(…)et ma liberté était mon plus cher trésor. Je l’ai déposée, en offrande, au pied du berceau de mes enfants, j’ai donné ma solitude, ma vie, pour me fondre dans cette idée que la maternité était le plus grand bonheur pour le plus grand nombre de femmes. (p111) (…) Mais, j’ai eu des enfants et je le regrette. (p114).