes principaux, elle s'intéresse plus à la nature dont les descriptions sont plutôt longues on est plus dans un hymne à la nature que dans une fantasy elfique.





Elle nous offre une vision des humains qui ne sont pas dépeints sous leur meilleur jour. En effet, situant le récit dans un époque moyenâgeuse, où la croyance monothéiste a supplanté les croyances ancestrales , ils nous ont présentés aveuglés par le pouvoir et leurs visions , traquant et éliminant ceux qui n’adhèrent pas a leurs critères. Une vison des hommes qui n'est pas sans rappeler l’Église Catholique Romaine et ses exactions.



L'univers, comme il fallait s'y attendre au vu de l'épaisseur du volume est peu développé, on aurait aimé qu'elle s'attarde plus sur la vie quotidienne des Elfes, mais malheureusement ce qu'elle avance n'apporte rien de plus à ce que l'on connaît de leur vie. Hormis quelques références à la mythologie nordique l'auteur ne s'attarde pas sur le monde dans lequel évoluent les protagonistes.





Les deux protagonistes principaux sont bien construits psychiquement. Et collent parfaitement au cadre dans lequel ils évoluent.

L'auteure s'intéresse également plus aux messages qu'elle veut faire passer plus qu'au récit en lui-même notamment pour exemple lors de la rencontre avec d'autres tribus elfes le jeune homme est rejeté alors que dans sa tribu il est bien intégré. Elle nous démontre a quel point les jugements que l'on porte sur les autres seraient moins sévères si nous étions plus curieux d'esprit.



La plume poétique de l'auteure nous offre un récit poignant sur les origines et les derniers instants des elfes. Mais malgré



Dans un récit à l'ambiance sombre mais qui manque d'intensité, avec notamment dans la description des batailles pas assez approfondies et un synopsis quelque peu linéaire, l'auteure parvient à nous offrir un récit poignant. Il manque toutefois plusieurs centaines de pages pour que puisse adhérer pleinement à ce récit.




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La Mosaïque du Fou

J'ai adoré ces nouvelles fantastiques, à la lisière du rêve et de la folie. L'écriture est ciselée, le vocabulaire choisi et précis. Mes nouvelles préférées sont : "Neige au rouge-gorge", "La Mosaïque du fou", "Comme une soeur".

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La noirceur du cristal

Jeune, on n’a qu’une hâte : vieillir afin de profiter de la vie à pleines dents, de se sentir libre, ne plus dépendre des parents. Un leurre car l’on dépend toujours de quelqu’un ou de quelque chose.



Arrivé à l’âge des vétérans de la vie (j’ai horreur du mot senior qui n’est qu’une hypocrisie, senior étant réservé dans le monde du travail ou médical à des quadragénaires et des quinquagénaires), on se retourne sans cesse, quitte à attraper un torticolis, sur son passé avec nostalgie. En général.



C’est ainsi qu’en octobre 2028, Olivier, le narrateur, se souvient d’un épisode de sa vie durant l’été 1994 alors qu’il était en vacances avec son ami le commissaire Gilles Verneuil, décédé depuis peu, dans un petit village des Pyrénées.



Aude et son frère Tristan, ainsi que leurs parents, possèdent un centre équestre, et Gilles est attiré par les chevaux, lui qui est un cavalier accompli. Mais Olivier rechigne, ayant eu dans son enfance des problèmes avec ces animaux au caractère parfois ombrageux. Selon ceux qui les élèvent et les montent. Cette phobie, Olivier la doit en particulier à sa mère, pourtant Gilles parvient à lui faire surmonter sa répulsion. Gilles mais également Aude et Tristan qui lui promettent un cheval doux, facile à manier.



Aude est fiancée à Marc, un propriétaire voisin dont les terres seraient propices à agrandir le centre équestre. Malgré tout Gilles et Olivier sont parfois déroutés par l’attitude de la jeune fille qui se comporte en coquette. Quant à Tristan, marié avec Thérèse, il veille jalousement sur sa sœur.



Gilles et Olivier ne sont pas les seuls à fréquenter le centre et à effectuer des randonnées en compagnie d’Aude laquelle sait quel cheval réserver aux participants. Certains de ces touristes se montrent entreprenants auprès d’Aude. Des goujats qui se font remettre à leur place vertement, ou qui sont plus ou moins encouragés dans leurs démarches de Don Juan qui ne doutent de rien.



Gilles et Olivier observent ces tentatives, ce marivaudage avec amusement, d’autant qu’Aude et Tristan deviennent leurs amis. Mais le batifolage, plus ou moins encouragé au départ, se transforme souvent en propos acerbes et acrimonieux. Parfois ils se sentent gênés, comme des témoins qui ne seraient pas à leur place. Et un soir un drame survient. L’un des touristes indélicats est retrouvé blessé à mort sous les sabots du cheval que conduit habituellement Tristan, un animal qui ne connait que son maître.



Un autre accident se produit un peu plus tard, dans des conditions similaires et sans le témoignage de Marc, notamment, l’animal aurait été abattu. Mais Gilles et Olivier sont circonspects.







Les rapports entre Aude, qui parait nettement plus jeune qu’elle l’est réellement, et Tristan son frère, sont équivoques. Comme s’ils étaient des jumeaux siamois, de cœur et d’esprit. De même les relations maritales entre Tristan et Thérèse sont constituées de hauts et de bas. Cela dépend s’ils sont au lit ou non.



Gilles et Olivier, quant à eux, s’ils sont amis depuis quelques décennies suite à une affaire menée par l’ancien commissaire de police et concernant Olivier, ils se vouvoient toujours, par respect et courtoisie l’un envers l’autre. Des relations amicales qui ne sont entachées d’aucunes arrière-pensées.



La suite sur le blog ci-dessous :
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Glaive de Jais

S’identifier à un personnage ou s’approprier des aventures, les exalter en leur offrant une suite et des dérivés, nous l’avons tous plus ou moins fait étant primo-adolescents. Enfin, pour ceux qui lisaient, évidemment.



Anne, treize ans, et ses deux amis, Ghislaine et Lucas, se connaissent depuis leur entrée au collège, et ils se retrouvent avec un plaisir complice. Anne écrit dans un cahier des suites d’histoires, principalement celles de l’Etalon Noir, appelé Black ou Flamme selon les adaptions, une série crée par Walter Farley, et qui connu un véritable succès à la télévision avec pas moins de 78 épisodes.



Donc Flamme représente pour eux le rêve, l’inaccessible aventure. D’autant qu’aucun centre d’équitation n’existe dans leur village. N’existait, car, enfin, un centre vient d’être créé et leurs parents les inscrivent afin d’apprendre à monter à cheval. Si Ghislaine et Lucas ne s’en sortent pas trop mal, Anne, surnommée Cul-de-plomb par le moniteur, n’arrive même pas à grimper sur la selle. Elle est vexée, et ce ne sont pas ses exploits pour tenir sur le cheval qui lui a été attribué qui seront consignés dans les annales. Ses chutes, si ! Avec à la clé une entorse.



Mais Anne retient sa vengeance lorsque, apercevant un équidé au rebut, boiteux, elle décline son origine, étonnant son moniteur par ses connaissances. Elle va s’occuper de son favori tandis que ses amis effectuent des tours de manège. Mais l’Aventure, la vraie, débute lorsque ses parents lui offre pour son anniversaire un tableau. Banal en apparence, car cette représentation d’un paysage attire leurs regards, surtout celui d’Anne car ses deux amis n’y trouvent rien de particulier. Un paysage de rocs et d’eau. Mais Anne est subjuguée et ce tableau l’incite à passer à travers, comme s’il ne s’agissait que d’une fenêtre à enjamber. Ghislaine et Lucas, moins enthousiastes, la suivent.



Ils sont accueillis par des Eylfinns, de jeunes androgynes. L’un d’eux se présente, Gilmer, leur souhaite bienvenue à Roquémeraude et leur signifie qu’ils sont les Elus qu’ils attendaient. Ils sont invités à venir avec eux dans leur pays, grâce à des chevaux ailés, de nouveaux Pégase. Mais une mission attend les trois amis. Ils se rendent au pays des Gorgons, des êtres horribles qu’ils doivent combattre car ceux-ci veulent annexer leur pays et surtout délivrer Glaive de jais. C’est un cheval ailé doté de grands pouvoirs qui protègent les Eylfinns de leurs ennemis.



Les Gorgons ont à leur tête un sorcier du nom de Ugorth, lequel a réussi à féconder la Matrice des Ténèbres, donnant naissance à une araignée monstrueuse. Cet arachnide a tissé une toile géante aux mailles d’acier qui retient Glaive de Jais, l’Etalon-Roi des Eylfinns. Anne et ses deux amis doivent donc délivrer Glaive de Jais, ce magnifique cheval noir plongé en léthargie.



Les trois amis vont vivre des aventures épiques, mouvementées, dont la première est un combat contre les Gorgons, juchés sur des sortes de chauve-souris géantes. Le combat pourrait être inégal, car s’ils possèdent des épées, qu’ils manient avec adresse, les Gorgons sont munis de fusils. Des armes qui sont annihilées par Glaive de Jais, lorsqu’il est en possession de tous ses moyens. Mais ils vont être obligés de se séparer, et Anne se retrouve seule devant Ugorth.



La suite ci-dessous :
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Le passage et autres nouvelles

un bon recueil, empreint d'un amour certain pour les animaux et les rêves! (encore un bouquin sur les rêves!)des nouvelles très courtes, au final, sur le thème du passage. à dévorer si vous aimez la poésie du fantastique, notamment le fantastique fauve!
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Le dernier roi des elfes

La belle plume de Sylvie Huguet se fait habilement le reflet des états d’âme des malheureux protagonistes de ce drame. Tour à tour enjouée et insouciante, désespérée et triste, c’est la grande qualité du livre.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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